Témoin de la violence du trumpisme, l’anthropologue américaine défend une approche de la crise écologique par l’étude de situations locales, des «patchs» dans lesquels la biodiversité est menacée sous l’effet des activités humaines. Heureusement, il existe aussi des lieux refuges, à défendre absolument.
Témoin de la violence du trumpisme, l’anthropologue américaine défend une approche de la crise écologique par l’étude de situations locales, des «patchs» dans lesquels la biodiversité est menacée sous l’effet des activités humaines. Heureusement, il existe aussi des lieux refuges, à défendre absolument.