Une attaque à l’hameçonnage par la messagerie Telegram, mercredi 20 novembre, a piégé une ancienne ministre macroniste, plusieurs élus et des personnels de l’Assemblée nationale, révélant la vulnérabilité des responsables politiques face à la cybercriminalité. Une enquête a été ouverte.
Une attaque à l’hameçonnage par la messagerie Telegram, mercredi 20 novembre, a piégé une ancienne ministre macroniste, plusieurs élus et des personnels de l’Assemblée nationale, révélant la vulnérabilité des responsables politiques face à la cybercriminalité. Une enquête a été ouverte.