L’anthropologue Benoît Trépied revient sur les ressorts de la mobilisation qui a embrasé Nouméa l’an dernier. Il évoque notamment la question des jeunes Kanak de la ville, grands oubliés des accords signés dans les années 1980, et principales victimes d’un système colonial d’exclusion.
L’anthropologue Benoît Trépied revient sur les ressorts de la mobilisation qui a embrasé Nouméa l’an dernier. Il évoque notamment la question des jeunes Kanak de la ville, grands oubliés des accords signés dans les années 1980, et principales victimes d’un système colonial d’exclusion.