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Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

09.12.2025 à 08:17

NBA: les Suns et les Spurs s'imposent à l'extérieur

FRANCE24
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. Des Suns durs au mal Une performance collective équilibrée en attaque a permis aux Suns de battre les Timberwolves dans leur antre (108-105), malgré les 40 points et neuf rebonds d'Anthony Edwards. Phoenix, privé de son meilleur marqueur Devin Booker en raison d'une blessure à l'aine, a ainsi mis fin à la série de cinq victoires consécutives de la franchise du Minnesota. Mark Williams (22 points), Collin Gillespie (19 points) et Dillon Brooks (18 points), qui souffre toujours d'une tendinite au tendon d'Achille gauche, ont mené les Suns vers le succès. "Nous sommes une équipe résiliente", a souligné Brooks. "Nous jouons dur et trouvons le moyen de gagner dans les moments décisifs. Même si nous ne tirions pas très bien, nous avons trouvé le moyen de marquer des petits points. Nous les avons surpassés vers la fin". Les Timberwolves restent en sixième position de la Conférence Ouest, une place devant les Suns, qui comptent un succès de moins. . Les Spurs grappillent San Antonio, toujours sans sa star française Victor Wembanyama qu'une blessure au mollet gauche a privé de 11 matchs, a dû s'employer pour battre les Pelicans (135-132), pourtant détenteurs du pire bilan de la ligue. Pour infliger à la franchise de la Nouvelle-Orléans sa 22e défaite en 25 rencontres, l'équipe de Mitch Johnson a pu compter sur 24 points de l'ailier Harrison Barnes et 22 points du meneur remplaçant Dylan Harper. Celui-ci a réussi un lay-up décisif à neuf secondes de la fin pour replacer les siens devant au score. "Au début de l'année, j'étais un peu indécis. J'hésitais, a déclaré Harper. Mais au fil de la saison, mes entraîneurs et mes coéquipiers m'ont encouragé à être moi-même, donc je pense que ce genre d'action montre que je vais attaquer le panier quoi qu'il arrive". Derik Queen, qui a réalisé un triple-double avec 33 points, 10 rebonds et 10 passes décisives pour la Nouvelle-Orléans, a raté un tir à 3,8 secondes de la fin, puis a commis une faute sur De'Aaron Fox, qui a réussi ses deux derniers lancers francs. Saddiq Bey a ensuite manqué un tir à trois points au buzzer pour égaliser, scellant le septième revers consécutif des Pelicans. Le meneur de San Antonio Stephon Castle, absent depuis trois semaines en raison d'une blessure à la hanche, a fait son retour et a contribué à la victoire avec 18 points, cinq rebonds et cinq passes. Les Spurs sont cinquièmes à l'Ouest après le premier quart de la saison régulière.

09.12.2025 à 08:16

En direct : la Lituanie déclare l'état d'urgence à cause de ballons de contrebande biélorusses

FRANCE 24
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La Lituanie a déclaré mardi 9 décembre 2025 l'état d'urgence après la détection de ballons de contrebande en provenance de Biélorussie. Côté diplomatique, au lendemain des discussions entre Volodymyr Zelensky et ses alliés européens, l'Ukraine doit présenter mardi aux États-Unis une version révisée du plan de paix de Donald Trump visant à mettre fin à la guerre menée par la Russie. Suivez notre direct.
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La Lituanie a déclaré mardi 9 décembre 2025 l'état d'urgence après la détection de ballons de contrebande en provenance de Biélorussie. Côté diplomatique, au lendemain des discussions entre Volodymyr Zelensky et ses alliés européens, l'Ukraine doit présenter mardi aux États-Unis une version révisée du plan de paix de Donald Trump visant à mettre fin à la guerre menée par la Russie. Suivez notre direct.

09.12.2025 à 08:02

"Face à la montée de l'extrême-droite, l'UE durcit sa politique migratoire"

Hélène FRADE
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A la Une de la presse, ce mardi 9 décembre, le 120ème anniversaire, en France, de la loi sur la laïcité consacrant la séparation des Eglises et de l’Etat. Longtemps considéré comme un «totem» républicain, le texte est aujourd’hui davantage contesté. Le durcissement de la politique migratoire européenne sur fond de poussée de l’extrême-droite. L’effacement des peuples autochtones du Brésil, malgré le promesses de Lula. Et des toutous en kimono.
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A la Une de la presse, ce mardi 9 décembre, le 120ème anniversaire, en France, de la loi sur la laïcité consacrant la séparation des Eglises et de l’Etat. Longtemps considéré comme un «totem» républicain, le texte est aujourd’hui davantage contesté. Le durcissement de la politique migratoire européenne sur fond de poussée de l’extrême-droite. L’effacement des peuples autochtones du Brésil, malgré le promesses de Lula. Et des toutous en kimono.

