Le cimentier français est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, par sa filiale syrienne, plusieurs millions d’euros à des groupes rebelles djihadistes afin de maintenir l’activité d’une cimenterie à Jalabiya, dans le nord de la Syrie.

Horaires décalés, vacation de douze heures, isolement et externalisation généralisée qui pèse sur la qualité de l’emploi. Des agents de sécurité manifestaient pour une revalorisation salariale, jeudi 18 décembre, devant le siège de l’Oréal.

A la fin de 2024, un juge d’instruction avait ordonné le renvoi devant la cour criminelle départementale de Fabrice T., le policier suspecté d’être l’auteur du tir tendu, sans enquêter sur la responsabilité du préfet de police, malgré une plainte.