L’utilisation de la généalogie génétique, encore interdite en France, a permis de remonter jusqu’au suspect. En 2015, l’enquête n’avait pas permis d’identifier le coupable malgré la découverte d’un ADN sur la scène du crime.
L’utilisation de la généalogie génétique, encore interdite en France, a permis de remonter jusqu’au suspect. En 2015, l’enquête n’avait pas permis d’identifier le coupable malgré la découverte d’un ADN sur la scène du crime.