Il faut sortir du paradigme que les relations entre les espèces se focalisent sur un calcul coûts-bénéfices. Les êtres vivants ne sont plus des présences extérieures : animaux, plantes, champignons, bactéries sont là, et ils ne demandent qu’à jouer ensemble et avec nous.
Il faut sortir du paradigme que les relations entre les espèces se focalisent sur un calcul coûts-bénéfices. Les êtres vivants ne sont plus des présences extérieures : animaux, plantes, champignons, bactéries sont là, et ils ne demandent qu’à jouer ensemble et avec nous.