09.12.2025 à 07:45

Ligue des champions: Monaco déjà au pied du mur contre Galatasaray

FRANCE24
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Avec six points en cinq matches dans la compétition, Monaco est en retard sur son planning pour décrocher une place dans le Top 16 à l'issue de la phase de ligue, objectif énoncé en début de saison. Contre Galatasaray, actuel 14e (9pts), Sébastien Pocognoli et ses joueurs sont dans l'obligation de l'emporter lors de cette 6e journée. D'autant plus qu'ils se déplaceront à Madrid pour y affronter le Real, avant de recevoir la Juventus Turin pour la dernière journée. Face à des Turcs qui devront notamment se passer de l'ancien Monégasque Wilfried Singo et de l'ancien Niçois Mario Lemina, blessés, ainsi que de trois joueurs suspendus, mais qui gardent une ossature solide, avec, en particulier, les stars allemandes Ilkay Gündogan et Leroy Sané, et le buteur nigérian Victor Osimhen (six buts dans la compétition), Monaco est déjà au pied du mur. Et c'est dans un contexte tendu avec les Ultras du club que Denis Zakaria et ses partenaires devront l'emporter. Les supporters ont annoncé qu'ils feraient grève des encouragements durant 15 minutes, sans animation et qu'ils symboliseraient leur "rupture avec la faillite mentale de l'équipe" en déployant leurs bâches à l'envers. Dimanche soir, leur communiqué "exigeait un changement radical à la tête de la direction sportive", Thiago Scuro et son équipe n'ayant "plus la légitimité, ni la compétence nécessaires pour mener le club". Kehrer attend "une discipline d'équipe" En conférence de presse d'avant-match à laquelle assistait Scuro, Pocognoli a reconnu en avoir pris connaissance, comme tout le monde. Pourtant, avant la défaite à Brest (1-0), "on a rencontré nos supporters et le dialogue était bon dans le soutien", a indiqué l'entraîneur belge, dont les résultats depuis son arrivée début octobre sont mauvais (4 victoires, 3 nuls, 4 défaites, 13 buts marqués et 16 encaissés). "Il faut vivre avec (ce mécontentement, ndlr) et rétablir la confiance. La seule manière, c'est de refaire des bonnes performances combinées à un bon état d'esprit", a-t-il insisté. "On est capable de le faire" contre Galatasaray, a-t-il poursuivi. "C'est la première marche à franchir ensemble", avant le déplacement à Marseille dimanche soir en L1, et celui à Auxerre en Coupe. "On a pris note, on va faire le maximum pour relever la tête. On a trois matches avec beaucoup d'objectifs qu'on peut remplir de manière positive", a-t-il énoncé. Mais ces promesses pleines de bonnes intentions font face à des faits. Monaco est d'une instabilité chronique déconcertante, notamment défensive. Ses leaders, offensifs comme défensifs, sont tour à tour en difficulté. Pire, l'équipe encaisse trop de buts. Présent en conférence de presse avec son entraîneur, le défenseur central Thilo Kehrer n'a pas apprécié ce constat. Comme Mohammed Salisu après le nul à Limassol contre Pafos (2-2), il a pointé d'autres dysfonctionnements plus importants à son goût. "Cela ne sert à rien de parler de ça (d'instabilité défensive, ndlr). C'est un sport d'équipe, il faut voir les choses de façon générale", a-t-il répondu, avant de préciser: "Défendre, obtenir des +clean sheets+, c'est une discipline d'équipe (...). On doit voir l'instabilité dans ce secteur, comme pour les autres secteurs: créer des occasions, contre-pressing, attitudes dans certains matches. Nous améliorer globalement nous permettra de prendre moins de buts." Il serait alors bienvenu aux Monégasques d'y parvenir dès mardi soir...
Texte intégral (581 mots)
Avec six points en cinq matches dans la compétition, Monaco est en retard sur son planning pour décrocher une place dans le Top 16 à l'issue de la phase de ligue, objectif énoncé en début de saison. Contre Galatasaray, actuel 14e (9pts), Sébastien Pocognoli et ses joueurs sont dans l'obligation de l'emporter lors de cette 6e journée. D'autant plus qu'ils se déplaceront à Madrid pour y affronter le Real, avant de recevoir la Juventus Turin pour la dernière journée. Face à des Turcs qui devront notamment se passer de l'ancien Monégasque Wilfried Singo et de l'ancien Niçois Mario Lemina, blessés, ainsi que de trois joueurs suspendus, mais qui gardent une ossature solide, avec, en particulier, les stars allemandes Ilkay Gündogan et Leroy Sané, et le buteur nigérian Victor Osimhen (six buts dans la compétition), Monaco est déjà au pied du mur. Et c'est dans un contexte tendu avec les Ultras du club que Denis Zakaria et ses partenaires devront l'emporter. Les supporters ont annoncé qu'ils feraient grève des encouragements durant 15 minutes, sans animation et qu'ils symboliseraient leur "rupture avec la faillite mentale de l'équipe" en déployant leurs bâches à l'envers. Dimanche soir, leur communiqué "exigeait un changement radical à la tête de la direction sportive", Thiago Scuro et son équipe n'ayant "plus la légitimité, ni la compétence nécessaires pour mener le club". Kehrer attend "une discipline d'équipe" En conférence de presse d'avant-match à laquelle assistait Scuro, Pocognoli a reconnu en avoir pris connaissance, comme tout le monde. Pourtant, avant la défaite à Brest (1-0), "on a rencontré nos supporters et le dialogue était bon dans le soutien", a indiqué l'entraîneur belge, dont les résultats depuis son arrivée début octobre sont mauvais (4 victoires, 3 nuls, 4 défaites, 13 buts marqués et 16 encaissés). "Il faut vivre avec (ce mécontentement, ndlr) et rétablir la confiance. La seule manière, c'est de refaire des bonnes performances combinées à un bon état d'esprit", a-t-il insisté. "On est capable de le faire" contre Galatasaray, a-t-il poursuivi. "C'est la première marche à franchir ensemble", avant le déplacement à Marseille dimanche soir en L1, et celui à Auxerre en Coupe. "On a pris note, on va faire le maximum pour relever la tête. On a trois matches avec beaucoup d'objectifs qu'on peut remplir de manière positive", a-t-il énoncé. Mais ces promesses pleines de bonnes intentions font face à des faits. Monaco est d'une instabilité chronique déconcertante, notamment défensive. Ses leaders, offensifs comme défensifs, sont tour à tour en difficulté. Pire, l'équipe encaisse trop de buts. Présent en conférence de presse avec son entraîneur, le défenseur central Thilo Kehrer n'a pas apprécié ce constat. Comme Mohammed Salisu après le nul à Limassol contre Pafos (2-2), il a pointé d'autres dysfonctionnements plus importants à son goût. "Cela ne sert à rien de parler de ça (d'instabilité défensive, ndlr). C'est un sport d'équipe, il faut voir les choses de façon générale", a-t-il répondu, avant de préciser: "Défendre, obtenir des +clean sheets+, c'est une discipline d'équipe (...). On doit voir l'instabilité dans ce secteur, comme pour les autres secteurs: créer des occasions, contre-pressing, attitudes dans certains matches. Nous améliorer globalement nous permettra de prendre moins de buts." Il serait alors bienvenu aux Monégasques d'y parvenir dès mardi soir...

