La demande du général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, à « accepter de perdre ses enfants », n’a pas convaincu beaucoup d’élus. Pour autant, ces derniers ne nient pas le risque d’une guerre à venir et mettent en place d’autres moyens pour faire vivre le lien entre l’armée et la population.
La demande du général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, à « accepter de perdre ses enfants », n’a pas convaincu beaucoup d’élus. Pour autant, ces derniers ne nient pas le risque d’une guerre à venir et mettent en place d’autres moyens pour faire vivre le lien entre l’armée et la population.