Dans un rapport publié mardi 25 mars, l’institution appelle à interdire les rejets des polluants dits éternels dans la nature et à plus de transparence sur leurs utilisations. Elle insiste sur la nécessité d’un grand plan de recherche sur la toxicité et le recyclage de ces molécules.
Dans un rapport publié mardi 25 mars, l’institution appelle à interdire les rejets des polluants dits éternels dans la nature et à plus de transparence sur leurs utilisations. Elle insiste sur la nécessité d’un grand plan de recherche sur la toxicité et le recyclage de ces molécules.