En ouvrant, mardi 4 novembre 2025, une enquête préliminaire visant le réseau social TikTok pour incitation indirecte au suicide de mineurs, la justice française s’aventure sur un terrain encore peu balisé : celui de la responsabilité pénale des plateformes pour les effets de leurs algorithmes.
En ouvrant, mardi 4 novembre 2025, une enquête préliminaire visant le réseau social TikTok pour incitation indirecte au suicide de mineurs, la justice française s’aventure sur un terrain encore peu balisé : celui de la responsabilité pénale des plateformes pour les effets de leurs algorithmes.