Alors que des sportifs argentins ont été hués lors des premières rencontres des Jeux, le président d’extrême droite Javier Milei a échangé ce vendredi avec Emmanuel Macron à l’Élysée. À Buenos Aires, la vice-présidente, elle, continue de défendre le chant raciste des coéquipiers de Lionel Messi visant les joueurs français.
Alors que des sportifs argentins ont été hués lors des premières rencontres des Jeux, le président d’extrême droite Javier Milei a échangé ce vendredi avec Emmanuel Macron à l’Élysée. À Buenos Aires, la vice-présidente, elle, continue de défendre le chant raciste des coéquipiers de Lionel Messi visant les joueurs français.