Le tribunal de Strasbourg a ordonné à la CPAM de verser au requérant, un homme trans de 31 ans, 3 000 euros de dommages et intérêts, en plus du remboursement de son intervention chirurgicale, estimant qu’elle lui a « causé un préjudice direct et certain ». Son avocate a salué une décision « inédite » en France.
Emmanuel Macron a évoqué cette idée, mardi, sur TF1. Des discussions sont en cours avec certains pays, « notamment en Europe de l’Est ». La mise en œuvre éventuelle de cette mesure suscite des inquiétudes.
Certaines associations fournissant des services de soutien, notamment aux victimes de violences génitales ou de mariages forcés, « ont du mal à obtenir une reconnaissance officielle ou un partenariat avec les autorités », s’inquiète des experts rattachés au Conseil de l’Europe.