09.12.2025 à 07:45

Ligue des champions: pour se consoler de la L1, l'OM a l'Europe

FRANCE24
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Après les mauvais résultats de son équipe, De Zerbi opte souvent pour la voie de l'optimisme, celle du verre à moitié plein, voire de la méthode Coué. Mais après la triste défaite concédée par les siens vendredi à Lille (1-0), pas si loin du stade d'Anderlecht où ils affronteront l'USG mardi, le technicien italien n'a pas eu le moindre mot sucré pour défendre le difficilement défendable. Florilège: "Tout le monde a mal joué." "Tout le monde a été mauvais." "On n'a pas aligné trois passes." "Ça ne sert à rien de parler, parfois il vaut mieux se taire." Il faut dire que la prestation des Marseillais dans le Nord n'incitait pas à l'indulgence. Offensivement, l'OM n'a ainsi rien produit et a fini le match avec le pauvre bilan de deux tirs cadrés. En 1962, déjà Et en défense, de nouvelles errances et une sortie à l'aventure de Geronimo Rulli ont permis à Ethan Mbappé de devenir le deuxième membre de la fratrie à martyriser l'OM après Kylian, auteur d'un doublé lors de la victoire du Real en ouverture de la saison européenne (2-1). La déception de De Zerbi et des Marseillais a en outre été accentuée par le fait que cette défaite est intervenue après un match nul bêtement abandonné face à Toulouse, qui a égalisé au Vélodrome sur une touche longue dans le temps additionnel. Résultat, après avoir été à l'aise en L1 mais à la peine en Ligue des champions, les Marseillais se retrouvent dans la situation inverse, troisièmes "seulement" en championnat mais finalement pas si mal placés sur la scène européenne. Car il y a 15 jours, ils ont réussi à renverser Newcastle (2-1) au Vélodrome et sont désormais à la tête de six points. Le pactole est modeste, certes, mais la barre à franchir pour atteindre les barrages pourrait être un peu moins haute cette saison que les 11 points du précédent exercice. Avec une victoire de plus, à Bruxelles mardi par exemple, les Marseillais ne seraient ainsi sans doute plus très loin du compte. Mais pour battre l'Union Saint-Gilloise, qui a été en 1962 le premier adversaire de l'OM en Coupe d'Europe, celle des Villes de Foire en l’occurrence, Leonardo Balerdi et ses équipiers vont devoir régler quelques soucis. En attendant Monaco Il leur faudra déjà jouer mieux que face à Toulouse et Lille, c'est entendu, mais aussi trouver le moyen d'être enfin efficaces à l'extérieur. C'est en effet loin du Vélodrome que les Marseillais ont concédé six de leurs sept défaites de la saison, avec notamment deux revers européens, à Madrid face au Real et à Lisbonne contre le Sporting (2-1). Face à eux, ils vont retrouver un adversaire leader du championnat de Belgique mais qui, comme eux, n'a pris qu'un seul point lors des deux dernières journées. Et en Coupe d'Europe, l'USG, qui joue sur la pelouse de son rival Anderlecht, son stade habituel n'étant pas aux normes de l'UEFA, compte six points, comme Marseille, mais avec des défaites très nettes contre les adversaires de gros calibre (4-0 contre l'Inter Milan et Newcastle et 3-1 face à l'Atlético de Madrid). S'ils jouent à leur meilleur niveau, les Marseillais ont donc les moyens de faire un résultat en Belgique. Et de préparer ainsi au mieux la venue dimanche de Monaco et de son entraîneur Sébastien Pocognoli, qui a commencé la saison sur le banc de... l'Union Saint-Gilloise.
Texte intégral (594 mots)
Après les mauvais résultats de son équipe, De Zerbi opte souvent pour la voie de l'optimisme, celle du verre à moitié plein, voire de la méthode Coué. Mais après la triste défaite concédée par les siens vendredi à Lille (1-0), pas si loin du stade d'Anderlecht où ils affronteront l'USG mardi, le technicien italien n'a pas eu le moindre mot sucré pour défendre le difficilement défendable. Florilège: "Tout le monde a mal joué." "Tout le monde a été mauvais." "On n'a pas aligné trois passes." "Ça ne sert à rien de parler, parfois il vaut mieux se taire." Il faut dire que la prestation des Marseillais dans le Nord n'incitait pas à l'indulgence. Offensivement, l'OM n'a ainsi rien produit et a fini le match avec le pauvre bilan de deux tirs cadrés. En 1962, déjà Et en défense, de nouvelles errances et une sortie à l'aventure de Geronimo Rulli ont permis à Ethan Mbappé de devenir le deuxième membre de la fratrie à martyriser l'OM après Kylian, auteur d'un doublé lors de la victoire du Real en ouverture de la saison européenne (2-1). La déception de De Zerbi et des Marseillais a en outre été accentuée par le fait que cette défaite est intervenue après un match nul bêtement abandonné face à Toulouse, qui a égalisé au Vélodrome sur une touche longue dans le temps additionnel. Résultat, après avoir été à l'aise en L1 mais à la peine en Ligue des champions, les Marseillais se retrouvent dans la situation inverse, troisièmes "seulement" en championnat mais finalement pas si mal placés sur la scène européenne. Car il y a 15 jours, ils ont réussi à renverser Newcastle (2-1) au Vélodrome et sont désormais à la tête de six points. Le pactole est modeste, certes, mais la barre à franchir pour atteindre les barrages pourrait être un peu moins haute cette saison que les 11 points du précédent exercice. Avec une victoire de plus, à Bruxelles mardi par exemple, les Marseillais ne seraient ainsi sans doute plus très loin du compte. Mais pour battre l'Union Saint-Gilloise, qui a été en 1962 le premier adversaire de l'OM en Coupe d'Europe, celle des Villes de Foire en l’occurrence, Leonardo Balerdi et ses équipiers vont devoir régler quelques soucis. En attendant Monaco Il leur faudra déjà jouer mieux que face à Toulouse et Lille, c'est entendu, mais aussi trouver le moyen d'être enfin efficaces à l'extérieur. C'est en effet loin du Vélodrome que les Marseillais ont concédé six de leurs sept défaites de la saison, avec notamment deux revers européens, à Madrid face au Real et à Lisbonne contre le Sporting (2-1). Face à eux, ils vont retrouver un adversaire leader du championnat de Belgique mais qui, comme eux, n'a pris qu'un seul point lors des deux dernières journées. Et en Coupe d'Europe, l'USG, qui joue sur la pelouse de son rival Anderlecht, son stade habituel n'étant pas aux normes de l'UEFA, compte six points, comme Marseille, mais avec des défaites très nettes contre les adversaires de gros calibre (4-0 contre l'Inter Milan et Newcastle et 3-1 face à l'Atlético de Madrid). S'ils jouent à leur meilleur niveau, les Marseillais ont donc les moyens de faire un résultat en Belgique. Et de préparer ainsi au mieux la venue dimanche de Monaco et de son entraîneur Sébastien Pocognoli, qui a commencé la saison sur le banc de... l'Union Saint-Gilloise.

09.12.2025 à 07:30

Premier League : Manchester United s'impose facilement à Wolverhampton

L'Equipe TV
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Manchester United a facilement battu Wolverhampton (4-1). Les Red Devils sont 6es, les Wolves sont bons derniers.
Texte intégral (594 mots)
Manchester United a facilement battu Wolverhampton (4-1). Les Red Devils sont 6es, les Wolves sont bons derniers.

09.12.2025 à 07:20

En France, "une instrumentalisation de la laïcité" pour cibler l'islam

Romain BRUNET
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Plusieurs propositions législatives du parti Les Républicains formulées fin novembre ciblent ouvertement les musulmans. Une illustration supplémentaire de la "banalisation de l’instrumentalisation de la laïcité", selon le spécialiste Nicolas Cadène, qui fustige cette dérive initiée par l’extrême droite et reprise désormais par la droite et une partie du centre.
Texte intégral (594 mots)
Plusieurs propositions législatives du parti Les Républicains formulées fin novembre ciblent ouvertement les musulmans. Une illustration supplémentaire de la "banalisation de l’instrumentalisation de la laïcité", selon le spécialiste Nicolas Cadène, qui fustige cette dérive initiée par l’extrême droite et reprise désormais par la droite et une partie du centre.

09.12.2025 à 06:37

Bilan 2025 de RSF : 67 journalistes tués, dont près de la moitié par l'armée israélienne à Gaza

FRANCE 24
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En 2025, 67 journalistes ont perdu la vie dans l’exercice ou en raison de leur métier à travers le monde, selon le bilan annuel de Reporters sans frontières publié mardi. Près de la moitié d'entre eux sont morts dans la bande de Gaza, "sous le feu des forces armées israéliennes", accusées par l'ONG d'être "le pire ennemi des journalistes".
Texte intégral (594 mots)
En 2025, 67 journalistes ont perdu la vie dans l’exercice ou en raison de leur métier à travers le monde, selon le bilan annuel de Reporters sans frontières publié mardi. Près de la moitié d'entre eux sont morts dans la bande de Gaza, "sous le feu des forces armées israéliennes", accusées par l'ONG d'être "le pire ennemi des journalistes".

