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18.11.2025 à 17:45
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Pour celles et ceux qui n'auraient même pas le temps de lire notre résumé de cette enquête, Rembobine propose comme à son habitude une synthèse « en 30 secondes » au début de son article ! Le média, qui revient sur des contenus journalistiques marquants, se penche cette fois sur celui d'un autre média indépendant, Les Jours, et sur son récit en trois épisodes du malaise vécu par des prêtres homosexuels, publié en novembre 2024.
Un an plus tard, Rembobine rappelle les éléments principaux (…)
Pour celles et ceux qui n'auraient même pas le temps de lire notre résumé de cette enquête, Rembobine propose comme à son habitude une synthèse « en 30 secondes » au début de son article ! Le média, qui revient sur des contenus journalistiques marquants, se penche cette fois sur celui d'un autre média indépendant, Les Jours, et sur son récit en trois épisodes du malaise vécu par des prêtres homosexuels, publié en novembre 2024.
Un an plus tard, Rembobine rappelle les éléments principaux de cette enquête, dans laquelle « les journalistes montrent comment [la] peur structure la vie de nombreux prêtres gays, et comment l'Église utilise le silence comme outil disciplinaire ». Surtout, le média retrace le parcours de cette enquête après sa sortie, et son bilan en demi-teinte.
Parmi les points positifs, l'enquête, déclinée en documentaire pour Arte, a été reprise par plusieurs médias, et a provoqué de nombreuses réactions du public. « Il y a très peu d'entre-deux. Si on a ouvert un débat, tant mieux », s'est réjoui un de ses auteurs, Nathan Lautier. « Une dizaine de personnes » ont par ailleurs pris contact avec un groupe de parole pour prêtres gays mis en avant dans le récit des Jours, et « l'association Stop Homophobie a contacté les journalistes pour organiser des ateliers », rapporte Rembobine.
Mais malgré l'ébullition autour de cette enquête, l'Église n'a pas daigné réagir : « aucun commentaire, aucune prise de position, aucun geste public », constate le média en ligne.
18.11.2025 à 12:13
18.11.2025 à 09:00
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« C'était le début de l'aventure du lieu quand sont arrivés les feux. Le premier a touché notre commune, et ensuite, il y en a eu trois autres en une dizaine de jours, jusqu'au cataclysme du dernier feu », se remémore Nicolas auprès du journal L'Empaillé .
En août 2025, quelques mois après avoir inauguré dans les Corbières (Aude) le tiers-lieu paysan Beauregard, Nicolas et sa compagne vigneronne font face au deuxième incendie le plus important de ces 50 dernières années en France. Le feu (…)
« C'était le début de l'aventure du lieu quand sont arrivés les feux. Le premier a touché notre commune, et ensuite, il y en a eu trois autres en une dizaine de jours, jusqu'au cataclysme du dernier feu », se remémore Nicolas auprès du journal L'Empaillé .
En août 2025, quelques mois après avoir inauguré dans les Corbières (Aude) le tiers-lieu paysan Beauregard, Nicolas et sa compagne vigneronne font face au deuxième incendie le plus important de ces 50 dernières années en France. Le feu infernal épargne le tiers-lieu, mais 17 000 hectares du massif sont calcinés. Alors, avec l'appui d'associations locales paysannes et grâce aux dons de « maraîcheres, boulangeres et structures d'insertion locales », les bénévoles de Beauregard transforment le lieu en « base arrière du sinistre ».
D'abord, en cuisinant de la nourriture et en fournissant de l'eau, du fourrage, et de l'aide pour déplacer des animaux d'élevage menacés par les flammes. Puis, en aidant à la reconstruction de bâtiments sinistrés. Au moment où L'Empaillé se rend sur le site, mi-septembre, « cela fait déjà six semaines que tout le monde est sur le pont, quasiment nuit et jour pour venir en aide aux personnes sinistrées ».
D'une ligne à l'autre de ce récit, on suit les pas du journaliste sur les terres d'une maraîchère, tout au long d'une matinée de déblayage de « plastique brulé » et « d'étagères métalliques tordues par la chaleur ». Au-delà de témoigner de la tristesse des locaux et des agriculteurices sinistrées face à ce spectacle, l'article met en valeur la force de la solidarité rurale lorsqu'elle est coordonnée.
17.11.2025 à 17:12
Le premier numéro du magazine mensuel Le Cri est sorti début novembre en kiosque, accompagné d'une vitrine web. Ses deux fondateurs revendiquent une ligne éditoriale chrétienne à l'opposé des catholiques les plus médiatiques.
