Le débat public français est resté figé en 1945, alors que notre monde a changé, estime, dans une tribune au « Monde », l’historien François-Xavier Petit, qui propose de remplacer l’imaginaire de la modernisation par celui de la réparation des vivants et des savoir-faire.
Le débat public français est resté figé en 1945, alors que notre monde a changé, estime, dans une tribune au « Monde », l’historien François-Xavier Petit, qui propose de remplacer l’imaginaire de la modernisation par celui de la réparation des vivants et des savoir-faire.