Au terme d’une très longue audience, où se sont succédé une quinzaine de filiales du groupe ACI, le Tribunal des Activités économiques de Lyon a finalement décidé d’accorder un court répit à Philippe Rivière pour sauver sa société de tête. D’ici le 16 décembre, il devra impérativement donner des garanties de financement de 1,5 million d’euros.
Au terme d’une très longue audience, où se sont succédé une quinzaine de filiales du groupe ACI, le Tribunal des Activités économiques de Lyon a finalement décidé d’accorder un court répit à Philippe Rivière pour sauver sa société de tête. D’ici le 16 décembre, il devra impérativement donner des garanties de financement de 1,5 million d’euros.