A partir de ce lundi 11 novembre, la capitale azerbaïdjanaise sera le cœur battant des négociations climatiques, mais le pays augmente sa production de gaz, pointent les ONG. De son côté, l’Europe se comporte en bonne élève de la baisse des émissions de CO2 tout en important des hydrocarbures pour pallier la fin des livraisons russes.
A partir de ce lundi 11 novembre, la capitale azerbaïdjanaise sera le cœur battant des négociations climatiques, mais le pays augmente sa production de gaz, pointent les ONG. De son côté, l’Europe se comporte en bonne élève de la baisse des émissions de CO2 tout en important des hydrocarbures pour pallier la fin des livraisons russes.