Treize ans après la loi fédérale sur les résidences secondaires, dite « loi Weber », une initiative populaire votée en 2012 visant à plafonner à 20 % le taux d’habitations secondaires par commune, l’étalement urbain a ralenti dans le village alpin. L’activité immobilière reste lucrative, avec un marché désormais à deux vitesses entre les logements principaux et ceux de villégiature.
Treize ans après la loi fédérale sur les résidences secondaires, dite « loi Weber », une initiative populaire votée en 2012 visant à plafonner à 20 % le taux d’habitations secondaires par commune, l’étalement urbain a ralenti dans le village alpin. L’activité immobilière reste lucrative, avec un marché désormais à deux vitesses entre les logements principaux et ceux de villégiature.