Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

Accès libre

▸ les 15 dernières parutions

23.07.2025 à 18:16

Négociations Ukraine - Russie : des positions irréconciliables ?

FRANCE24
img
Des négociateurs russes et ukrainiens se rencontrent pour la troisième fois ce mercredi à Istanbul, plus de sept semaines après leurs précédentes discussions et alors que le président américain Donald Trump a brandi la menace de nouvelles sanctions contre Moscou à défaut d'accord de cessez-le-feu. Analyse de Jean-Sylvestre Mongrenier, géopolitologue et directeur de recherche à l'Institut Thomas More.
Des négociateurs russes et ukrainiens se rencontrent pour la troisième fois ce mercredi à Istanbul, plus de sept semaines après leurs précédentes discussions et alors que le président américain Donald Trump a brandi la menace de nouvelles sanctions contre Moscou à défaut d'accord de cessez-le-feu. Analyse de Jean-Sylvestre Mongrenier, géopolitologue et directeur de recherche à l'Institut Thomas More.

23.07.2025 à 18:13

L'Union Européenne demande des "explications" à Zelensky concernant la lutte anticorruption

FRANCE24
img
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a demandé des "explications" au président ukrainien Volodymyr Zelensky, après la promulgation d'une loi sur les structures anticorruption qui a provoqué une vague de contestation en Ukraine. Analyse du Bruno Daroux, chroniqueur international France 24.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a demandé des "explications" au président ukrainien Volodymyr Zelensky, après la promulgation d'une loi sur les structures anticorruption qui a provoqué une vague de contestation en Ukraine. Analyse du Bruno Daroux, chroniqueur international France 24.

