Le parti Renaissance, de Gabriel Attal, pourrait changer une nouvelle fois de nom en septembre pour tourner la page de l’ère Macron. Une stratégie souvent utilisée par les mouvements, dont les appellations se sont transformées au fil des années pour convenir aux codes marketing, délaissant l’aspect idéologique.
Le parti Renaissance, de Gabriel Attal, pourrait changer une nouvelle fois de nom en septembre pour tourner la page de l’ère Macron. Une stratégie souvent utilisée par les mouvements, dont les appellations se sont transformées au fil des années pour convenir aux codes marketing, délaissant l’aspect idéologique.