Une étude réalisée pour Greenpeace, l’Institut Veblen et Max Havelaar met en lumière, jeudi 17 avril, les conséquences désastreuses sur l’environnement des produits du quotidien comme le cacao, le café, ou le riz, mais aussi des denrées moins attendues comme le jus d’orange ou la vanille.
Une étude réalisée pour Greenpeace, l’Institut Veblen et Max Havelaar met en lumière, jeudi 17 avril, les conséquences désastreuses sur l’environnement des produits du quotidien comme le cacao, le café, ou le riz, mais aussi des denrées moins attendues comme le jus d’orange ou la vanille.