Le non-lieu décidé pour l’humoriste souligne les limites du pénal concernant les infractions sexuelles. Avec le texte du 6 novembre 2025, qui intègre le non-consentement de la victime, l’argument du «qui ne dit mot consent» ne vaut plus.
Le non-lieu décidé pour l’humoriste souligne les limites du pénal concernant les infractions sexuelles. Avec le texte du 6 novembre 2025, qui intègre le non-consentement de la victime, l’argument du «qui ne dit mot consent» ne vaut plus.