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La croissance du tourisme dans le pays a explosé en cinq ans : Equal Times évoque « une hausse de 86,2 % » des recettes générées par le secteur, entre 2019 et 2024. Le Sénégal a effectivement tout pour plaire, liste le média : « Sa capitale riche de culture et d'histoire, Dakar, ses côtes de sable fin bordées de stations balnéaires, ses villages de pêche pittoresques, l'architecture historique de Saint-Louis classée au patrimoine mondial de l'Unesco », etc.
« Toutefois, plusieurs acteurs (…)
La croissance du tourisme dans le pays a explosé en cinq ans : Equal Times évoque « une hausse de 86,2 % » des recettes générées par le secteur, entre 2019 et 2024. Le Sénégal a effectivement tout pour plaire, liste le média : « Sa capitale riche de culture et d'histoire, Dakar, ses côtes de sable fin bordées de stations balnéaires, ses villages de pêche pittoresques, l'architecture historique de Saint-Louis classée au patrimoine mondial de l'Unesco », etc.
« Toutefois, plusieurs acteurs du secteur rencontrés lors d'une enquête d'Equal Times, alertent sur des obstacles majeurs liés aux conditions de travail » dans le tourisme. Le média et plusieurs responsables syndicaux détaillent les inégalités entre travailleurs et employeurs, « la nécessité d'une meilleure formation professionnelle des acteurs du secteur, la lutte contre le sous-emploi et la cherté de la destination, ainsi que la sécurisation des sites touristiques. »
Le consultant ministériel Faouzou Dème préconise lui une stratégie plus orthodoxe : une intensification du tourisme rural, éloigné des plages sénégalaises. « Les populations en profiteraient en gagnant de l'argent à partir des activités dans leur propre terroir. En même temps, la nature et la faune seraient préservées », explique le spécialiste. Equal Times évoque alors les « les rizières et forêts de Casamance », région enclavée entre la Gambie et la frontière sud du Sénégal qui peine à attirer au-delà des industries minières.
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16.10.2025 à 17:50
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L'initiative est assez peu commune pour être soulignée. Situés sur une place huppée du centre-ville de Bordeaux, deux immeubles d'habitations vont être transformés en logements sociaux. L'objectif : en faire profiter les habitants du quartier.
Le projet émane de la mairie écologiste bordelaise, indique Rue89 Bordeaux. « D'ici fin 2027, les deux immeubles vont abriter 16 nouveaux logements en PLAI (financés par le prêt locatif aidé d'intégration) ». La majorité municipale promet notamment « (…)
L'initiative est assez peu commune pour être soulignée. Situés sur une place huppée du centre-ville de Bordeaux, deux immeubles d'habitations vont être transformés en logements sociaux. L'objectif : en faire profiter les habitants du quartier.
Le projet émane de la mairie écologiste bordelaise, indique Rue89 Bordeaux. « D'ici fin 2027, les deux immeubles vont abriter 16 nouveaux logements en PLAI (financés par le prêt locatif aidé d'intégration) ». La majorité municipale promet notamment « d'améliorer la mixité sociale du quartier des Chartrons », explique l'adjointe chargée de l'administration générale, Delphine Jamet.
Pour y arriver, les logements ne seront accessibles qu'à des personnes sous un certain plafond de ressources et avec un loyer très bas. Surtout, Rue89 Bordeaux souligne l'approche inédite de la mairie pour créer ces logements sociaux : signer un « bail à réhabilitation » pour 60 ans avec « une association spécialisée dans l'aide au logement de personne en difficulté ».
En clair, ce type de contrat prévoit que l'association réalise des travaux d'amélioration dans les deux immeubles, à la place de la ville, mais en échange d'un loyer annuel symbolique d'un euro, tout en louant les appartements à prix bas. Un modèle « gagnant-gagnant » qui a même le soutien des opposants au maire, raconte Rue89 Bordeaux.
16.10.2025 à 12:22
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16.10.2025 à 09:05
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15.10.2025 à 18:36
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« En 2021, près de 6 milliards d'euros ont été versés par l'Assurance maladie aux sociétés privées fabriquant des médicaments contre le cancer — et bien souvent, en parallèle, des pesticides et produits chimiques. » C'est l'un des constats dénoncés par les tracts des cinq militantes du collectif Cancer Colère, rencontrées par Reporterre face à l'Institut Curie spécialisé en oncologie, à Paris.
Médiatisé cet été du fait de la colère exprimée par sa fondatrice Fleur Breteau au balcon de (…)
« En 2021, près de 6 milliards d'euros ont été versés par l'Assurance maladie aux sociétés privées fabriquant des médicaments contre le cancer — et bien souvent, en parallèle, des pesticides et produits chimiques. » C'est l'un des constats dénoncés par les tracts des cinq militantes du collectif Cancer Colère, rencontrées par Reporterre face à l'Institut Curie spécialisé en oncologie, à Paris.
Médiatisé cet été du fait de la colère exprimée par sa fondatrice Fleur Breteau au balcon de l'Assemblée à la suite du vote de la loi Duplomb, ce collectif rassemble « des malades, et ex-malades, fatigués que seuls le tabagisme et l'alcoolisme soient jugés coupables alors même que les études scientifiques montrant la corrélation entre les cancers et exposition aux pesticides se multiplient. »
Dans ce reportage, les cinq militantes dénoncent cette fois une initiative qui parait positive de prime abord : la campagne « Octobre rose » contre le cancer du sein, co-créée en 1985 aux Etats-Unis par un géant de l'industrie chimique. Selon Julie, militante de Cancer Colère, cette « précieuse » campagne « regorge d'angles morts. Elle multiplie les injonctions culpabilisatrices, notamment à la féminité, et met uniquement l'accent sur les comportements individuels. Pas un mot n'est consacré aux causes structurelles du cancer. » Les passantes citées par Reporterre semblent réceptives à ce discours.
15.10.2025 à 12:29
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