Dans le sillage du trois-étoiles Jacques Marcon, la profession, peu prompte à prendre position sur des sujets politiques, se mobilise contre le texte. «Nous faisons ce métier pour nourrir, pas pour empoisonner», écrivent notamment les signataires d’une tribune publiée dans «le Monde» ce jeudi.
Dans le sillage du trois-étoiles Jacques Marcon, la profession, peu prompte à prendre position sur des sujets politiques, se mobilise contre le texte. «Nous faisons ce métier pour nourrir, pas pour empoisonner», écrivent notamment les signataires d’une tribune publiée dans «le Monde» ce jeudi.