En 1993, Hugues Charbonneau introduisait du curare dans la perfusion de son premier amour, Pierre Yves. Une scène immortalisée dans le film «120 battements par minute» qu’il a coproduit. Depuis, si la douleur est prise en compte avec des soins palliatifs de qualité, l’euthanasie et le suicide assisté restent interdits en France. Témoignage.
En 1993, Hugues Charbonneau introduisait du curare dans la perfusion de son premier amour, Pierre Yves. Une scène immortalisée dans le film «120 battements par minute» qu’il a coproduit. Depuis, si la douleur est prise en compte avec des soins palliatifs de qualité, l’euthanasie et le suicide assisté restent interdits en France. Témoignage.