En ce début de rentrée scolaire, des bacheliers ou étudiants sont encore sur liste d’attente sur la plateforme Parcoursup ; d’autres ont été refusés de leurs vœux. Ils racontent l'angoisse et dénoncent le manque d’accompagnement.
Dans la nuit du 6 septembre, les portes d’une dizaine de bureaux aux Arches citoyennes, plus grand espace d’accueil solidaire parisien, ont été forcées. Des ordinateurs ont été volés, des menaces de mort racistes et des croix gammées ont été taguées.
Pour avoir frappé au visage un homme de 19 ans en 2022, des policiers ont été jugés. Bien que les coups soient filmés et que le motif de l’interpellation ne soit pas réglementaire, ils ont été relaxés. La victime a été condamnée pour outrage.
Lors d’un contrôle de police jeudi 28 août 2025, un policier a été filmé en train de gifler un jeune de 19 ans à La Plaine Saint-Denis (93) avant de lui cracher dessus.
Des militants stéphanois se lancent dans la réalisation d'un documentaire consacré à l'antifascisme en France pour ouvrir des « discussions », pour lutter contre « l'invisibilisation » ou la « déformation » de leur combat dans les médias.
À Cayenne, en Guyane, des demandeurs d’asile venant du Maghreb et du Moyen-Orient, logés dans un bidonville, se retrouvent au Boxing club de Montjoly pour s'entraîner avec des locaux.
À Toulouse, où l'invisibilisation croissante des publics à la rue complique leur accès aux droits, de nombreux occupants de lieux de vie informels ont dû affronter les fortes chaleurs avec un accès à l’eau fortement restreint. Reportage.
Après l’arrestation de bateaux en Méditerranée qui voulaient lever le blocus maritime israélien à Gaza, une nouvelle flottille formée par des anonymes de 44 pays s'est lancée. En France, des marins bretons volontaires sont en première ligne.
Negros Tou Moria est l’un des plus gros rappeurs de Grèce. StreetPress l’a suivi dans les quartiers populaires d’Athènes, où il nous raconte sa trajectoire de fils d’immigrés africains, entre succès, racisme et discriminations.
À Saint-Malo, le tourisme fait vaciller l’équilibre entre ville vivante et décor de carte postale. Face à l’explosion du prix de l'immobilier et des locations de vacances, les habitants racontent leur « sentiment de dépossession » et se mobilisent.
L’été, les parents de Divine, Khady, Ryadh et Thaïs les envoient chez leurs tantes. Des vacances d’une cité à une autre, avec leurs cousins, à traîner au parc et à la piscine, entre oisiveté et manque de moyens.