L’établissement parisien a porté plainte à deux reprises après la découverte d’inscriptions « injurieuses » sur ses façades à l’encontre notamment de l’organisateur de l’événement controversé sur la Palestine, qui avait été annulé puis reprogrammé ailleurs.
Les messages haineux avaient déferlé sur l’artiste dans la foulée de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques en juillet 2024. Elle était apparue dans le tableau intitulé « Festivité », qui avait suscité l’ire des milieux conservateurs et d’extrême droite.