Ridley Scott met en scène une Rome antique qui a du mal à sortir du XXe siècle, et nous permet de redevenir ces spectateurs qui, en 2000, découvrent émerveillés que le genre du péplum n’est pas aussi mort qu’on le disait, analyse Pauline Ducret, historienne.
Ridley Scott met en scène une Rome antique qui a du mal à sortir du XXe siècle, et nous permet de redevenir ces spectateurs qui, en 2000, découvrent émerveillés que le genre du péplum n’est pas aussi mort qu’on le disait, analyse Pauline Ducret, historienne.