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10.05.2025 à 15:44

Guerre en Ukraine : Kiev propose un cessez-le-feu à Moscou à partir de lundi

FRANCE24
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Le président français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand, Friedrich Merz, et le Premier ministres britannique, Keir Starmer, sont arrivés à Kiev ce matin pour afficher avec le chef du gouvernement polonais, Donald Tusk, leur soutien à l'Ukraine. Ils appellent à un cessez-le-feu immédiat. Emmanuelle Chaze est sur place. 
Le président français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand, Friedrich Merz, et le Premier ministres britannique, Keir Starmer, sont arrivés à Kiev ce matin pour afficher avec le chef du gouvernement polonais, Donald Tusk, leur soutien à l'Ukraine. Ils appellent à un cessez-le-feu immédiat. Emmanuelle Chaze est sur place. 

10.05.2025 à 15:37

Dans la gare de Jammu, des centaines d'Indiens en fuite

FRANCE24
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Le train spécial affrété par le gouvernement vient d'entrer en gare. Destination la capitale New Delhi à 600 km plus au sud, loin du front. Sur le quai, c'est une indescriptible cohue. Ça pousse, ça tire, ça crie. Et ni les sifflets, ni les matraques des quelques policiers chargés de ramener l'ordre n'y changent rien. "Nous n'avons pas d'autre choix que de partir", souffle Karan Verma. Même s'il vit depuis vingt ans à Akhnoor, le maçon de 41 ans n'a pas hésité longtemps à quitter sa maison. "La nuit, on entend tout le temps de fortes explosions", justifie-il, paniqué. Ces deux derniers soirs, Jammu et ses environs ont été la cible de plusieurs vagues de drones pakistanais. Ils ont visé la base de l'armée de l'air toute proche, mais aussi des infrastructures civiles, accusent les autorités de New Delhi. Jusqu'au cessez-le-feu conclu samedi, les combats ont fait rage cette semaine le long de la frontière qui coupe la région du Cachemire entre l'Inde et le Pakistan. Les deux pays revendiquent depuis leur indépendance en 1947 l'entière souveraineté de cette région à majorité musulmane, à l'origine de plusieurs guerres et de multiples crises entre eux. "Piège" L'armée indienne a tiré mercredi une volée de missiles sur des camps pakistanais qui abritent des membres et des infrastructures du groupe jihadiste qu'elle accuse d'avoir assassiné 26 civils le 22 avril dans la ville de Pahalgam. Islamabad a fermement démenti toute implication dans cette attaque et a aussitôt riposté en procédant à des attaques de drones, des tirs d'artillerie ou des frappes de missiles sur l'Inde. Ces combats ont causé la mort d'une soixantaine de civils dans les deux pays. Dans la gare de Jammu, les candidats au départ ont pris le train spécial d'assaut. Ceux qui sont restés à quai tentent de faire passer un enfant ou un bagage à leurs proches déjà à bord. "Il devrait y avoir plus de train", rouspète Suresh Kumar, 43 ans en éloignant son frère, qui était prêt à en venir aux mains avec un autre homme pour grimper dans un wagon. Nisha Devi, son mari et ses trois enfants non plus n'ont pas réussi à se frayer une petite place dans un compartiment. Tant pis, elle patientera encore un peu pour rejoindre sa famille dans l'Etat du Bihar, dans le nord-est du pays. "Si j'étais monté dans ce train, j'aurais eu l'impression de m'être précipitée dans un piège avec mes enfants", philosophe-t-elle. Teklal Padmani Lala a eu plus de chance. Les deux mains solidement accrochés aux barres de métal qui encadrent la porte du wagon, elle attend avec détermination les premiers tours de roue du train. "Je resterai là jusqu'à mon arrivée à Delhi", assure-t-elle, "je ne bougerai pas".
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Le train spécial affrété par le gouvernement vient d'entrer en gare. Destination la capitale New Delhi à 600 km plus au sud, loin du front. Sur le quai, c'est une indescriptible cohue. Ça pousse, ça tire, ça crie. Et ni les sifflets, ni les matraques des quelques policiers chargés de ramener l'ordre n'y changent rien. "Nous n'avons pas d'autre choix que de partir", souffle Karan Verma. Même s'il vit depuis vingt ans à Akhnoor, le maçon de 41 ans n'a pas hésité longtemps à quitter sa maison. "La nuit, on entend tout le temps de fortes explosions", justifie-il, paniqué. Ces deux derniers soirs, Jammu et ses environs ont été la cible de plusieurs vagues de drones pakistanais. Ils ont visé la base de l'armée de l'air toute proche, mais aussi des infrastructures civiles, accusent les autorités de New Delhi. Jusqu'au cessez-le-feu conclu samedi, les combats ont fait rage cette semaine le long de la frontière qui coupe la région du Cachemire entre l'Inde et le Pakistan. Les deux pays revendiquent depuis leur indépendance en 1947 l'entière souveraineté de cette région à majorité musulmane, à l'origine de plusieurs guerres et de multiples crises entre eux. "Piège" L'armée indienne a tiré mercredi une volée de missiles sur des camps pakistanais qui abritent des membres et des infrastructures du groupe jihadiste qu'elle accuse d'avoir assassiné 26 civils le 22 avril dans la ville de Pahalgam. Islamabad a fermement démenti toute implication dans cette attaque et a aussitôt riposté en procédant à des attaques de drones, des tirs d'artillerie ou des frappes de missiles sur l'Inde. Ces combats ont causé la mort d'une soixantaine de civils dans les deux pays. Dans la gare de Jammu, les candidats au départ ont pris le train spécial d'assaut. Ceux qui sont restés à quai tentent de faire passer un enfant ou un bagage à leurs proches déjà à bord. "Il devrait y avoir plus de train", rouspète Suresh Kumar, 43 ans en éloignant son frère, qui était prêt à en venir aux mains avec un autre homme pour grimper dans un wagon. Nisha Devi, son mari et ses trois enfants non plus n'ont pas réussi à se frayer une petite place dans un compartiment. Tant pis, elle patientera encore un peu pour rejoindre sa famille dans l'Etat du Bihar, dans le nord-est du pays. "Si j'étais monté dans ce train, j'aurais eu l'impression de m'être précipitée dans un piège avec mes enfants", philosophe-t-elle. Teklal Padmani Lala a eu plus de chance. Les deux mains solidement accrochés aux barres de métal qui encadrent la porte du wagon, elle attend avec détermination les premiers tours de roue du train. "Je resterai là jusqu'à mon arrivée à Delhi", assure-t-elle, "je ne bougerai pas".

