Le romancier a animé un atelier d’écriture dans la prison parisienne. «On est le mauvais garçon qu’on peut» est une plongée dans ce monde à part, avec des pas de côté, comme lorsque l’auteur introduit en fraude des kebabs, félicité par un détenu : «Nico, t’es un bon.»
Le romancier a animé un atelier d’écriture dans la prison parisienne. «On est le mauvais garçon qu’on peut» est une plongée dans ce monde à part, avec des pas de côté, comme lorsque l’auteur introduit en fraude des kebabs, félicité par un détenu : «Nico, t’es un bon.»