Nous n’avons pas besoin d’autant d’images et nous avons besoin de les apprécier autrement que dans le tête-à-tête solitaire avec l’écran, affirme le chercheur au CNRS à l’Institut d’histoire des représentations et des idées dans les modernités.
Nous n’avons pas besoin d’autant d’images et nous avons besoin de les apprécier autrement que dans le tête-à-tête solitaire avec l’écran, affirme le chercheur au CNRS à l’Institut d’histoire des représentations et des idées dans les modernités.