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13.09.2025 à 23:37

Ligue 1: Monaco s'en tire bien à Auxerre avant l'Europe

FRANCE24

C'est la troisième victoire des Monégasques (3es) après celles obtenues contre Le Havre (3-1) et Strasbourg (3-2), pour une défaite à Lille (1-0). De son côté, l'AJA, qui avait gagné face à Lorient en ouverture du championnat, concède sa troisième défaite de rang après avoir perdu à Nice (3-1) et à Nantes (1-0) et est reléguée au 15e rang (3 points). Ce succès permet à Monaco d'aborder avec une dynamique favorable son entrée en Ligue des Champions sur la pelouse du Club Bruges jeudi, malgré une performance mitigée. Face à une formation icaunaise valeureuse, les Monégasques ont commis beaucoup de fautes au cours d'une rencontre où l'arbitre Romain Lissorgue a distribué neuf avertissements, dont six pour l'ASM, et exclu l'Auxerrois Josué Casimir pour un second carton jaune (68e). Denis Zakaria aurait même pu être exclu à son tour pour une simulation sur un penalty annulé par la vidéo-assistance (84e) alors qu'il avait déjà été averti en première période. Monaco a donc fait preuve de réussite pour arracher la victoire dans les dernières minutes grâce à George Ilenikhena, entré quelques minutes auparavant, et qui a repris un centre délivré de la droite par Vanderson (2-1, 89e). Auxerre égalise en infériorité Les hommes d'Adi Hütter avaient pris une première fois l'avantage par Takumi Minamino qui a bénéficié, dans le temps additionnel de la première période, d'un contre dans la surface sur une action confuse pour glisser le ballon dans le but auxerrois (45e+2). Avant l'ouverture du score, Monaco avait également été dangereux par Folarin Balogun (12e, 37e) alors qu'un sauvetage d'Elisha Owusu avait empêché Minamino de reprendre victorieusement le ballon (40e). A 0-0, les Bourguignons, pourtant décimés en défense centrale avec les forfaits de Clément Akpa, Francisco Sierralta et Sinaly Diomandé, sans compter la suspension du gardien Donovan Léon, s'étaient créés les meilleures occasions. Daniel Namaso et Casimir, avec des tentatives passant de peu à côté (6e, 28e), Sekou Mara dont le tir puissant a été détourné par Philipp Köhn (21e) et surtout Lassine Sinayoko face au portier monégasque repris par Vanderson (13e) auraient pu ouvrir la marque. C'est lorsqu'ils ont été en infériorité numérique que les Auxerrois ont réussi à égaliser sur un but inscrit contre son camp par Mohamed Salisu, sur la trajectoire d'un centre fort délivré de la gauche par Namaso (1-1, 73e). Et dans le temps additionnel, Köhn a été décisif pour sauver son équipe face à Ibrahim Osman, bien proche d'égaliser de nouveau en reprenant un centre de la droite adressé par Namaso (90e+1).

13.09.2025 à 23:11

Top 14: Lyon, le Stade toulousain et Pau trio de tête

FRANCE24

. Des champions encore en rodage Victorieux sur sa pelouse d'Ernest-Wallon des Catalans de Perpignan, avec le bonus offensif (31-13), le Stade toulousain, visiblement encore en rodage, n'en a pas moins assuré sa place sur le podium (9 pts), seulement devancé à la différence de points (+32 contre +28) par les Lyonnais, vainqueurs chez le promu Montauban (18-25). Mais c'est bien le Lou, comme après la première journée, qui reste pour l'instant en tête, en attendant le résultat de Bordeaux-Bègles dimanche soir sur la pelouse synthétique du Racing 92. Les Lyonnais ne s'étaient pas imposés à l'extérieur depuis le 25 janvier et une victoire 22-20 à l'UBB à la 80e minute. . Les Palois joueurs, les Soldats roses friables Victorieux 34-10 du Stade français, les Palois ont de leur côté confirmé leurs belles dispositions offensives avec quatre essais dont deux offerts par l'ailier international Théo Attissogbe sur des merveilles de passes après contact. Du côté du Stade français, le retour sur terre est douloureux après une victoire inaugurale (47-24) contre le promu Montauban qui n'était peut-être qu'un faux semblant. Avec déjà huit essais encaissés en deux rencontres, la défense parisienne a du travail en perspective. . Toulon dans la douleur, La Rochelle en deux minutes Contre des Castrais qu'ils avaient humiliés 52-23 en barrage la saison passée, les Toulonnais ont cette fois souffert, s'imposant finalement 16-12 avec un seul essai de leur fusée Gaël Dréan (59e). S'ils auront souffert jusqu'à la 82e minute, avec une pénaltouche gaspillée par le CO, cette deuxième victoire non bonifiée leur suffit pour remonter à la 4e place au classement (8 pts), à une longueur du trio de tête. Du côté des Rochelais, battus il y a une semaine à Bordeaux-Bègles chez les champions d'Europe, c'est aussi une victoire, là aussi bien plus difficile que pourrait le laisser entendre le score (34-16). A deux minutes du coup de sifflet final et avant les essais de leurs recrues vedettes, Davit Niniashvili (78e) et Nolann Le Garrec (80e), les Maritimes étaient encore à la portée de Clermontois réduits à 14 puis 13. . Bayonne a eu chaud Face à Montpellier, l'Aviron bayonnais a failli tomber dans son antre de Jean-Dauger. Mais la botte de Joris Segonds (16 points) a finalement fait la différence, avec la pénalité de la victoire (26-23) à la 77e minute, permettant au club basque d'aligner une deuxième victoire d'affilée, la 15e de suite devant son public. . Montauban, Perpignan et Clermont dans le dur Battu lourdement au Stade français pour son retour en Top 14 quinze ans après, l'US Montauban s'est à nouveau incliné sur sa pelouse de Sapiac, face au Lou, échouant à la dernière minute sur pénalité à décrocher le point de bonus défensif (18-25). Promis à la relégation par la quasi totalité des observateurs, le promu est déjà relégué en queue de classement. Mais les Tarn et Garonnais ne sont pas la seule équipe à zéro point, accompagnés dans ce trio de queue par Perpignan et des Clermontois qui se seront fait remarquer en recevant le premier carton orange de l'histoire du Top 14. Déclinaison française du carton rouge de 20 minutes en application à l'international, cette sanction a visé le deuxième ligne australien Rob Simmons, puni pour un placage épaule contre tête sur Grégory Alldritt.

