Alors que le parti de Raphaël Glucksmann tient son congrès à Paris ce week-end, les critiques autour de sa gouvernance se multiplient. Coupure de canaux de communication, «verrouillage» des statuts, départs en série… En interne, certains dénoncent des «coups de force». «Fantasme», rétorque la direction.
Alors que le parti de Raphaël Glucksmann tient son congrès à Paris ce week-end, les critiques autour de sa gouvernance se multiplient. Coupure de canaux de communication, «verrouillage» des statuts, départs en série… En interne, certains dénoncent des «coups de force». «Fantasme», rétorque la direction.