Un nouveau média indépendant voit le jour : Le Cri , un « mensuel chrétien, joyeux et radical », cofondé par l'ancien directeur de la revue Limite, Paul Piccarreta, et un ancien journaliste à La Croix, Théo Moy. Le journal souhaite incarner « cette nouvelle (…)
Le premier numéro du magazine mensuel Le Cri est sorti début novembre en kiosque, accompagné d'une vitrine web. Ses deux fondateurs revendiquent une ligne éditoriale chrétienne à l'opposé des catholiques les plus médiatiques.
Un nouveau média indépendant voit le jour : Le Cri , un « mensuel chrétien, joyeux et radical », cofondé par l'ancien directeur de la revue Limite, Paul Piccarreta, et un ancien journaliste à La Croix, Théo Moy. Le journal souhaite incarner « cette nouvelle génération de chrétiennes et de chrétiens engagés qui portent ce souci pour les exclus de toutes les institutions, les délaissés de la marche du capitalisme ».
Une génération héritière des Jeunesses ouvrières chrétiennes ou de la théologie de la libération, qui « vit sa foi et ses combats écologiques, sociaux et féministes avec une même intensité, une même exigence », écrivent-ils dans leur édito, avant une interview de l'« athée » Guillaume Meurice.
Une initiative bienvenue à l'heure où de fortunés croyants d'extrême droite (Vincent Bolloré et Édouard Stérin) multiplient les OPA agressives sur la communauté catholique, tentant d'enfermer ses valeurs d'humanisme, de fraternité et de solidarité dans une prison identitaire et xénophobe, pour mieux les réduire au silence.
17.11.2025 à 12:58
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Pour ces stratèges militaires russes, la guerre en Ukraine « est devenue le premier conflit armé à grande échelle du XXIe siècle ». Le Grand continent traduit une longue analyse publiée dans une revue de géopolitique russe de deux analystes « particulièrement influents » : Iouri Balouevski, ex-chef de l'État-major des forces armées russes, et Rouslan Poukhov, « membre d'une série d'organes consultatifs liés au ministère de la Défense et à l'industrie militaire ».
Plus de « brouillard de (…)
Pour ces stratèges militaires russes, la guerre en Ukraine « est devenue le premier conflit armé à grande échelle du XXIe siècle ». Le Grand continent traduit une longue analyse publiée dans une revue de géopolitique russe de deux analystes « particulièrement influents » : Iouri Balouevski, ex-chef de l'État-major des forces armées russes, et Rouslan Poukhov, « membre d'une série d'organes consultatifs liés au ministère de la Défense et à l'industrie militaire ».
Comme son titre l'indique, leur analyse dépeint « une nouvelle réalité à laquelle la Russie doit s'adapter de toute urgence » : « les capacités d'aggravation de la ''guerre des drones'' dépassent pour l'heure la capacité à s'y opposer ». Qu'elles soient volantes, navales ou terrestres, ces armes commandées à distance via Internet sont largement utilisées en Ukraine, car elles sont peu couteuses et rapides à produire.
Iouri Balouevski et Rouslan Poukhov constatent une « dissipation quasi-totale » de la notion de « brouillard de guerre » : du fait des « réseaux d'information » incarnés par les nuées de drones volants, dispersés sur de larges zones grâce à la démocratisation de l'Internet par satellite, le doute sur le nombre et les déplacements des forces armées sur le champ de bataille n'existe presque plus. « Il n'est plus nécessaire de voir l'ennemi devant soi : les cibles peuvent être détectées à toute distance et détruites par des dispositifs de haute précision (en priorité les drones) lancés hors du champ de vision de l'adversaire. »
Selon eux, ce tournant marque l'échec des stratégies basées sur la « guerre mécanisée », qui repose sur l'artillerie et les tanks, devenus trop coûteux et trop faibles. Ils défendent ainsi l'avènement d'une « guerre numérique ». Car si la quête de la « supériorité dronique » n'est désormais plus une option, selon les deux analystes, ils affirment que cette technologie dépend des outils numériques d'une armée. Et donc, de « l'accroissement de la puissance de calcul » d'un pays qui lui permettra de créer à l'avenir des « systèmes globaux et automatisés de renseignement, de frappe et de défense ».
À travers cette traduction, Le Grand continent nous permet de comprendre que l'armée russe pourrait bientôt opérer un « remodelage [...] de l'ensemble [de ses] modèles tactiques, opérationnels et stratégiques », si elle suit l'avis de ces experts.
17.11.2025 à 12:58
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