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22.11.2024 à 23:17

L1: le PSG, remanié, s'impose contre Toulouse avant de retrouver le Bayern

FRANCE24

Malgré un jeu peu flamboyant et avec de nombreux joueurs absents ou sur le banc (Marquinhos, Pacho, Nuno Mendes, Donnarumma, Vitinha), les Parisiens ont été efficaces devant le but dès qu'ils ont joué en une touche de balle. A l'image du but du milieu portugais Joao Neves qui a ouvert le score d'une reprise de volée, servi par un centre du capitaine du soir Achraf Hakimi (1-0, 35e): sur la première accélération et inspiration, ils ont marqué. Face aux Toulousains qui n'ont fait que défendre, ils n'ont quasiment jamais été mis en danger. En Ligue 1, tout est trop facile pour le PSG. Bien loin de ses difficultés en Ligue des champions que Paris retrouve mardi sur la pelouse du Bayern Munich. Au même moment, les Munichois se sont aussi facilement imposés (3-0) grâce à un triplé de Kane contre Augsbourg. Avec cette victoire qui a été appuyée par un but de Lucas Beraldo (84e) et Vitinha (90+1) en fin de rencontre, Paris a pris de nouveaux six points d'avance devant Monaco vainqueur de Brest plus tôt dans la soirée (3-2). Remanié avec Yoram Zague, 18 ans, latéral gauche à la place de Nuno Mendes, Milan Skriniar et Lucas Beraldo en charnière centrale, Désiré Doué au milieu et Matvey Safonov dans les buts, Paris reste invaincu en Ligue 1 et a enfin enregistré une victoire contre Toulouse après un nul et une défaite. Les Violets, qui ont enchaîné trois victoires sans encaisser de but avant la trêve, pointent provisoirement à la 10e place. Tribune Auteuil partiellement fermée Pour ce match de la 12e journée, la tribune Auteuil du Parc des Princes était partiellement fermée à la suite des chants homophobes entonnés à l'encontre de l'OM le 19 octobre lors du match contre Strasbourg (4-2). Sur le terrain, les Parisiens ont gardé et fait tourner le ballon devant un stade loin d'être plein et sans ambiance, au lendemain de la soirée d'inauguration en grande pompe du "Campus PSG" à Poissy (Yvelines). La première période a été particulièrement ennuyante avec un rythme trop tranquille (76% de possession) hormis le but de Joao Neves, de la frappe dans les gants de Guillaume Restes de Warren Zaïre-Emery (22e), et de la talonnade de Lucas Beraldo (7e) sur un corner. La seconde période a été tout aussi peu flamboyante et soporifique, même si Paris a eu un but refusé pour une position de hors-jeu de Marco Asensio (54e), qui se sera une nouvelle fois très peu illustré vendredi soir. Tout comme Bradley Barcola, qui n'a pas réussi à faire grand-chose dans le couloir gauche. Après une clean-sheet face à Lens au Parc des Princes, Safonov a enchaîné une deuxième rencontre sans encaisser de buts, grâce à un retour décisif de Warren Zaïre-Emery (69e), à la maladresse de Shavy Babicka (71e) et à sa double parade (80e). Ces matches coincés entre un retour de fenêtre internationale et un match européen important sont souvent redoutés par Luis Enrique, inquiet du manque de motivation de ses joueurs. Le large score le contredit mais le jeu des Parisiens s'est révélé assez ennuyant, malgré du temps de jeu pour des habituels remplaçants qui auraient pu vouloir se montrer davantage.

22.11.2024 à 23:03

Wall Street termine en hausse, record pour le Dow Jones

FRANCE24

Le Dow Jones (+0,97%) a enregistré un nouveau record en clôture, à 44.296 points, l'indice Nasdaq a glané 0,16% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,35%. "Nous avons eu une semaine positive qui s'est terminée sur une bonne note", a observé Jack Ablin, de Cresset Capital. "Le marché est solide" et "a trouvé une voie calme et plus large vers un mouvement haussier, ce qui est une chose positive", a commenté Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. Vendredi, les investisseurs se sont notamment tournés vers le secteur de la finance, avec JPMorgan (+1,54%), Mastercard (+1,23%), Bank of America (+1,18%), Wells Fargo (+1,46%) ou encore Blackstone (+2,63%). Les valeurs industrielles ont également été recherchées, à l'image de Caterpillar (+2,03%), Honeywell (+1,34%), UPS (+2,63%) ou Boeing (+4,10%). "Les actions des grandes capitalisations n'ont pas fait de belles performances", a observé dans une note Patrick O'Hare, de Briefing.com, ce qui a "limité l'indice Nasdaq", à forte composante technologique. Alphabet a glissé (-1,58%), toujours handicapé par les recommandations du gouvernement américain au juge fédéral qui décidera de la peine infligée à Google en 2025 pour infractions à la concurrence dans la recherche en ligne. Meta (-0,70%) - la maison mère de Facebook et d'Instagram - et le géant américain du commerce en ligne Amazon (-0,64%) ont également été sanctionnés. Les géants des semi-conducteurs ont évolué en ordre dispersé: Nvidia (-3,15%) et Micron (-0,12%) ont reculé, tandis qu'AMD (+0,63%), Qualcomm (+0,86%) et Intel (+0,25%) ont terminé dans le vert. La place américaine a accueilli positivement la publication de l'indice PMI du cabinet S&P Global, selon lequel l'activité économique aux Etats-Unis a atteint, en novembre, son plus haut niveau depuis deux ans et demi. Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans ressortait à 4,41%, contre 4,42% la veille en clôture. Wall Street attend désormais la publication de l'indice des prix PCE mercredi, considéré comme une référence pour la banque centrale américaine (Fed), qui renseignera sur la trajectoire de l'inflation aux Etats-Unis. Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de 53% à une réduction d'un quart de point à l'issue de la prochaine réunion de la Fed, selon l'estimation de CME Group. La Bourse sera par ailleurs fermée jeudi, jour férié de Thanksgiving, et vendredi verra la séance amputée de trois heures. Ailleurs à la cote, le secteur des cryptomonnaies brillait, profitant toujours de l'envolée du bitcoin, qui a enregistré un nouveau record vendredi en dépassant la barre de 99.000 dollars. Vers 21H40 GMT, la star des cryptommonaies s'établissait à 99.018,44 dollars. La démission anticipée, annoncée jeudi, du président de l'Autorité américaine de régulation des marchés financiers (SEC) Gary Gensler — considéré dans le milieu comme l'ennemi juré des cryptoactifs — a donné un coup de fouet au bitcoin. Les actions des entreprises liées aux cryptomonnaies ont ainsi bondi, comme Riot Platforms (+4,68%) et Coinbase (+3,19%). Le fournisseur de services bitcoin MicroStrategy a emmagasiné 6,19%. Ailleurs à la cote, le groupe de prêt-à-porter Gap a été catapulté (+12,84%) après avoir publié, jeudi après Bourse, des résultats supérieurs aux attentes et relevé ses prévisions annuelles. Le groupe de cybersécurité Palo Alto Networks a terminé dans le rouge (-3,61%), pâtissant toujours de prévisions jugées décevantes par les investisseurs.

