Actualité Économie Social Ecologie Politique Sources
14.11.2025 à 18:10
Cinq mois après le lancement de son appel à projet, la société coopérative d'intérêt collective Coop-Médias vient d'annoncer les cinq médias indépendants sélectionnés par son conseil d'administration. Ils recevront sous forme de prêt une partie des fonds récoltés auprès de donateurs.
La « première coopérative citoyenne qui soutient, promeut et défend les médias indépendants » fête sa première année d'existence. La coopérative annonce 2500 sociétaires – dont des médias, des entreprises de (…)
14.11.2025 à 17:56
Dans le monde, les femmes de toutes les catégories sociales et origines sont victimes de violences sexistes et sexuelles. Les médias indés internationaux racontent, encore aujourd'hui, la persistance de ces faits dans leurs sociétés.
Le temps passe, mais les violences sexuelles perdurent. Elles ont lieu dans toutes les strates de la société. Du système d'impunité – dont le président Donald Trump ferait partie, selon des révélations récentes – qui a permis à Jeffrey Epstein, mort en 2019, (…)
14.11.2025 à 12:34
14.11.2025 à 12:34
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C'est la plus grande des quatre communes françaises dirigées par un maire LFI. Au sud de Lille, la ville de Faches-Thumesnil, 18 000 habitants, est administrée depuis 2020 par l'insoumis Patrick Proisy. Avant les élections municipales de mars 2026, auxquelles l'édile se représente, Mediacités fait le bilan de ses six années d'exercice.
Un mandat « qui est loin d'avoir porté toutes les ruptures prônées par LFI à l'Assemblée nationale », résume Mediacités. Patrick Proisy reconnaît lui-même (…)
C'est la plus grande des quatre communes françaises dirigées par un maire LFI. Au sud de Lille, la ville de Faches-Thumesnil, 18 000 habitants, est administrée depuis 2020 par l'insoumis Patrick Proisy. Avant les élections municipales de mars 2026, auxquelles l'édile se représente, Mediacités fait le bilan de ses six années d'exercice.
Un mandat « qui est loin d'avoir porté toutes les ruptures prônées par LFI à l'Assemblée nationale », résume Mediacités. Patrick Proisy reconnaît lui-même que « ce n'est pas toujours très facile » d'incarner les positions nationales du parti. Le média rappelle que la mairie est menée par une coalition « de gauche avec à sa tête un insoumis », et non par une majorité insoumise. L'équipe s'est donc concentrée sur des mesures « plutôt consensuelles », estime le média local, qui cite notamment « le renforcement de la présence de policiers municipaux à l'heure de la sortie de l'école ».
Mediacités s'attarde aussi sur le « chantier inachevé » du développement de la démocratie participative à Faches-Thumesnil, sur la forte augmentation de la taxe foncière en 2023, (« rare levier fiscal pour les communes ») ou encore sur les positions pro-vidéosurveillance de Patrick Proisy.
Ainsi, le bilan de la principale mairie insoumise, placé sous le signe du « pragmatisme », détonne avec les ambitions du parti pour 2026, constate Mediacités, rappelant qu'« LFI s'est mis en ordre de bataille pour remporter un maximum d'écharpes de maires » et transformer les communes en « creuset[s] d'un changement global de politique ».
14.11.2025 à 12:34
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14.11.2025 à 09:24
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13.11.2025 à 17:46
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13.11.2025 à 12:44
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Nourrir les ventres vides ne suffit pas : pour garantir la bonne santé d'une population, il faut qu'elle ait accès à une alimentation équilibrée afin d'éviter « des carences en micronutriments (zinc, fer, vitamine A…) », explique Socialter . Ces dernières touchent « deux milliards de personnes dans le monde – en particulier les pays du Sud, et plus spécifiquement les femmes et les enfants », soumis à un phénomène de « faim cachée ».
Pour combler ces carences souvent liées à la pauvreté, « (…)
Nourrir les ventres vides ne suffit pas : pour garantir la bonne santé d'une population, il faut qu'elle ait accès à une alimentation équilibrée afin d'éviter « des carences en micronutriments (zinc, fer, vitamine A…) », explique Socialter . Ces dernières touchent « deux milliards de personnes dans le monde – en particulier les pays du Sud, et plus spécifiquement les femmes et les enfants », soumis à un phénomène de « faim cachée ».
Pour combler ces carences souvent liées à la pauvreté, « une stratégie adoptée depuis vingt ans [...] a consisté en la promotion de la ''biofortification'', financée à hauteur de plus de 500 millions de dollars ». En clair, cela consiste à « enrichir en micronutriments les cultures par différentes méthodes, et en particulier via les semences ». Notamment, en les manipulant pour obtenir un organisme génétiquement modifié. Socialter cite un exemple de ces OGM : un « ''riz doré'', produisant du bêta-carotène (source de vitamine A) grâce à l'introduction d'un gène de maïs. »
Sans entrer dans les débats éthiques et scientifiques habituels sur les OGM, le média expose avant tout les angles morts de la « biofortification » génétique. La nutritionniste Sylvie Avallone précise ainsi que cette stratégie a montré « peu d'impact » en termes de réduction des carences, à l'inverse de la « diversification alimentaire ». Face aux limites d'une solution purement « technique », plusieurs experts préconisent une approche plus large, prenant en compte « l'aspect multidimensionnel de l'alimentation, de ses enjeux socio-économiques et culturels ».
13.11.2025 à 12:44
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13.11.2025 à 09:27
13.11.2025 à 09:13
13.11.2025 à 09:13
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12.11.2025 à 15:30
« Plus d'un tiers des équipes des cinq grandes ligues européennes ont conclu un partenariat avec des sociétés de cryptomonnaie ou de trading cette saison », révèle Investigate Europe . Dans une enquête publiée le 12 novembre, le média d'enquête s'intéresse à l'influence grandissante de ces entreprises qui proposent des services « proches des jeux d'argent », c'est-à-dire des investissements hautement risqués, par exemple dans les cryptomonnaies.
De plus en plus de règles limitent le (…)
« Plus d'un tiers des équipes des cinq grandes ligues européennes ont conclu un partenariat avec des sociétés de cryptomonnaie ou de trading cette saison », révèle Investigate Europe . Dans une enquête publiée le 12 novembre, le média d'enquête s'intéresse à l'influence grandissante de ces entreprises qui proposent des services « proches des jeux d'argent », c'est-à-dire des investissements hautement risqués, par exemple dans les cryptomonnaies.
De plus en plus de règles limitent le sponsoring par des entreprises de jeux d'argent – par exemple, le championnat britannique Premier League interdit désormais d'avoir ce type d'entreprise sur l'avant des maillots. Alors, des clubs de foot du Royaume-Uni et et d'ailleurs en Europe se tournent vers des sponsors qui ne sont pas ouvertement liés à des casinos ou des sites de paris en ligne, mais qui proposant d'investir dans de la crypto ou sont actives dans le trading. C'est par exemple le cas d'un sponsor de l'Atlético Madrid en Amérique latine, Hantec Markets, une entreprise de trading basée à Hong-Kong.
Les fans exposés à ces publicités, s'ils se laissent tenter par les investissements en ligne promus, peuvent faire face à de réelles difficultés. Certaines de ces entreprises ne sont pas enregistrées par les autorités européennes, laissant les utilisateurs de ces services sans protection. « L'absence d'autorisation nationale ou européenne signifie que les consommateurs ont moins de recours pour signaler des actes répréhensibles présumés et sont moins protégés en cas de faillite d'un opérateur, tandis que les entreprises peuvent proposer des produits d'investissement encore plus risqués », détaille le média indépendant.
« Malgré les risques évidents pour les supporters, les relations des clubs de football avec les sociétés d'investissement se poursuivent. » Des centaines de millions de dollars ont été investis par les sociétés de crypto dans le foot à l'échelle mondiale rien que la saison dernière. Côté trading, les entreprises « ont triplé leurs dépenses consacrées aux partenariats sportifs depuis 2019 ». Les experts interrogés par Investigate Europe recommandent la plus grande prudence face à ces investissements à haut risque – mieux vaut ne pas s'y risquer.
12.11.2025 à 13:16
12.11.2025 à 13:16
12.11.2025 à 13:16
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12.11.2025 à 12:22
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12.11.2025 à 09:35
12.11.2025 à 09:35
12.11.2025 à 09:35
« Ces crimes commis il y a vingt ans sont malheureusement très similaires à ce qu'il se passe actuellement dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) » , estime Daniele Perissi, de l'ONG suisse TRIAL International. « Ces crimes », ce sont ceux au cœur du procès qui s'ouvre ce 12 novembre devant la cour d'assises de Paris. Le Congolais Roger Lumbala y est jugé « pour complicité de crimes contre l'humanité [...] entre 2002 et 2003 » au nord-est de la RDC.
Afrique XXI nous (…)
« Ces crimes commis il y a vingt ans sont malheureusement très similaires à ce qu'il se passe actuellement dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) » , estime Daniele Perissi, de l'ONG suisse TRIAL International. « Ces crimes », ce sont ceux au cœur du procès qui s'ouvre ce 12 novembre devant la cour d'assises de Paris. Le Congolais Roger Lumbala y est jugé « pour complicité de crimes contre l'humanité [...] entre 2002 et 2003 » au nord-est de la RDC.
Afrique XXI nous raconte le contexte de cette affaire : « Entre août 1998 et juin 2003, la RDC est déchirée par la seconde guerre du Congo », durant laquelle huit pays d'Afrique centrale se déchirent dans le sillage du génocide rwandais. En 1999, Roger Lumbala, « exilé politique en France depuis dix ans, [...] prend la tête d'un petit groupe » d'opposants armés contre le pouvoir de Kinshasa.
Le pic de l'horreur survient fin 2002, lorsque son groupe s'allie à deux autres mouvements pour mener l'opération « Effacer le tableau » afin de prendre le contrôle des grandes villes des provinces d'Ituri et du Nord-Kivu. « Pendant trois mois, les ''effaceurs'', comme ils se surnomment, mènent des exactions particulièrement violentes. [...] Un nombre indéterminé de viols, de mutilations et de pillages leur sont également attribués » par l'ONU, de même que douze actes de cannibalisme.
Avant le verdict, attendu le 19 décembre, Afrique XXI revient notamment sur le caractère inhabituel de ce procès : alors que le juge d'instruction n'a pas pu se rendre sur le terrain en raison du conflit toujours en cours à l'est du Congo, plusieurs « habitantes qui se présentent comme victimes » ont accepté de venir raconter leur histoire à la barre.