Accusé d’avoir espionné le député, qui était alors journaliste, ainsi que son association Fakir, Bernard Squarcini, l’ancien patron du renseignement intérieur, a assuré ne pas avoir commis d’illégalité au profit de LVMH.
Accusé d’avoir espionné le député, qui était alors journaliste, ainsi que son association Fakir, Bernard Squarcini, l’ancien patron du renseignement intérieur, a assuré ne pas avoir commis d’illégalité au profit de LVMH.