09.12.2025 à 06:33

Honduras: le candidat Nasralla dénonce un "vol" de la présidentielle en faveur de son rival adoubé par Trump

FRANCE24
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Au point mort depuis plusieurs jours, le décompte des bulletins, qui restait bloqué à 88,6% samedi, a repris lundi. Avec désormais près de 99% des bulletins dépouillés, M. Asfura, un homme d'affaires âgé de 67 ans, membre du Parti national (PN) et soutenu par Donald Trump, totalise 40,53% des voix, contre 39,16% pour M. Nasralla, selon le Conseil national électoral (CNE). "C'est du vol", a lancé M. Nasralla sur X, dénonçant une manipulation du système informatique lors de ce dépouillement interrompu à plusieurs reprises depuis le scrutin du 30 novembre. La présidente du CNE, Ana Paola Hall, a précisé sur X que des "mesures techniques nécessaires, accompagnées d'un audit externe", avaient été prises pour régulariser la situation. Mais M. Nasralla, un présentateur de télévision de 72 ans membre du Parti libéral (PL), affirme que son parti avait une avance de 20% sur M. Asfura au moment d'une nouvelle interruption du décompte lundi. Il exige un recompte "bulletin par bulletin" des procès-verbaux qui, selon lui, montrent un "schéma de fraude où la reconnaissance biométrique n'a pas été utilisée et où les procès-verbaux ont été rédigés de manière arbitraire". "Annulation totale" Plus d'une semaine après les élections, il reste à vérifier 2.749 procès-verbaux de votes présentant des "incohérences" et représentant 14,5% des votes valides, a reconnu le CNE. Selon la loi, l'organisme a jusqu'au 30 décembre pour déclarer un vainqueur. MM. Asfura et Nasralla devancent largement la présidente sortante de gauche Xiomara Castro, du parti Libre, qui arrive en troisième position. Ce parti a réclamé dimanche une "annulation totale" des élections, invoquant une "ingérence" des Etats-Unis, et a appelé à des mobilisations et grèves. L'administration Trump a assuré lundi que le scrutin avait été intègre et qu'il n'y avait "aucune preuve crédible" justifiant son annulation. Le dirigeant américain avait déclaré avant le scrutin un soutien sans équivoque à M. Asfura, qu'il considère comme un "ami de la liberté". Il a parallèlement gracié le mentor du candidat conservateur, l'ex-président hondurien Juan Orlando Hernandez, qui purgeait une peine de 45 ans de réclusion aux Etats-Unis pour trafic de drogue. Lundi, le parquet général du Honduras a demandé à Interpol de l'arrêter. Le CNE a évoqué pour expliquer les suspensions du dépouillement des problèmes techniques au sein de l'entreprise privée chargée de la transmission et de la diffusion des résultats. Dimanche, M. Nasralla avait accusé "les corrompus" de compromettre le processus de comptage. Marlon Ochoa, membre d'opposition du CNE, avait lui jugé qu'en raison de ces irrégularités ces élections étaient "les plus manipulées et les moins crédibles" de l'histoire démocratique du Honduras. Samedi, les observateurs électoraux de l'Organisation des Etats américains (OEA) avaient demandé "une accélération" du dépouillement, dans ce pays de quelque 10 millions d'habitants.
Lire plus (499 mots)
Au point mort depuis plusieurs jours, le décompte des bulletins, qui restait bloqué à 88,6% samedi, a repris lundi. Avec désormais près de 99% des bulletins dépouillés, M. Asfura, un homme d'affaires âgé de 67 ans, membre du Parti national (PN) et soutenu par Donald Trump, totalise 40,53% des voix, contre 39,16% pour M. Nasralla, selon le Conseil national électoral (CNE). "C'est du vol", a lancé M. Nasralla sur X, dénonçant une manipulation du système informatique lors de ce dépouillement interrompu à plusieurs reprises depuis le scrutin du 30 novembre. La présidente du CNE, Ana Paola Hall, a précisé sur X que des "mesures techniques nécessaires, accompagnées d'un audit externe", avaient été prises pour régulariser la situation. Mais M. Nasralla, un présentateur de télévision de 72 ans membre du Parti libéral (PL), affirme que son parti avait une avance de 20% sur M. Asfura au moment d'une nouvelle interruption du décompte lundi. Il exige un recompte "bulletin par bulletin" des procès-verbaux qui, selon lui, montrent un "schéma de fraude où la reconnaissance biométrique n'a pas été utilisée et où les procès-verbaux ont été rédigés de manière arbitraire". "Annulation totale" Plus d'une semaine après les élections, il reste à vérifier 2.749 procès-verbaux de votes présentant des "incohérences" et représentant 14,5% des votes valides, a reconnu le CNE. Selon la loi, l'organisme a jusqu'au 30 décembre pour déclarer un vainqueur. MM. Asfura et Nasralla devancent largement la présidente sortante de gauche Xiomara Castro, du parti Libre, qui arrive en troisième position. Ce parti a réclamé dimanche une "annulation totale" des élections, invoquant une "ingérence" des Etats-Unis, et a appelé à des mobilisations et grèves. L'administration Trump a assuré lundi que le scrutin avait été intègre et qu'il n'y avait "aucune preuve crédible" justifiant son annulation. Le dirigeant américain avait déclaré avant le scrutin un soutien sans équivoque à M. Asfura, qu'il considère comme un "ami de la liberté". Il a parallèlement gracié le mentor du candidat conservateur, l'ex-président hondurien Juan Orlando Hernandez, qui purgeait une peine de 45 ans de réclusion aux Etats-Unis pour trafic de drogue. Lundi, le parquet général du Honduras a demandé à Interpol de l'arrêter. Le CNE a évoqué pour expliquer les suspensions du dépouillement des problèmes techniques au sein de l'entreprise privée chargée de la transmission et de la diffusion des résultats. Dimanche, M. Nasralla avait accusé "les corrompus" de compromettre le processus de comptage. Marlon Ochoa, membre d'opposition du CNE, avait lui jugé qu'en raison de ces irrégularités ces élections étaient "les plus manipulées et les moins crédibles" de l'histoire démocratique du Honduras. Samedi, les observateurs électoraux de l'Organisation des Etats américains (OEA) avaient demandé "une accélération" du dépouillement, dans ce pays de quelque 10 millions d'habitants.

09.12.2025 à 05:43

Présidentielle au Chili: l'extrême droite de Kast favorite face à la gauche de Jara

FRANCE24
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Le leader du Parti Républicain, qui promet de lutter contre la criminalité en expulsant les quelque 337.000 migrants en situation irrégulière dans le pays, pourrait devenir le premier président d'extrême droite depuis la fin de la dictature de Pinochet en 1990. Tous les sondages le donnent largement en tête face à sa rivale du Parti communiste et représentante d'une vaste coalition de partis de gauche et de centre gauche. La loi interdit au président de gauche Gabriel Boric de briguer un second mandat consécutif. Jeannette Jara est arrivée en tête du premier tour en novembre, mais José Antonio Kast et l'ensemble des candidats de droite ont cumulé plus de 50% des suffrages. Bien que le Chili reste l'un des pays les plus sûrs du continent, les homicides ont augmenté de 140% en dix ans, passant de 2,5 pour 100.000 habitants à 6 en 2024, selon le gouvernement. La moyenne régionale est de 15, selon l'ONU. Les enlèvements ont également progressé, de 76% entre 2021 et 2024, pour atteindre 868 l'année dernière, selon le ministère public. Compte à rebours L'ultraconservateur de 59 ans entretient un compte à rebours des jours le séparant, selon lui, de son arrivée au pouvoir le 11 mars et de l'expulsion des migrants sans papiers qu'il promet. Il veut aussi construire un mur à la frontière avec la Bolivie et envoyer 3.000 militaires aux frontières. La perception d'insécurité au sein de la population "joue un rôle très important en politique et particulièrement en politique électorale. Je pense que la droite a su instrumentaliser cela à son avantage", analyse Guillaume Long, du Centre d'études économiques et politiques (CEPR) de Washington. José Antonio Kast a cependant exclu mercredi dernier lors d'un face-à-face avec son adversaire de reproduire les descentes anti-immigration vues aux Etats-Unis. "Nous ne parlons pas (de raids) comme ceux de l'ICE", la police fédérale américaine de l'immigration, a-t-il affirmé, prônant plutôt des contrôles stricts. Il y a quatre ans, il avait déjà atteint le second tour, avant de s'incliner face à Gabriel Boric. A l'époque, les électeurs avaient soutenu la promesse de remplacer la Constitution héritée d'Augusto Pinochet afin d'améliorer l'accès à la santé et à l'éducation, dans le sillage de la contestation sociale de 2019. Aujourd'hui, après deux tentatives avortées de réforme constitutionnelle, la priorité des électeurs va à un renforcement de la sécurité. Divergences Jeannette Jara, 51 ans, a ainsi dû ajuster son discours en donnant plus de place à la question sécuritaire, sans pour autant abandonner ses propositions sociales. "Il n'y a pas de candidature plus engagée que la nôtre en matière de sécurité : sécurité pour lutter contre la criminalité et sécurité pour arriver à la fin du mois", a-t-elle déclaré. En matière d'immigration, elle promet des contrôles renforcés aux frontières et un recensement des sans-papiers afin d'identifier ceux qui ont un casier judiciaire et de les expulser. Sur le plan social, elle défend un salaire minimum proche de 800 dollars, soit environ 250 de plus qu'aujourd'hui. "Les étrangers, le crime organisé et tous ces sujets sont très importants, mais il y a des choses au-delà de cela", déclare Valentina Valenzuela, une étudiante de 20 ans, qui votera pour Jeannette Jara. Ancienne ministre du Travail, Jeannette Jara tente de convaincre en misant sur son bilan, notamment la réduction de la semaine de travail à 40 heures et une réforme du système privé de retraites. Elle a critiqué son rival pour son "absence de propositions" concrètes. Malgré des divergences avec la direction du Parti communiste, son engagement au sein du parti depuis l'adolescence lui a cependant porté préjudice. "Cela a beaucoup pesé" contre elle, souligne Alejandro Olivares, analyste en sciences sociales et politiques de l'Université du Chili.
Texte intégral (643 mots)
Le leader du Parti Républicain, qui promet de lutter contre la criminalité en expulsant les quelque 337.000 migrants en situation irrégulière dans le pays, pourrait devenir le premier président d'extrême droite depuis la fin de la dictature de Pinochet en 1990. Tous les sondages le donnent largement en tête face à sa rivale du Parti communiste et représentante d'une vaste coalition de partis de gauche et de centre gauche. La loi interdit au président de gauche Gabriel Boric de briguer un second mandat consécutif. Jeannette Jara est arrivée en tête du premier tour en novembre, mais José Antonio Kast et l'ensemble des candidats de droite ont cumulé plus de 50% des suffrages. Bien que le Chili reste l'un des pays les plus sûrs du continent, les homicides ont augmenté de 140% en dix ans, passant de 2,5 pour 100.000 habitants à 6 en 2024, selon le gouvernement. La moyenne régionale est de 15, selon l'ONU. Les enlèvements ont également progressé, de 76% entre 2021 et 2024, pour atteindre 868 l'année dernière, selon le ministère public. Compte à rebours L'ultraconservateur de 59 ans entretient un compte à rebours des jours le séparant, selon lui, de son arrivée au pouvoir le 11 mars et de l'expulsion des migrants sans papiers qu'il promet. Il veut aussi construire un mur à la frontière avec la Bolivie et envoyer 3.000 militaires aux frontières. La perception d'insécurité au sein de la population "joue un rôle très important en politique et particulièrement en politique électorale. Je pense que la droite a su instrumentaliser cela à son avantage", analyse Guillaume Long, du Centre d'études économiques et politiques (CEPR) de Washington. José Antonio Kast a cependant exclu mercredi dernier lors d'un face-à-face avec son adversaire de reproduire les descentes anti-immigration vues aux Etats-Unis. "Nous ne parlons pas (de raids) comme ceux de l'ICE", la police fédérale américaine de l'immigration, a-t-il affirmé, prônant plutôt des contrôles stricts. Il y a quatre ans, il avait déjà atteint le second tour, avant de s'incliner face à Gabriel Boric. A l'époque, les électeurs avaient soutenu la promesse de remplacer la Constitution héritée d'Augusto Pinochet afin d'améliorer l'accès à la santé et à l'éducation, dans le sillage de la contestation sociale de 2019. Aujourd'hui, après deux tentatives avortées de réforme constitutionnelle, la priorité des électeurs va à un renforcement de la sécurité. Divergences Jeannette Jara, 51 ans, a ainsi dû ajuster son discours en donnant plus de place à la question sécuritaire, sans pour autant abandonner ses propositions sociales. "Il n'y a pas de candidature plus engagée que la nôtre en matière de sécurité : sécurité pour lutter contre la criminalité et sécurité pour arriver à la fin du mois", a-t-elle déclaré. En matière d'immigration, elle promet des contrôles renforcés aux frontières et un recensement des sans-papiers afin d'identifier ceux qui ont un casier judiciaire et de les expulser. Sur le plan social, elle défend un salaire minimum proche de 800 dollars, soit environ 250 de plus qu'aujourd'hui. "Les étrangers, le crime organisé et tous ces sujets sont très importants, mais il y a des choses au-delà de cela", déclare Valentina Valenzuela, une étudiante de 20 ans, qui votera pour Jeannette Jara. Ancienne ministre du Travail, Jeannette Jara tente de convaincre en misant sur son bilan, notamment la réduction de la semaine de travail à 40 heures et une réforme du système privé de retraites. Elle a critiqué son rival pour son "absence de propositions" concrètes. Malgré des divergences avec la direction du Parti communiste, son engagement au sein du parti depuis l'adolescence lui a cependant porté préjudice. "Cela a beaucoup pesé" contre elle, souligne Alejandro Olivares, analyste en sciences sociales et politiques de l'Université du Chili.

09.12.2025 à 05:37

2025 en passe d'être une des trois années les plus chaudes

FRANCE24
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"2025 est pratiquement certaine de finir deuxième ou troisième année la plus chaude enregistrée, possiblement à égalité avec 2023", indique Copernicus dans un communiqué publié mardi. "L'anomalie de température moyenne mondiale pour la période de janvier à novembre 2025 est de 0,60°C au-dessus de la moyenne de 1991-2020, ou 1,48°C au-dessus de la référence préindustrielle de 1850-1900", avant que le climat ne se réchauffe durablement sous l'effet de l'activité humaine, poursuit-il. L'année 2025 présente un niveau identique à celui de 2023, en attendant la publication des statistiques pour décembre et le bilan annuel, qui pourrait donc placer 2025 derrière le record historique de température établi en 2024. Le dérèglement climatique généré par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs. Et novembre "a été marqué par plusieurs phénomènes météorologiques extrêmes, notamment des cyclones tropicaux en Asie du Sud-Est, qui ont provoqué des inondations catastrophiques à grande échelle et causé des pertes humaines", détaille Copernicus. A l'échelle mensuelle, novembre 2025 a été le troisième mois de novembre le plus chaud de l'histoire après 2023 et 2024, avec une température moyenne à la surface du globe de 14,02°C, soit 0,65°C au-dessus de la moyenne sur la période située entre 1991 et 2020. Dépassement de 1,5°C Selon les statistiques de l'observatoire européen, la moyenne des températures sur la période entre 2023 et 2025 pourrait par ailleurs dépasser 1,5°C de plus par rapport à la période pré-industrielle, pour la première fois sur une échelle de temps de trois ans. Il y a dix ans, l'accord de Paris ambitionnait de limiter le réchauffement bien en dessous de 2°C et de poursuivre les efforts pour le contenir à 1,5°C. Le dépassement de ce dernier seuil "est désormais inévitable", juge maintenant le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, tout en appelant à ce qu'il soit temporaire. "Ces bornes ne sont pas abstraites: elles reflètent l'accélération du changement climatique, et le seul moyen d'atténuer la hausse future des températures est de réduire rapidement les émissions de gaz à effet de serre", a souligné Samantha Burgess, stratège pour le climat de Copernicus, citée dans le communiqué. L'ambition est toutefois faible à l'échelle multilatérale, les pays réunis à la COP30 de Belem au Brésil en novembre ayant adopté un modeste consensus sur l'action climatique, sans plan de sortie des énergies fossiles, et en l'absence des Etats-Unis. Le président brésilien Lula n'a pas pu aller jusqu'à convaincre les pays pétroliers du Nord et du Sud et les économies émergentes d'envoyer un message collectif ambitieux pour accélérer la sortie des énergies fossiles. Dans le détail des chiffres de Copernicus, les températures ont été en novembre supérieures à la moyenne dans le monde entier mais en particulier dans le nord du Canada, au-dessus de l'océan Arctique et dans toute l'Antarctique.
Texte intégral (512 mots)
"2025 est pratiquement certaine de finir deuxième ou troisième année la plus chaude enregistrée, possiblement à égalité avec 2023", indique Copernicus dans un communiqué publié mardi. "L'anomalie de température moyenne mondiale pour la période de janvier à novembre 2025 est de 0,60°C au-dessus de la moyenne de 1991-2020, ou 1,48°C au-dessus de la référence préindustrielle de 1850-1900", avant que le climat ne se réchauffe durablement sous l'effet de l'activité humaine, poursuit-il. L'année 2025 présente un niveau identique à celui de 2023, en attendant la publication des statistiques pour décembre et le bilan annuel, qui pourrait donc placer 2025 derrière le record historique de température établi en 2024. Le dérèglement climatique généré par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs. Et novembre "a été marqué par plusieurs phénomènes météorologiques extrêmes, notamment des cyclones tropicaux en Asie du Sud-Est, qui ont provoqué des inondations catastrophiques à grande échelle et causé des pertes humaines", détaille Copernicus. A l'échelle mensuelle, novembre 2025 a été le troisième mois de novembre le plus chaud de l'histoire après 2023 et 2024, avec une température moyenne à la surface du globe de 14,02°C, soit 0,65°C au-dessus de la moyenne sur la période située entre 1991 et 2020. Dépassement de 1,5°C Selon les statistiques de l'observatoire européen, la moyenne des températures sur la période entre 2023 et 2025 pourrait par ailleurs dépasser 1,5°C de plus par rapport à la période pré-industrielle, pour la première fois sur une échelle de temps de trois ans. Il y a dix ans, l'accord de Paris ambitionnait de limiter le réchauffement bien en dessous de 2°C et de poursuivre les efforts pour le contenir à 1,5°C. Le dépassement de ce dernier seuil "est désormais inévitable", juge maintenant le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, tout en appelant à ce qu'il soit temporaire. "Ces bornes ne sont pas abstraites: elles reflètent l'accélération du changement climatique, et le seul moyen d'atténuer la hausse future des températures est de réduire rapidement les émissions de gaz à effet de serre", a souligné Samantha Burgess, stratège pour le climat de Copernicus, citée dans le communiqué. L'ambition est toutefois faible à l'échelle multilatérale, les pays réunis à la COP30 de Belem au Brésil en novembre ayant adopté un modeste consensus sur l'action climatique, sans plan de sortie des énergies fossiles, et en l'absence des Etats-Unis. Le président brésilien Lula n'a pas pu aller jusqu'à convaincre les pays pétroliers du Nord et du Sud et les économies émergentes d'envoyer un message collectif ambitieux pour accélérer la sortie des énergies fossiles. Dans le détail des chiffres de Copernicus, les températures ont été en novembre supérieures à la moyenne dans le monde entier mais en particulier dans le nord du Canada, au-dessus de l'océan Arctique et dans toute l'Antarctique.

09.12.2025 à 05:13

Les affrontements frontaliers se poursuivent entre la Thaïlande et le Cambodge

FRANCE24
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Les deux pays voisins d'Asie du Sud-Est s'accusent mutuellement d'avoir déclenché la reprise des combats dimanche soir, moins de deux mois après un accord de cessez-le-feu cosigné par le président américain Donald Trump. Le Cambodge affirmait jusqu'ici ne pas avoir répondu aux attaques de la Thaïlande, qui a notamment mené lundi des frappes aériennes sur les zones frontalières. Mais l'ancien Premier ministre Hun Sen a fait savoir mardi que l'armée cambodgienne avait engagé une riposte "après avoir fait preuve de patience pendant plus de 24 heures afin de respecter le cessez-le-feu et pour avoir le temps de mettre la population à l'abri". "Nos forces doivent se battre partout où l'ennemi a attaqué", a écrit sur Facebook l'influent ex-dirigeant, invitant ses troupes à "détruire les forces ennemies". L'armée thaïlandaise a annoncé mardi la mort de deux nouveaux soldats, dont un dans l'explosion d'une grenade à proximité du temple disputé de Preah Vihear, un site classé à l'Unesco. Une trentaine de soldats ont été blessés depuis la reprise des hostilités, a-t-elle précisé. Le ministère cambodgien de la Défense a fait état de son côté de la mort de trois nouveaux civils mardi et d'une vingtaine de blessés depuis dimanche, certainement grièvement. Cela porte à sept, selon Phnom Penh, le nombre total de civils cambodgiens tués, alors que des dizaines de milliers de personnes ont été évacuées des deux côtés de la frontière. "Tellement peur" Poan Hay, une Cambodgienne de 55 ans, a quitté sa maison à la hâte avec ses proches, dont trois enfants en bas âge, dès qu'elle a entendu des coups de feu. "C'est la quatrième fois que je dois fuir", a-t-elle raconté à l'AFP. "Je ne sais pas quand je pourrai rentrer. Je dors très peu depuis cinq mois, j'étais inquiète pour notre sécurité. Des avions thaïlandais ont survolé la frontière hier, j'avais tellement peur". Dans la province thaïlandaise de Surin, Sutida Pusa, gérante d'une petite épicerie, a hésité avant d'évacuer son village, situé à une vingtaine de kilomètres seulement de la frontière avec le Cambodge. "Je voulais d'abord constater la situation par moi-même car les combats ne sont pas aussi bruyants qu'en juillet", a dit à l'AFP cette femme de 30 ans. "On ne fait pas toujours confiance à ce qu'on nous dit". La reprise des combats inquiète la communauté internationale. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres et l'Union européenne ont notamment appelé lundi les deux pays à la "désescalade" et à "la plus grande retenue". S'opposant de longue date sur le tracé de leur frontière, la Thaïlande et le Cambodge s'étaient déjà affrontés pendant cinq jours en juillet, faisant 43 morts et contraignant quelque 300.000 personnes à évacuer. Les deux voisins ont signé le 26 octobre, sous l'égide de Donald Trump, un accord de cessez-le-feu qui a été suspendu quelques semaines plus tard par la Thaïlande après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats. Les deux parties s'étaient engagées à retirer leurs armes lourdes, à déminer les zones frontalières et à poursuivre le dialogue, mais rien n'a été réglé sur le fond. Le conflit repose sur un différend ancien concernant le tracé de certaines parties de leur frontière, longue de 800 kilomètres et datant de la colonisation française.
Texte intégral (579 mots)
Les deux pays voisins d'Asie du Sud-Est s'accusent mutuellement d'avoir déclenché la reprise des combats dimanche soir, moins de deux mois après un accord de cessez-le-feu cosigné par le président américain Donald Trump. Le Cambodge affirmait jusqu'ici ne pas avoir répondu aux attaques de la Thaïlande, qui a notamment mené lundi des frappes aériennes sur les zones frontalières. Mais l'ancien Premier ministre Hun Sen a fait savoir mardi que l'armée cambodgienne avait engagé une riposte "après avoir fait preuve de patience pendant plus de 24 heures afin de respecter le cessez-le-feu et pour avoir le temps de mettre la population à l'abri". "Nos forces doivent se battre partout où l'ennemi a attaqué", a écrit sur Facebook l'influent ex-dirigeant, invitant ses troupes à "détruire les forces ennemies". L'armée thaïlandaise a annoncé mardi la mort de deux nouveaux soldats, dont un dans l'explosion d'une grenade à proximité du temple disputé de Preah Vihear, un site classé à l'Unesco. Une trentaine de soldats ont été blessés depuis la reprise des hostilités, a-t-elle précisé. Le ministère cambodgien de la Défense a fait état de son côté de la mort de trois nouveaux civils mardi et d'une vingtaine de blessés depuis dimanche, certainement grièvement. Cela porte à sept, selon Phnom Penh, le nombre total de civils cambodgiens tués, alors que des dizaines de milliers de personnes ont été évacuées des deux côtés de la frontière. "Tellement peur" Poan Hay, une Cambodgienne de 55 ans, a quitté sa maison à la hâte avec ses proches, dont trois enfants en bas âge, dès qu'elle a entendu des coups de feu. "C'est la quatrième fois que je dois fuir", a-t-elle raconté à l'AFP. "Je ne sais pas quand je pourrai rentrer. Je dors très peu depuis cinq mois, j'étais inquiète pour notre sécurité. Des avions thaïlandais ont survolé la frontière hier, j'avais tellement peur". Dans la province thaïlandaise de Surin, Sutida Pusa, gérante d'une petite épicerie, a hésité avant d'évacuer son village, situé à une vingtaine de kilomètres seulement de la frontière avec le Cambodge. "Je voulais d'abord constater la situation par moi-même car les combats ne sont pas aussi bruyants qu'en juillet", a dit à l'AFP cette femme de 30 ans. "On ne fait pas toujours confiance à ce qu'on nous dit". La reprise des combats inquiète la communauté internationale. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres et l'Union européenne ont notamment appelé lundi les deux pays à la "désescalade" et à "la plus grande retenue". S'opposant de longue date sur le tracé de leur frontière, la Thaïlande et le Cambodge s'étaient déjà affrontés pendant cinq jours en juillet, faisant 43 morts et contraignant quelque 300.000 personnes à évacuer. Les deux voisins ont signé le 26 octobre, sous l'égide de Donald Trump, un accord de cessez-le-feu qui a été suspendu quelques semaines plus tard par la Thaïlande après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats. Les deux parties s'étaient engagées à retirer leurs armes lourdes, à déminer les zones frontalières et à poursuivre le dialogue, mais rien n'a été réglé sur le fond. Le conflit repose sur un différend ancien concernant le tracé de certaines parties de leur frontière, longue de 800 kilomètres et datant de la colonisation française.

09.12.2025 à 04:25

Allemagne: trois hommes jugés pour espionnage au profit de Moscou

FRANCE24
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Depuis l'invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, Berlin est devenu à la fois le plus gros soutien européen de Kiev et une cible privilégiée de campagnes de désinformation, d'actes de sabotage, d'intimidation et d'espionnage, une "guerre hybride" attribuée au Kremlin. Le procès qui débute à 10h00 (09h00 GMT) devant un tribunal de Francfort doit s'étaler sur trois mois et demi, jusqu'au jeudi 26 mars 2026. Le trio, accusé d'avoir "travaillé pour un service de renseignement étranger", dans une affaire qualifiée de "particulièrement grave", avait été arrêté en juin 2024. Selon le parquet fédéral, compétent pour les affaires d'espionnage, l'Arménien Vardges I. aurait été chargé début mai 2024 par les services secrets russes d'espionner un ancien soldat ukrainien, qui avait combattu la Russie à partir de février 2022 et résidait en Allemagne. Selon des médias allemands, Moscou aurait visé ce dernier pour avoir exécuté des soldats russes aux premiers jours du conflit. Le ressortissant arménien aurait recruté les deux autres accusés, l'Ukrainien Robert A. et le Russe Arman S.. Le 19 juin, ils avaient organisé une rencontre "sous un faux prétexte" avec leur cible dans un café du centre-ville de Francfort (ouest). Il s'agissait alors "d'obtenir davantage d'informations à son sujet". Mais l'homme s'était méfié et avait préalablement contacté la police allemande, qui a finalement arrêté les trois suspects. La rencontre prévue avec la cible aurait probablement servi à "préparer d'autres opérations des services secrets en Allemagne, pouvant aller jusqu'à l'assassinat de la personne visée", avait affirmé le parquet au cours de la procédure. Les accusés sont en détention provisoire depuis leur arrestation le 19 juin 2024, soit quasiment un an et demi. Depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine de février 2022, les accusations d'espionnage et de sabotage visant la Russie se sont multipliées en Allemagne. Démentis russes Contactée par l'AFP, l'ambassade de Russie à Berlin n'a pas dans l'immédiat commenté ces accusations. Moscou a l'habitude de démentir toute implication dans ce genre de dossiers. Parmi les affaires récentes, un Germano-Russe a été condamné fin octobre à Munich (sud) à six ans de prison, ses deux complices écopant de peines de prison avec sursis. Dieter Schmidt a été jugé coupable d'avoir échangé des informations avec une personne liée aux services de renseignement russes pendant plusieurs mois, à partir d'octobre 2023, en vue d'éventuels actes de sabotage. Un ancien agent secret allemand est jugé depuis deux ans à Berlin pour avoir transmis des informations classées secrètes aux services de sécurité russes (FSB) à l'automne 2022. A la mi-mai, les procureurs ont également annoncé l'arrestation de trois Ukrainiens soupçonnés d'avoir planifié, là aussi pour le compte de la Russie, des actes de sabotage contre le trafic de marchandises en Allemagne. Depuis le début de la guerre en Ukraine, environ un million d'Ukrainiens se sont réfugiés en Allemagne. Avant ce conflit, Moscou était déjà suspecté de mener des opérations clandestines en territoire allemand. La plus connue a été l'assassinat en plein centre de Berlin en 2019 d'un ancien combattant indépendantiste tchétchène. La Russie a démenti tout implication dans ce meurtre. Mais elle a fini par reconnaître en 2024 que la personne arrêtée et condamnée en Allemagne pour ces faits, Vadim Krassikov, était bien un agent du FSB. Il a été libéré cette année-là dans le cadre d'un échange de prisonniers entre la Russie et l'Occident.
Texte intégral (597 mots)
Depuis l'invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, Berlin est devenu à la fois le plus gros soutien européen de Kiev et une cible privilégiée de campagnes de désinformation, d'actes de sabotage, d'intimidation et d'espionnage, une "guerre hybride" attribuée au Kremlin. Le procès qui débute à 10h00 (09h00 GMT) devant un tribunal de Francfort doit s'étaler sur trois mois et demi, jusqu'au jeudi 26 mars 2026. Le trio, accusé d'avoir "travaillé pour un service de renseignement étranger", dans une affaire qualifiée de "particulièrement grave", avait été arrêté en juin 2024. Selon le parquet fédéral, compétent pour les affaires d'espionnage, l'Arménien Vardges I. aurait été chargé début mai 2024 par les services secrets russes d'espionner un ancien soldat ukrainien, qui avait combattu la Russie à partir de février 2022 et résidait en Allemagne. Selon des médias allemands, Moscou aurait visé ce dernier pour avoir exécuté des soldats russes aux premiers jours du conflit. Le ressortissant arménien aurait recruté les deux autres accusés, l'Ukrainien Robert A. et le Russe Arman S.. Le 19 juin, ils avaient organisé une rencontre "sous un faux prétexte" avec leur cible dans un café du centre-ville de Francfort (ouest). Il s'agissait alors "d'obtenir davantage d'informations à son sujet". Mais l'homme s'était méfié et avait préalablement contacté la police allemande, qui a finalement arrêté les trois suspects. La rencontre prévue avec la cible aurait probablement servi à "préparer d'autres opérations des services secrets en Allemagne, pouvant aller jusqu'à l'assassinat de la personne visée", avait affirmé le parquet au cours de la procédure. Les accusés sont en détention provisoire depuis leur arrestation le 19 juin 2024, soit quasiment un an et demi. Depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine de février 2022, les accusations d'espionnage et de sabotage visant la Russie se sont multipliées en Allemagne. Démentis russes Contactée par l'AFP, l'ambassade de Russie à Berlin n'a pas dans l'immédiat commenté ces accusations. Moscou a l'habitude de démentir toute implication dans ce genre de dossiers. Parmi les affaires récentes, un Germano-Russe a été condamné fin octobre à Munich (sud) à six ans de prison, ses deux complices écopant de peines de prison avec sursis. Dieter Schmidt a été jugé coupable d'avoir échangé des informations avec une personne liée aux services de renseignement russes pendant plusieurs mois, à partir d'octobre 2023, en vue d'éventuels actes de sabotage. Un ancien agent secret allemand est jugé depuis deux ans à Berlin pour avoir transmis des informations classées secrètes aux services de sécurité russes (FSB) à l'automne 2022. A la mi-mai, les procureurs ont également annoncé l'arrestation de trois Ukrainiens soupçonnés d'avoir planifié, là aussi pour le compte de la Russie, des actes de sabotage contre le trafic de marchandises en Allemagne. Depuis le début de la guerre en Ukraine, environ un million d'Ukrainiens se sont réfugiés en Allemagne. Avant ce conflit, Moscou était déjà suspecté de mener des opérations clandestines en territoire allemand. La plus connue a été l'assassinat en plein centre de Berlin en 2019 d'un ancien combattant indépendantiste tchétchène. La Russie a démenti tout implication dans ce meurtre. Mais elle a fini par reconnaître en 2024 que la personne arrêtée et condamnée en Allemagne pour ces faits, Vadim Krassikov, était bien un agent du FSB. Il a été libéré cette année-là dans le cadre d'un échange de prisonniers entre la Russie et l'Occident.

09.12.2025 à 04:13

Affrontements frontaliers avec la Thaïlande : le Cambodge affirme avoir "riposté"

FRANCE 24
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Alors que les affrontements frontaliers avec la Thaïlande ont fait au moins six morts au Cambodge, selon un nouveau bilan publié mardi, l'ancien Premier ministre cambodgien Hun Sen a annoncé que son pays avait "riposté" lundi soir et a appelé à "se battre partout où l'ennemi a attaqué". De son côté, l'armée thaïlandaise a annoncé la mort de deux nouveaux soldats.
Texte intégral (597 mots)
Alors que les affrontements frontaliers avec la Thaïlande ont fait au moins six morts au Cambodge, selon un nouveau bilan publié mardi, l'ancien Premier ministre cambodgien Hun Sen a annoncé que son pays avait "riposté" lundi soir et a appelé à "se battre partout où l'ennemi a attaqué". De son côté, l'armée thaïlandaise a annoncé la mort de deux nouveaux soldats.

09.12.2025 à 03:30

Haïti : une centaine de nouveaux policiers kényans déployés contre les gangs

FRANCE 24
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Lundi, 230 policiers kényans sont arrivés en Haïti dans le cadre d'une mission internationale intervenant contre les gangs alors que 100 autres, en fin de mission, ont quitté le pays, selon l'AFP. Une conférence internationale doit se tenir mardi à New York sur "la création d'une Force d'élimination des gangs".
Texte intégral (597 mots)
Lundi, 230 policiers kényans sont arrivés en Haïti dans le cadre d'une mission internationale intervenant contre les gangs alors que 100 autres, en fin de mission, ont quitté le pays, selon l'AFP. Une conférence internationale doit se tenir mardi à New York sur "la création d'une Force d'élimination des gangs".
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