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Chaîne de service public - Actualité internationale.

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20.12.2025 à 00:49

Trump annonce de "très lourdes représailles" contre l'EI en Syrie

FRANCE24
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"Nous frappons très fort contre des bastions de l'EI", a écrit le président américain sur Truth Social, peu après que le Pentagone eut annoncé le début d'une opération "massive". L'armée américaine a débuté une opération en Syrie pour "éliminer des combattants du groupe Etat islamique, des infrastructures et des sites d'armement", a fait savoir le chef du Pentagone Pete Hegseth sur X. Il s'agit d'une "réponse directe" et d'une "déclaration de vengeance" après l'attaque qui a coûté samedi la vie à deux militaires américains et un traducteur en Syrie, a-t-il ajouté, en affirmant: "Aujourd'hui nous avons traqué et tué des ennemis. Beaucoup d'ennemis. Et nous allons continuer." Des avions de chasse, des hélicoptères et de l'artillerie ont frappé "plus de 70 cibles à de multiples endroits dans le centre de la Syrie", a précisé le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient, le Centcom. Il a précisé que l'opération avait débuté à 16H00 heure de Washington (21H00 GMT) et que "plus de 100 munitions de précision" avaient été employées contre des positions du groupe Etat islamique. Tirs dans le désert Les frappes ont été menées dans le désert près de la ville de Homs et dans des zones rurales près de Deir ez-Zor et Raqqa, a affirmé à l'AFP une source sécuritaire syrienne. Aux explosions ont succédé "des éclats de tirs de calibre moyen dans le désert" au sud-ouest de Raqqa, a déclaré un responsable de la province, ajoutant qu'il s'agit de zones sous le contrôle du gouvernement syrien. Ce dernier "réitère son solide engagement à combattre l'EI et à s'assurer qu'il ne bénéficie d'aucun refuge sur le territoire syrien," a affirmé le ministère syrien des Affaires étrangères dans une déclaration publiée sur X peu après les frappes américaines, sans toutefois les mentionner directement. Le Centcom affirme que depuis l'attaque de samedi contre ses troupes, "les Etats-Unis et leurs forces alliées ont mené 10 opérations en Syrie et en Iraq, aboutissant à la mort ou au placement en détention de 23 terroristes." Première fois L'homme qui a tué trois Américains dans la région désertique de Palmyre a été identifié comme étant un membre des forces de sécurité syriennes. C'est la première fois qu'un tel événement est rapporté en Syrie depuis la prise du pouvoir, il y a un an, d'une coalition islamiste qui a effectué un rapprochement avec les Etats-Unis. Le groupe jihadiste Etat islamique avait contrôlé la région de Palmyre avant d'être défait en Syrie par une coalition internationale en 2019. Malgré sa défaite, ses combattants repliés dans le vaste désert syrien continuent épisodiquement de mener des attaques. Lors de la visite du président intérimaire syrien, Ahmad al-Chareh, à Washington le mois dernier, Damas avait rejoint la coalition internationale antijihadiste menée par les Etats-Unis. Les forces américaines en Syrie sont notamment déployées dans les zones sous contrôle kurde dans le nord, ainsi que dans la base d'Al-Tanf, près de la frontière jordanienne. Le retour au pouvoir de Donald Trump, sceptique de manière générale sur les déploiements de soldats américains à l'étranger, pose la question du maintien de cette présence militaire. Le Pentagone avait annoncé en avril que les Etats-Unis réduiraient de moitié le nombre de soldats américains en Syrie, dont l'effectif total actuel n'est pas officiellement connu.

20.12.2025 à 00:35

Noël avec le Secours Catholique : "les bénévoles sont toujours au rendez-vous"

FRANCE24
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A l'approche de la fête de Noël, le Président national du Secours catholique, Didier Duriez, évoque les événements organisés pour les plus démunis. 
Texte intégral (604 mots)
A l'approche de la fête de Noël, le Président national du Secours catholique, Didier Duriez, évoque les événements organisés pour les plus démunis. 

