Le train de vie « bling-bling » des têtes de réseaux du crime organisé n’est plus à prouver. Une fois saisis, les objets de luxe leur appartenant sont mis aux enchères. Une nouvelle politique pratiquée par les tribunaux en coordination avec les services de police qui rapporte et traduit une stratégie à l’œuvre : « taper les délinquants au portefeuille ».
Le train de vie « bling-bling » des têtes de réseaux du crime organisé n’est plus à prouver. Une fois saisis, les objets de luxe leur appartenant sont mis aux enchères. Une nouvelle politique pratiquée par les tribunaux en coordination avec les services de police qui rapporte et traduit une stratégie à l’œuvre : « taper les délinquants au portefeuille ».