10.05.2025 à 15:31

WTA 1000 de Rome: Swiatek à terre dès le 3e tour

FRANCE24
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La Polonaise, qui s'est imposée sur la terre battue romaine à trois reprises (2021, 2022, 2024), abordera en plein doute Roland-Garros (25 mai-8 juin), dont elle a remporté quatre des cinq dernières éditions (2020, 2022, 2023, 2024). Multipliant les fautes directes et visiblement pas dans son assiette, Swiatek a cédé la première manche en 34 minutes avec seulement 23% de premières balles et quinze points gagnés. Dans le second set, la Polonaise de 23 ans a tenté de se rebeller et a pris d'entrée le service de son adversaire pour le reperdre aussitôt. Les deux joueuses sont restées dos à dos jusqu'à 6-5 avant que Swiatek ne craque de nouveau, cette fois définitivement. Depuis le début de la saison, elle n'a pas encore gagné de titre, mais elle avait toujours atteint au moins les quarts de finale des tournois qu'elle avait disputés. Son élimination au 3e tour au Foro Italico est son plus mauvais résultat de l'année et depuis sa première participation au tournoi romain en 2020 (1er tour). Elle va rétrograder de la 2e à la 4e place au classement WTA. Avant Rome, elle avait été balayée en demi-finale du WTA 1000 de Madrid par l'Américaine Coco Gauff (6-1, 6-1), match durant lequel elle était apparue fatiguée nerveusement, au bord des larmes. En arrivant à Rome, elle avait présenté cette défaite "simplement (comme) une mauvaise journée": "il ne faut pas y voir plus que cela", avait-elle insisté. Sa démonstration pour son entrée en lice, contre l'Italienne Elisabetta Cocciaretto (82e) balayée 6-1, 6-0 jeudi, l'avait rassurée. Mais Collins qu'elle avait battue à sept reprises lors de leurs huit précédents duels l'a renvoyée à ses tourments.
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La Polonaise, qui s'est imposée sur la terre battue romaine à trois reprises (2021, 2022, 2024), abordera en plein doute Roland-Garros (25 mai-8 juin), dont elle a remporté quatre des cinq dernières éditions (2020, 2022, 2023, 2024). Multipliant les fautes directes et visiblement pas dans son assiette, Swiatek a cédé la première manche en 34 minutes avec seulement 23% de premières balles et quinze points gagnés. Dans le second set, la Polonaise de 23 ans a tenté de se rebeller et a pris d'entrée le service de son adversaire pour le reperdre aussitôt. Les deux joueuses sont restées dos à dos jusqu'à 6-5 avant que Swiatek ne craque de nouveau, cette fois définitivement. Depuis le début de la saison, elle n'a pas encore gagné de titre, mais elle avait toujours atteint au moins les quarts de finale des tournois qu'elle avait disputés. Son élimination au 3e tour au Foro Italico est son plus mauvais résultat de l'année et depuis sa première participation au tournoi romain en 2020 (1er tour). Elle va rétrograder de la 2e à la 4e place au classement WTA. Avant Rome, elle avait été balayée en demi-finale du WTA 1000 de Madrid par l'Américaine Coco Gauff (6-1, 6-1), match durant lequel elle était apparue fatiguée nerveusement, au bord des larmes. En arrivant à Rome, elle avait présenté cette défaite "simplement (comme) une mauvaise journée": "il ne faut pas y voir plus que cela", avait-elle insisté. Sa démonstration pour son entrée en lice, contre l'Italienne Elisabetta Cocciaretto (82e) balayée 6-1, 6-0 jeudi, l'avait rassurée. Mais Collins qu'elle avait battue à sept reprises lors de leurs huit précédents duels l'a renvoyée à ses tourments.
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