13.09.2025 à 22:37

Martine Vassal, candidate de la droite et du centre, veut "reprendre" Marseille

FRANCE24

Deuxième candidate à se lancer après le député du Rassemblement national Franck Allisio, Martine Vassal retente sa chance après sa cuisante défaite de 2020 et le basculement à gauche de la deuxième ville de France, après 25 ans de règne du LR Jean-Claude Gaudin, aujourd'hui décédé. Mais cette fois, c'est différent. A l'époque, "il nous manquait un phénomène fédérateur" mais "cette union, aujourd’hui, nous l’avons", a déclaré celle qui est déjà présidente du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône et de la métropole Aix-Marseille-Provence, en clôture des universités d'été de Une Génération pour Marseille. Symbole s'il en fallait de cette union travaillée depuis plus d'un an par ce collectif piloté par Romain Simmarano, directeur de cabinet de Renaud Muselier: les présences de l'ex-secrétaire d’Etat et proche du couple Macron Sabrina Agresti-Roubache et de la sénatrice Les Républicains des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer. "On ne peut gagner que si on additionne", avait lancé à la tribune juste avant le président Renaissance Renaud Muselier de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur qui a promis de "peser de tout son poids" pour la faire gagner en mars 2026. Dessinant déjà ses propositions, cette ex-cheffe d'entreprise âgée de 63 ans a fait de la sécurité et de l'économie ses priorités. Dans un discours très droitier, cette ex-LR qui se présente désormais comme divers droite a estimé qu'"on peut être attaché à l'ordre, au respect à l'autorité sans être d'extrême-droite". Marseille sera un point chaud des municipales où le maire divers gauche sortant Benoît Payan n'a pas encore annoncé ses intentions même s'il répète que "pour changer une ville, six ans, ça ne suffit pas". "campagnes de caniveau" Au micro samedi soir, tous ont raillé le "maire non élu". Une référence à l'écologiste Michèle Rubirola, porte drapeau de l'union de gauche, écologiste et citoyenne du Printemps Marseillais, qui avait été élue en 2020 mais avait jeté l'éponge six mois plus tard pour "raisons de santé", passant le relais à l'ex-socialiste Benoît Payan. Et si Martine Vassal a réussi à fédérer, ce n'est pas le cas à ce stade des autres camps. Benoît Payan, s'il part, réussira-t-il à refaire une union au moins avec les écologistes ? A ce stade une alliance avec La France insoumise semble exclue et député de Marseille Sébastien Delogu a d'ailleurs déjà promis "une liste insoumise à Marseille". Sébastien Barles, adjoint écologiste au maire, a de son côté samedi de nouveau appelé à une union allant jusqu'à LFI pour "faire barrage à Martine Vassal", dénonçant "sa course folle vers le RN". A l'extrême-droite, Franck Allisio s'est déjà déclaré, fort des trois députés obtenus avec l'alliance RN-Ciotti (sur sept) à Marseille aux dernières législatives et de ses 30% aux élections européennes. Mais pas question à ce stade d'un partenariat avec le sénateur ex-RN et ex-Reconquête Stéphane Ravier, qui a pourtant une notoriété locale plus importante que lui. Franck Allisio a juré vendredi que "beaucoup de personnes de la société civile", "de la police, justice", le rejoignaient, dénonçant une nouvelle fois le "binôme socialo-macroniste" Payan/Vassal qui dirigent selon lui Marseille. Outre ses adversaires, Martine Vassal a au moins deux cailloux sur son chemin vers l'Hôtel de ville du Vieux-Port. D'abord, une enquête préliminaire en cours notamment pour détournement de fonds et trafic d'influence après un signalement d'un ancien fonctionnaire au sein du département des Bouches-du-Rhône qu’elle dirige. "Dans cette campagne rien ne nous sera épargné" et "on est déjà victime de campagnes de caniveau", a-t-elle raillé samedi soir. Ensuite, un élu départemental de sa majorité, le chirurgien Frédéric Collart, travaille à une candidature estampillée société civile. Autre inconnue à Marseille, comme à Lyon ou Paris: un changement de mode de scrutin avec la mise en place de deux urnes, l'une pour élire les membres du Conseil de la mairie centrale et l'autre pour élire les maires de secteur.
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