20.12.2025 à 00:22

Syrie : les États-Unis annoncent une opération "massive" contre l'EI, "plus de 70 cibles" frappées

FRANCE 24
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Le Pentagone a annoncé avoir lancé une opération "massive" en Syrie contre des combattants du groupe État islamique, des infrastructures et des sites d'armement, vendredi. Il s'agit de "très lourdes représailles" après l'attaque qui a coûté samedi la vie à deux militaires américains et un traducteur en Syrie, affirme Donald Trump.
Texte intégral (604 mots)
Le Pentagone a annoncé avoir lancé une opération "massive" en Syrie contre des combattants du groupe État islamique, des infrastructures et des sites d'armement, vendredi. Il s'agit de "très lourdes représailles" après l'attaque qui a coûté samedi la vie à deux militaires américains et un traducteur en Syrie, affirme Donald Trump.

19.12.2025 à 23:57

IA : arme de déstabilisation massive ?

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"Aujourd'hui tous les pays ont des stratégies de désinformation et les mettent en oeuvre", selon Thierry Berthier, maître de conférences en mathématiques, et spécialiste de cybersécurité et de cyberdéfense.  
Texte intégral (604 mots)
"Aujourd'hui tous les pays ont des stratégies de désinformation et les mettent en oeuvre", selon Thierry Berthier, maître de conférences en mathématiques, et spécialiste de cybersécurité et de cyberdéfense.  

