En deuxième instance, le rapporteur public a estimé qu'il ne faut pas « dénier le besoin d'une liaison routière rapide pour un bassin de vie de 132 000 personnes ». Alors que le ministère de la Transition énergétique pointe « l'anomalie juridique » ayant conduit à une suspension des travaux, les opposants estiment qu'un feu vert en appel va contribuer à « la démolition massive du code de l'environnement ».
En deuxième instance, le rapporteur public a estimé qu'il ne faut pas « dénier le besoin d'une liaison routière rapide pour un bassin de vie de 132 000 personnes ». Alors que le ministère de la Transition énergétique pointe « l'anomalie juridique » ayant conduit à une suspension des travaux, les opposants estiment qu'un feu vert en appel va contribuer à « la démolition massive du code de l'environnement ».