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28.10.2025 à 13:24
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Dans son prochain numéro, la revue La Déferlante nous fait visiter une maison de santé particulière : la maison ASaSo (Avenir en santé solidaire), à Bruxelles (Belgique), qui réunit des médecins généralistes, des kinés, une infirmière, une psychologue ou encore une assistante sociale.
Plutôt que de payer des soignantes en libéral pour chaque acte de soin, « les prestations de santé sont ici prises en charge directement par l'Assurance maladie » belge, grâce à un financement « au (…)
Dans son prochain numéro, la revue La Déferlante nous fait visiter une maison de santé particulière : la maison ASaSo (Avenir en santé solidaire), à Bruxelles (Belgique), qui réunit des médecins généralistes, des kinés, une infirmière, une psychologue ou encore une assistante sociale.
Plutôt que de payer des soignantes en libéral pour chaque acte de soin, « les prestations de santé sont ici prises en charge directement par l'Assurance maladie » belge, grâce à un financement « au forfait, [...] obtenu de haute lutte par les soignantes au début des années 1980 ». Ce système permet ainsi d'éviter l'avance de frais et d'offrir les mêmes soins à toutes les patientes rattachées à cette maison de santé. « Dans la salle d'attente, il y a des parlementaires européens et des SDF », indique la médecin et cofondatrice du lieu, Pascaline d'Otreppe.
Dans son reportage, la revue détaille la « culture de la débrouille mise au service des habitantes de ce quartier multiculturel » où les quinze membres de l'équipe travaillent à temps partiel « en autogestion ». Un docteur précise faire « beaucoup de psychosocial » en plus de ses prestations, tandis qu'une coordinatrice ajoute que « les médecins sont payées deux à trois fois moins qu'en libéral ».
Pas de quoi décourager les soignantes : le nombre de ces maisons médicales « a quasiment doublé en dix ans » en Belgique, indique La Déferlante . Au point que la maison ASaSo est victime de son succès, raconte la revue.
28.10.2025 à 13:24
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28.10.2025 à 09:36
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27.10.2025 à 18:00
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27.10.2025 à 12:47
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Les exemples cités oscillent de l'erreur à l'absurdité administrative. Dans ce recueil de témoignages, le média breton Splann ! se fait l'écho du désarroi de petits agriculteurs allocataires du revenu de solidarité active (RSA) dans le Finistère.
Parce qu'ils travaillent sur de trop petites surfaces, ceux-ci ne dépendent pas de la Mutualité sociale agricole (MSA), mais de la Caisse d'allocations familiales (CAF), gérée par le département, pour percevoir leur RSA. Le problème, c'est (…)
Les exemples cités oscillent de l'erreur à l'absurdité administrative. Dans ce recueil de témoignages, le média breton Splann ! se fait l'écho du désarroi de petits agriculteurs allocataires du revenu de solidarité active (RSA) dans le Finistère.
Parce qu'ils travaillent sur de trop petites surfaces, ceux-ci ne dépendent pas de la Mutualité sociale agricole (MSA), mais de la Caisse d'allocations familiales (CAF), gérée par le département, pour percevoir leur RSA. Le problème, c'est qu'ils sont de plus en plus nombreux à subir des contrôles invasifs pour justifier de leur droit à cette allocation.
Une paysanne a ainsi dû demander à ses parents de justifier que leur virement était un cadeau fait à leur petit-fils. Un autre s'est vu reprocher « de ne pas avoir déclaré son crédit d'impôt bio [...] comme une ressource »... alors que ça n'en est pas une ! « Sur les 80 dossiers que je gère actuellement, près de la moitié concerne des agriculteurs ayant des problèmes liés à l'accès au RSA », confirme une animatrice de l'association d'aide aux agriculteurs Solidarité paysans.
Splann ! illustre ici les dysfonctionnements de la loi « plein emploi », en vigueur depuis cette année, mais aussi celles de la politique de « retour à l'emploi » du conseil départemental du Finistère depuis 2022.
27.10.2025 à 09:24
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