22.11.2024 à 22:57

Coupe Davis: Van de Zandschulp, le scalp de Nadal et une première finale

FRANCE24

Vendredi en demi-finale, le droitier de Wageningen (centre des Pays-Bas) a une nouvelle fois apporté le premier point à son pays face à l'Allemagne, éliminée finalement 2-0. Non sans trembler, puisqu'il lui a fallu dix balles de match pour conclure. Classé 80e mondial, le joueur de 29 ans s'acheminait pourtant vers une fin de saison sans frissons à Malaga, où se dispute la phase finale de la compétition par équipes nationales. C'était sans compter sur Rafael Nadal qui, le 10 octobre, a annoncé qu'il choisissait précisément la Coupe Davis pour faire ses adieux au tennis professionnel après une carrière de plus de 20 ans couronnée notamment par 22 titres du Grand Chelem et deux médailles olympiques. A ce moment-là, "bien sûr que j'ai réalisé que j'allais peut-être jouer contre lui", a confié Botic van de Zandschulp mardi après sa victoire 6-4, 6-4 contre la légende espagnole, suivie d'un succès en double qui a éliminé l'Espagne, précipitant par la même occasion la retraite de "Rafa". Le tirage au sort de la phase finale avait en effet été effectué quinze jours avant l'annonce de Nadal, et avait réservé aux Pays-Bas un quart de finale relevé contre l'Espagne. "C'était un des matches les plus difficiles que j'aie jamais joués", a commenté le Néerlandais après sa victoire en simple. Les supporters espagnols "jubilaient à chaque fois que je ratais un premier service", a-t-il ajouté auprès de la chaîne néerlandaise NOS. Pour Raemon Sluiter, présent dans l'équipe néerlandaise qui avait atteint en 2001 les demi-finales de Coupe Davis - jusque-là la meilleure performance nationale -, "ce que (Van de Zandschulp) a fait, c'est très fort!" "Même si Nadal ne jouait peut-être qu'à 40% de ses capacités, ça reste le grand Nadal qu'il affronte, et il joue en Espagne contre l'Espagne", avait confié à un Sluiter admiratif à la chaîne NOS. "Rafa ou moi" La sélection ibère savait pourtant à quoi s'en tenir puisque Van de Zandschulp avait surpris son chef de file Carlos Alcaraz, 3e joueur mondial, au deuxième tour de l'US Open fin août en trois sets (6-1, 7-5, 6-4). Un succès qui lui a procuré de la "confiance" et la conviction que "quand je joue bien, je peux battre de nombreux joueurs", a-t-il assuré à Malaga. Quart-de-finaliste de l'US Open en 2022, une année où il s'était hissé à la 22e place du classement mondial, ce fan de l'Ajax Amsterdam avait connu jusque-là une saison 2024 sans relief, enregistrant ses meilleurs résultats dans des tournois Challenger, la deuxième division du tennis. En Coupe Davis cependant, il a répondu présent, avec désormais sept victoires en onze matches disputés en 2024. Des quatre joueurs retenus par le capitaine Paul Haarhuis pour la phase finale de la compétition, c'est aussi lui qui a le pourcentage de victoires le plus élevé, avec plus de 68% de matches remportés en simple et en double depuis qu'il a commencé à représenter les Pays-Bas en Coupe Davis en 2019. "Je sais que Botic peut jouer à un très bon niveau. Il l'a prouvé tellement de fois, particulièrement en Coupe Davis", n'a d'ailleurs pas manqué de le saluer Paul Haarhuis après la victoire contre l'Espagne. Décidément influent, Van de Zandschulp ne s'est pas contenté de mettre fin à la carrière de Nadal; il a également prolongé celle de son partenaire de double Wesley Koolhof, qui a indiqué de longue date son intention de ranger les raquettes au terme de la saison 2024. "C'était Rafa ou moi. Je suis content que ça ait été Rafa", a souri Koolhof après l'exploit néerlandais.
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