Sans les dissimulations d’une adolescente, âgée de 13 ans à l’époque, le professeur d’histoire-géographie n’aurait jamais été assassiné. Cette évidence, qui ne suffit pas à épuiser la chaîne des responsabilités ayant conduit au meurtre, était au cœur de l’audience, mardi 26 novembre.
Sans les dissimulations d’une adolescente, âgée de 13 ans à l’époque, le professeur d’histoire-géographie n’aurait jamais été assassiné. Cette évidence, qui ne suffit pas à épuiser la chaîne des responsabilités ayant conduit au meurtre, était au cœur de l’audience, mardi 26 novembre.