Le parti Renaissance, qui présentait ce lundi 21 juillet son programme écologique, se retrouve en porte-à-faux sur la loi Duplomb, soucieux de ne pas fâcher les agriculteurs tout en affichant un désir de verdir sa politique.

Comme en 2023 et 2024, des brasiers monstres consument le centre et l’ouest du pays d’Amérique du Nord, qui subit une saison des feux particulièrement précoce. La barre des 5 millions d’hectares partis en fumée a déjà été franchie.

Une étude réalisée sur des femmes enceintes en Argentine souligne l’importance des recherches prenant en compte le possible mélange des substances plutôt qu’en les envisageant de manière isolée.

Face à un texte qui orchestre un recul écologique en France d’après ses opposants, une pétition demandant son abrogation a dépassé le million de signatures. On en parle avec Paul Quinio, directeur délégué de la rédaction.

La vigilance orages, qui a débuté dès 13 heures sur les départements du nord-est et du centre-est, est étendue jusqu’à 6 heures ce lundi. Huit autres sont en vigilance pluie-inondation dimanche soir.

Le succès phénoménal de la pétition pour l’abrogation du texte illustre à la fois la sensibilité extrême de l’opinion sur les questions de santé et le divorce entre des élus à la vision court-termiste et des citoyens qui s’intéressent à l’avenir de leurs enfants et de la planète, analyse le politiste Denis Pingaud.

En plus d’être une initiative forte, le texte qui dit non à l’acétamipride impose le débat sur les contradictions de nos modèles économiques et agricoles.

Présenté comme une réponse à la crise agricole de janvier 2024, le texte prévoit notamment la réintroduction d’un insecticide interdit, l’acétamipride.

Veuve du joggeur mort asphyxié dans un estuaire breton, cette Allemande a obtenu que l’Etat soit reconnu responsable et s’investit dans la cause environnementale.