Le ministre de l’Economie et des Finances analyse la portée de l’accord entre Washington et Bruxelles, qu’il qualifie de «moins mauvaise des solutions». Il revient, malgré les zones d’ombre du «deal», sur les conséquences potentielles pour l’économie française.
Le ministre de l’Economie et des Finances analyse la portée de l’accord entre Washington et Bruxelles, qu’il qualifie de «moins mauvaise des solutions». Il revient, malgré les zones d’ombre du «deal», sur les conséquences potentielles pour l’économie française.