L’ex-députée européenne sera jugée en correctionnelle, ainsi que Carlos Ghosn, l’ancien PDG de Renault-Nissan. Elle est soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros du groupe automobile contre des actions de lobbying au Parlement européen, pratique interdite aux élus.
L’ex-députée européenne sera jugée en correctionnelle, ainsi que Carlos Ghosn, l’ancien PDG de Renault-Nissan. Elle est soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros du groupe automobile contre des actions de lobbying au Parlement européen, pratique interdite aux élus.