Un an après les révoltes, les discussions sur l’avenir institutionnel de l’archipel sont revenues au point mort, faute d’accord. Le ministre des outre-mer s’est mis à dos les loyalistes en tentant un changement radical de méthode. Une initiative également mal perçue par le président de la République, qui n’entend pas se dédire si facilement.
Un an après les révoltes, les discussions sur l’avenir institutionnel de l’archipel sont revenues au point mort, faute d’accord. Le ministre des outre-mer s’est mis à dos les loyalistes en tentant un changement radical de méthode. Une initiative également mal perçue par le président de la République, qui n’entend pas se dédire si facilement.