La décision de la Cour pénale internationale permet de sortir du « deux poids, deux mesures » des dirigeants occidentaux, « une posture dangereuse pour l’avenir des institutions », affirme Beligh Nabli, juriste et directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques.
La décision de la Cour pénale internationale permet de sortir du « deux poids, deux mesures » des dirigeants occidentaux, « une posture dangereuse pour l’avenir des institutions », affirme Beligh Nabli, juriste et directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques.