Au cours de son audition, mercredi 14 mai, le premier ministre a caricaturé la commission d’enquête en « tribunal » et ses membres en juges. Une posture indigne alors que les victimes de violences sexuelles, elles, réclament des politiques publiques concrètes, des moyens et des réparations.
Au cours de son audition, mercredi 14 mai, le premier ministre a caricaturé la commission d’enquête en « tribunal » et ses membres en juges. Une posture indigne alors que les victimes de violences sexuelles, elles, réclament des politiques publiques concrètes, des moyens et des réparations.