Le virus, qui sévit surtout parmi les volailles, s’est adapté aux oiseaux sauvages, qu’il accompagne dans leurs déplacements à travers le globe. De migration en migration, il atteint désormais des îles australes isolées où l’élevage est tout à fait absent.
Le virus, qui sévit surtout parmi les volailles, s’est adapté aux oiseaux sauvages, qu’il accompagne dans leurs déplacements à travers le globe. De migration en migration, il atteint désormais des îles australes isolées où l’élevage est tout à fait absent.