Le président américain a multiplié les propos incendiaires contre la Somalie. La semaine dernière, il a annoncé son intention de « suspendre définitivement l’immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde ».
Alors que l’enquête se poursuit, le profil et les motivations de Rahmanullah Lakanwal restent entourés de zones d’ombre, attisant les interrogations des autorités et du public.
L’ancien président purgeait une peine de quarante-cinq ans de prison aux Etats-Unis pour trafic de drogue. Sa libération, annoncée par sa femme sur les réseaux sociaux, survient alors que deux candidats de droite sont au coude-à-coude dans le pays dans une élection présidentielle mouvementée.