Reconduit jeudi à la tête du Parti socialiste, à l’issue d’un scrutin plus serré que prévu, le député de Seine-et-Marne se voit contraint de composer avec le courant de Nicolas Mayer-Rossignol, arrivé deuxième, et celui de Boris Vallaud. Un revers à l’aube d’une élection présidentielle dans lequel il espère jouer un rôle prépondérant.
Reconduit jeudi à la tête du Parti socialiste, à l’issue d’un scrutin plus serré que prévu, le député de Seine-et-Marne se voit contraint de composer avec le courant de Nicolas Mayer-Rossignol, arrivé deuxième, et celui de Boris Vallaud. Un revers à l’aube d’une élection présidentielle dans lequel il espère jouer un rôle prépondérant.