La cyberattaque contre la messagerie du ministère de l’intérieur met en lumière une fragilité démocratique majeure, estime l’avocat Alexandre Lazarègue dans une tribune au « Monde ». La question se pose, selon lui, de savoir s’il faut continuer à conserver massivement les antécédents judiciaires des Français.
La cyberattaque contre la messagerie du ministère de l’intérieur met en lumière une fragilité démocratique majeure, estime l’avocat Alexandre Lazarègue dans une tribune au « Monde ». La question se pose, selon lui, de savoir s’il faut continuer à conserver massivement les antécédents judiciaires des Français.