23.07.2025 à 18:01

L'affaire Epstein fait dérailler le Congrès américain

FRANCE24
img
L'élu républicain Thomas Massie, qui s'est déjà opposé à l'administration Trump sur plusieurs sujets ces derniers mois, veut forcer un vote sur une résolution qui appelle à la publication des documents judiciaires sur Jeffrey Epstein, riche financier mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. Thomas Massie est soutenu en cela par l'opposition démocrate, qui y voit un moyen de mettre Donald Trump encore plus dans l'embarras sur ce dossier sulfureux. Car la colère gronde au sein d'une partie de la base "MAGA" du président républicain, qui n'accepte pas les conclusions d'un memorandum publié début juillet par son administration, selon lequel Jeffrey Epstein serait bien mort d'un suicide, et ne possédait pas de liste de clients pour son réseau présumé d'exploitation sexuelle. Des partisans de Donald Trump lui reprochent aujourd'hui de revenir sur ses promesses de campagne en faisant preuve d'un manque de transparence. Dénonçant une "mascarade politicienne" des démocrates, le président républicain de la chambre basse, Mike Johnson, fait en sorte de bloquer tout vote sur la résolution de Thomas Massie, affirmant qu'une publication sans filtre mettrait en danger les victimes des crimes imputés à Jeffrey Epstein. "Sans vergogne" Il a démenti mercredi devant la presse toute tentative d'étouffer l'affaire et a dénoncé une opposition démocrate "sans vergogne" qui veut selon lui "instrumentaliser cette question", alors qu'ils auraient pu publier ces documents lorsqu'ils étaient au pouvoir ces quatre dernières années. Le blocage imposé par le "speaker" signifie que les travaux de la chambre basse sont en grande partie au point mort depuis plusieurs jours. Disposé à botter en touche jusque septembre, Mike Johnson a aussi décidé d'avancer d'un jour les vacances d'été des députés, qui partiront en congés pendant près de six semaines dès mercredi soir. Mardi, Thomas Massie l'avait accusé de vouloir contraindre les élus républicains à "faire l'autruche et laisser l'administration Trump essayer de dissiper peut-être tout ça en donnant quelques éléments au compte-gouttes". La Maison Blanche tente effectivement depuis plusieurs semaines d'éteindre l'incendie autour de l'affaire Epstein. Le ministère de la Justice a annoncé mardi vouloir interroger Ghislaine Maxwell, ex-compagne et complice du délinquant sexuel au carnet d'adresses foisonnant, avec lequel Donald Trump a entretenu des relations amicales. Une commission de la Chambre des représentants a voté une motion le même jour pour également entendre Ghislaine Maxwell, actuellement détenue en Floride, lors d'une audition sous serment à une date et un lieu encore à définir. Obama Interrogé sur l'initiative de son ministère de la Justice, Donald Trump a assuré mardi qu'il "ne suivait pas cela de très près". Devant les journalistes dans le Bureau ovale, il s'est ensuite lancé dans des diatribes virulentes contre Barack Obama, selon lui un "chef de gang" coupable de "trahison". Car depuis l'éclatement de la colère au sein de la base "MAGA" sur l'affaire Epstein, le président républicain tente de la rediriger vers l'ex-président démocrate. La directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, avait publié vendredi un rapport accusant Barack Obama de "complot" en lien avec les accusations d'ingérence russe dans la campagne victorieuse de Donald Trump en 2016. Et dimanche, le républicain avait diffusé sur son réseau Truth Social une vidéo vraisemblablement générée par intelligence artificielle montrant le premier président noir des Etats-Unis être arrêté dans le Bureau ovale par des agents du FBI. Cette stratégie de "détourner l'attention" s'appuie sur le fait que "les partisans MAGA aiment défendre leur président quand ils estiment qu'il est une victime", a analysé auprès de l'AFP Todd Belt, professeur de sciences politiques à l'université George Washington. Cependant, "il demeure incertain si cette stratégie actuelle fonctionnera pour le président", a-t-il ajouté. Le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a dénoncé mercredi l'attitude de la majorité présidentielle. "Quand vous n'avez rien à présenter de concret aux Américains, les républicains font porter le chapeau à Barack Obama. C'est ridicule", a-t-il déclaré devant la presse.
Texte intégral (711 mots)
L'élu républicain Thomas Massie, qui s'est déjà opposé à l'administration Trump sur plusieurs sujets ces derniers mois, veut forcer un vote sur une résolution qui appelle à la publication des documents judiciaires sur Jeffrey Epstein, riche financier mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. Thomas Massie est soutenu en cela par l'opposition démocrate, qui y voit un moyen de mettre Donald Trump encore plus dans l'embarras sur ce dossier sulfureux. Car la colère gronde au sein d'une partie de la base "MAGA" du président républicain, qui n'accepte pas les conclusions d'un memorandum publié début juillet par son administration, selon lequel Jeffrey Epstein serait bien mort d'un suicide, et ne possédait pas de liste de clients pour son réseau présumé d'exploitation sexuelle. Des partisans de Donald Trump lui reprochent aujourd'hui de revenir sur ses promesses de campagne en faisant preuve d'un manque de transparence. Dénonçant une "mascarade politicienne" des démocrates, le président républicain de la chambre basse, Mike Johnson, fait en sorte de bloquer tout vote sur la résolution de Thomas Massie, affirmant qu'une publication sans filtre mettrait en danger les victimes des crimes imputés à Jeffrey Epstein. "Sans vergogne" Il a démenti mercredi devant la presse toute tentative d'étouffer l'affaire et a dénoncé une opposition démocrate "sans vergogne" qui veut selon lui "instrumentaliser cette question", alors qu'ils auraient pu publier ces documents lorsqu'ils étaient au pouvoir ces quatre dernières années. Le blocage imposé par le "speaker" signifie que les travaux de la chambre basse sont en grande partie au point mort depuis plusieurs jours. Disposé à botter en touche jusque septembre, Mike Johnson a aussi décidé d'avancer d'un jour les vacances d'été des députés, qui partiront en congés pendant près de six semaines dès mercredi soir. Mardi, Thomas Massie l'avait accusé de vouloir contraindre les élus républicains à "faire l'autruche et laisser l'administration Trump essayer de dissiper peut-être tout ça en donnant quelques éléments au compte-gouttes". La Maison Blanche tente effectivement depuis plusieurs semaines d'éteindre l'incendie autour de l'affaire Epstein. Le ministère de la Justice a annoncé mardi vouloir interroger Ghislaine Maxwell, ex-compagne et complice du délinquant sexuel au carnet d'adresses foisonnant, avec lequel Donald Trump a entretenu des relations amicales. Une commission de la Chambre des représentants a voté une motion le même jour pour également entendre Ghislaine Maxwell, actuellement détenue en Floride, lors d'une audition sous serment à une date et un lieu encore à définir. Obama Interrogé sur l'initiative de son ministère de la Justice, Donald Trump a assuré mardi qu'il "ne suivait pas cela de très près". Devant les journalistes dans le Bureau ovale, il s'est ensuite lancé dans des diatribes virulentes contre Barack Obama, selon lui un "chef de gang" coupable de "trahison". Car depuis l'éclatement de la colère au sein de la base "MAGA" sur l'affaire Epstein, le président républicain tente de la rediriger vers l'ex-président démocrate. La directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, avait publié vendredi un rapport accusant Barack Obama de "complot" en lien avec les accusations d'ingérence russe dans la campagne victorieuse de Donald Trump en 2016. Et dimanche, le républicain avait diffusé sur son réseau Truth Social une vidéo vraisemblablement générée par intelligence artificielle montrant le premier président noir des Etats-Unis être arrêté dans le Bureau ovale par des agents du FBI. Cette stratégie de "détourner l'attention" s'appuie sur le fait que "les partisans MAGA aiment défendre leur président quand ils estiment qu'il est une victime", a analysé auprès de l'AFP Todd Belt, professeur de sciences politiques à l'université George Washington. Cependant, "il demeure incertain si cette stratégie actuelle fonctionnera pour le président", a-t-il ajouté. Le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a dénoncé mercredi l'attitude de la majorité présidentielle. "Quand vous n'avez rien à présenter de concret aux Américains, les républicains font porter le chapeau à Barack Obama. C'est ridicule", a-t-il déclaré devant la presse.
8 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Basta
Blast
Le Canard Enchaîné
L'Autre Quotidien
Alternatives Eco.
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
Le Monde
Libération
Mediapart
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
AOC
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
L'Insoumission
Les Jours
LVSL
Médias Libres
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
Rézo
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