Plusieurs individus, dont le gérant d’une entreprise chargée de la sécurité du chantier de la nouvelle autoroute, sont accusés d’avoir attaqué des militants qui s’opposaient au projet. Ils encourent jusqu’à vingt ans de prison pour incendie volontaire en bande organisée, association de malfaiteurs et violences en réunion.
Plusieurs individus, dont le gérant d’une entreprise chargée de la sécurité du chantier de la nouvelle autoroute, sont accusés d’avoir attaqué des militants qui s’opposaient au projet. Ils encourent jusqu’à vingt ans de prison pour incendie volontaire en bande organisée, association de malfaiteurs et violences en réunion.