Mélomane et militariste de gauche, l’acteur omniprésent abonné aux personnages rêches est à l’affiche du film «En fanfare».

Dans un album-essai incroyablement précis, le pianiste américain interprète et réinvente l’emblématique «Music for Airports». Une voie d’émancipation en rupture avec la tradition classique occidentale.

Pour le politologue Vincent Guillon, les déclarations de la présidente de la région Pays-de-la-Loire pour justifier ses coupes budgétaires tiennent du désaveu frontal, inédit et sidérant du soutien public à la culture.

Alors que la présidente du conseil régional a annoncé une coupe drastique pouvant aller jusqu’à 73 % du budget de fonctionnement de la culture, un collectif d’artistes et de professionnels du secteur dénonce une décision qui s’apparenterait à un plan social de la culture.

Avec «la Règle du crime», le romancier américain poursuit, dans l’Amérique des années 70, une trilogie baignée de magouilles, mensonges, braquages, nuits de folie et turpitudes politiques.

Dans «On n’est plus des gens normaux», le journaliste s’empare d’un terrible fait divers qu’il retrace et tente de décrypter en comblant les trous par la fiction.

La présidente de la région Pays-de-la-Loire a annoncé son intention de «tailler tous azimuts dans le budget Culture». En première ligne, les institutions de musique actuelle dénoncent une décision arbitraire et dangereuse pour leur avenir.

L’ancienne frontwoman raconte, ce samedi 23 novembre, dans un entretien vidéo à «Mediapart», pourquoi elle a quitté le groupe de pop français. Elle décrit un environnement où elle se faisait «rabaisser, humilier» et une «sensation d’isolement très forte».

Retour avec la directrice sur les grands axes de l’événement niçois qui, depuis dix ans, rallie musées, fondations, galeries et librairie à sa cause.

Mosaïque d’écrans, projection immersive… Exclusivement dédié à l’art vidéo, l’événement azuréen célèbre dans une trentaine de lieux dix ans d’activité défricheuse.

Désireuse d’aller plus loin que les demandes d’économie du gouvernement, la présidente de la région, Christelle Morançais, souhaite des coupes sévères. Le secteur culturel s’alarme de mesures qui anéantiraient son activité.

Le gratin européen se croise dans l’établissement à deux pas du Parlement pour une cuisine peu ragoûtante.

«Lucky Luke», «Blake et Mortimer» et «Nestor Burma» dévalisent le classement. Chaque samedi, le point sur les ouvrages préférés du public.

Une scène soul en français est en train d’éclore. Le premier album de l’autrice-compositrice-interprète le prouve de la plus élégante des manières.

Deuxième volet, et deuxième succès, de «Moi, ce que j’aime, c’est les monstres», le colossal roman graphique de l’autrice américaine.

Perdus au multiplex, hagards à la librairie, déboussolés devant les plateformes de streaming… Vous ne savez que voir, lire, écouter, faire en cette fin de semaine ? La team Culture vous donne quelques conseils.

Les œuvres réunies par le musée parisien mettent en valeur, malgré une maigre sélection contemporaine, cinq siècles de cet art de la supercherie s’attachant à cacher le geste du peintre pour mieux en dévoiler la virtuosité.

L’humoriste dévoile ses goûts musicaux à «Libération»

Chaque week-end, la web radio de «Tsugi» accompagne le cahier musique de «Libération».

Quarante ans après, le groupe originaire de Manchester ressort son quatrième album longtemps mal-aimé.

Le film le plus désinvolte du cinéaste en comédie leste et farce punk ressort en salles avec ses personnages immoraux de jeunes baby-sitters dessalées devenues maîtresses d’un homme adultère.

L’écrivaine américaine, autrice de «l’Histoire de Bone» et de «Trash», est morte le 6 novembre à 75 ans en Californie.

Damien Magnette, batteur et chanteur, a lancé en 2007 l’idée de ce groupe formé de musiciens déficients mentaux. Leur nouvel album, entre post-punk et avant-garde, ne pouvait pas se contenter d’une pochette banale.

Des «fantasmes de fustigation» encombrants chez la fille Freud, une éco-anxiété, voire un «pré-traumatisme des désastres» chez nos contemporains et «ressemblances de famille» au sein de la littérature.

Dans «Malville», situé en 2036, après l’explosion d’un réacteur de la centrale nucléaire, un homme se remémore son enfance et son adolescence.

Pour la double exposition «Chaque vie est une histoire», treize artistes de tous horizons ont été invités à s’approprier les espaces du musée parisien, symbole de l’Empire colonial. L’occasion aussi de découvrir une très belle collection d’œuvres débutée il y a vingt ans.

Inspirée du roman de Jack London, la pièce très attendue de la metteuse en scène force sur le didactisme malgré la formidable Camille Léon-Fucien dans le rôle-titre d’une autrice-blanchisseuse et un texte pertinent sur une transfuge de classe. En tournée jusqu’à mai.

Après son dérapage sur Israël, l’humoriste se défend d’être antisémite. Son show à l’Olympia est annulé à la suite de menaces.

Lui, 47 ans, «la figure du Prince». Elle, 38 ans, «son adorable silhouette».