19.12.2025 à 23:53

Trump "n'exclut pas" une guerre avec le Venezuela

FRANCE24
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"Non, je ne l'exclus pas", a déclaré le président américain à la chaîne américaine NBC, lors d'un entretien téléphonique enregistré la veille. Les Etats-Unis accusent le président vénézuélien Nicolas Maduro, l'une de leurs bêtes noires, d'être à la tête d'un réseau de trafic de drogue, ce que l'intéressé dément. Nicolas Maduro "sait exactement ce que je veux (...). Il le sait mieux que personne", a déclaré Donald Trump, refusant cependant de dire si son objectif était de le renverser. Le président américain a annoncé en début de semaine un "blocus total" contre des pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela. Il a déclaré lors de l'interview que d'autres saisies de pétroliers auront lieu, après celle la semaine dernière d'un navire qui transportait des barils de brut vénézuélien à destination de Cuba. Washington a déployé un important dispositif militaire dans les Caraïbes depuis cet été, et mené une série de frappes visant des embarcations de trafiquants de drogue présumés dans les Caraïbes et le Pacifique. Au moins 104 personnes ont été tuées dans ces frappes depuis le début de ces opérations, sans que le gouvernement américain n'ait jamais fourni la moindre preuve que les navires visés étaient effectivement impliqués dans un quelconque trafic. En parallèle, le président américain agite depuis des semaines la menace d'une intervention terrestre. "Changer la dynamique" "Il est clair que le statu quo actuel avec le régime vénézuélien est intolérable pour les Etats-Unis", a souligné lors d'une conférence de presse vendredi le secrétaire d'Etat Marco Rubio. "Donc oui, notre objectif est de changer la dynamique et c'est pourquoi le président fait ce qu'il fait", a-t-il dit. Pressé de questions, Marco Rubio, qui est lui-même d'origine cubaine et qui a répondu à plusieurs reprises en espagnol, a accusé le "régime illégitime" de Nicolas Maduro de "coopérer avec les narcoterroristes" mais sans aller jusqu'à dire si les Etats-Unis visaient un changement de régime, comme l'en accuse Caracas. Caracas assure que Washington veut renverser M. Maduro pour s'emparer du pétrole vénézuélien, principale ressource du pays. "Non seulement ils ne coopèrent pas, ils coopèrent ouvertement avec les terroristes et criminels", a cependant poursuivi le chef de la diplomatie américaine. Interrogé sur le soutien de la Russie à Nicolas Maduro, Marco Rubio a répondu que les Etats-Unis ne s'inquiétaient pas d'"une escalade avec la Russie", tout en disant ne pas être étonné que Moscou fournisse "un soutien rhétorique" à ce pays. Il a également affirmé que "rien n'empêcherait" Washington de mettre en place son blocus pétrolier contre le Venezuela. Des élus de l'opposition démocrate, mais aussi de la majorité présidentielle au Congrès, ont mis en cause la légalité des frappes américaines et exigé que toute opération sur le sol vénézuélien reçoive l'aval du Congrès américain. Mais Marco Rubio, qui est également conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, a répondu qu'"à ce stade, rien ne s'est produit qui nous oblige à informer le Congrès, à obtenir son approbation ou à franchir le seuil d'une guerre". Par ailleurs, les Etats-Unis ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions visant sept membres de la famille de personnes déjà sanctionnées le 11 décembre, dont trois des neveux de M. Maduro.
Texte intégral (604 mots)
"Non, je ne l'exclus pas", a déclaré le président américain à la chaîne américaine NBC, lors d'un entretien téléphonique enregistré la veille. Les Etats-Unis accusent le président vénézuélien Nicolas Maduro, l'une de leurs bêtes noires, d'être à la tête d'un réseau de trafic de drogue, ce que l'intéressé dément. Nicolas Maduro "sait exactement ce que je veux (...). Il le sait mieux que personne", a déclaré Donald Trump, refusant cependant de dire si son objectif était de le renverser. Le président américain a annoncé en début de semaine un "blocus total" contre des pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela. Il a déclaré lors de l'interview que d'autres saisies de pétroliers auront lieu, après celle la semaine dernière d'un navire qui transportait des barils de brut vénézuélien à destination de Cuba. Washington a déployé un important dispositif militaire dans les Caraïbes depuis cet été, et mené une série de frappes visant des embarcations de trafiquants de drogue présumés dans les Caraïbes et le Pacifique. Au moins 104 personnes ont été tuées dans ces frappes depuis le début de ces opérations, sans que le gouvernement américain n'ait jamais fourni la moindre preuve que les navires visés étaient effectivement impliqués dans un quelconque trafic. En parallèle, le président américain agite depuis des semaines la menace d'une intervention terrestre. "Changer la dynamique" "Il est clair que le statu quo actuel avec le régime vénézuélien est intolérable pour les Etats-Unis", a souligné lors d'une conférence de presse vendredi le secrétaire d'Etat Marco Rubio. "Donc oui, notre objectif est de changer la dynamique et c'est pourquoi le président fait ce qu'il fait", a-t-il dit. Pressé de questions, Marco Rubio, qui est lui-même d'origine cubaine et qui a répondu à plusieurs reprises en espagnol, a accusé le "régime illégitime" de Nicolas Maduro de "coopérer avec les narcoterroristes" mais sans aller jusqu'à dire si les Etats-Unis visaient un changement de régime, comme l'en accuse Caracas. Caracas assure que Washington veut renverser M. Maduro pour s'emparer du pétrole vénézuélien, principale ressource du pays. "Non seulement ils ne coopèrent pas, ils coopèrent ouvertement avec les terroristes et criminels", a cependant poursuivi le chef de la diplomatie américaine. Interrogé sur le soutien de la Russie à Nicolas Maduro, Marco Rubio a répondu que les Etats-Unis ne s'inquiétaient pas d'"une escalade avec la Russie", tout en disant ne pas être étonné que Moscou fournisse "un soutien rhétorique" à ce pays. Il a également affirmé que "rien n'empêcherait" Washington de mettre en place son blocus pétrolier contre le Venezuela. Des élus de l'opposition démocrate, mais aussi de la majorité présidentielle au Congrès, ont mis en cause la légalité des frappes américaines et exigé que toute opération sur le sol vénézuélien reçoive l'aval du Congrès américain. Mais Marco Rubio, qui est également conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, a répondu qu'"à ce stade, rien ne s'est produit qui nous oblige à informer le Congrès, à obtenir son approbation ou à franchir le seuil d'une guerre". Par ailleurs, les Etats-Unis ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions visant sept membres de la famille de personnes déjà sanctionnées le 11 décembre, dont trois des neveux de M. Maduro.
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