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Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

11.12.2025 à 02:05

L'opposante vénézuélienne Machado réapparaît à Oslo au lendemain de son Nobel de la paix

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L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado est réapparue jeudi en public à Oslo pour la première fois depuis près d'un an, après avoir manqué la veille la cérémonie de remise de son prix Nobel de la paix pour ses efforts pour la démocratie dans son pays.
L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado est réapparue jeudi en public à Oslo pour la première fois depuis près d'un an, après avoir manqué la veille la cérémonie de remise de son prix Nobel de la paix pour ses efforts pour la démocratie dans son pays.

11.12.2025 à 00:29

Le Hamas a proposé de "geler" son armement en échange d'une trêve à long terme à Gaza

FRANCE 24
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Khaled Mechaal, ancien numéro un du Hamas, a affirmé mercredi dans un entretien à Al Jazeera rejeter "un désarmement total" du mouvement jugé "inacceptable", lui préférant "un gel ou un stockage (des armes)". Il s'est aussi dit ouvert à la présence d'une force internationale de maintien de la paix à la frontière avec Israël.
Khaled Mechaal, ancien numéro un du Hamas, a affirmé mercredi dans un entretien à Al Jazeera rejeter "un désarmement total" du mouvement jugé "inacceptable", lui préférant "un gel ou un stockage (des armes)". Il s'est aussi dit ouvert à la présence d'une force internationale de maintien de la paix à la frontière avec Israël.

11.12.2025 à 00:17

L'ancien président bolivien Luis Arce arrêté dans le cadre d'une affaire de corruption présumée

FRANCE 24
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L'ancien président bolivien Luis Arce est accusé d'avoir autorisé des transferts de fonds publics vers des comptes personnels de dirigeants lorsqu'il était ministre de l'Économie. Il a été interpellé mercredi à La Paz, une arrestation saluée par le vice-président du pays, Edmand Lara.
L'ancien président bolivien Luis Arce est accusé d'avoir autorisé des transferts de fonds publics vers des comptes personnels de dirigeants lorsqu'il était ministre de l'Économie. Il a été interpellé mercredi à La Paz, une arrestation saluée par le vice-président du pays, Edmand Lara.

10.12.2025 à 23:51

Ligue des champions : le PSG tenu en échec, le Real en crise, quand Arsenal poursuit son sans-faute

FRANCE 24
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Lors de la 6e journée de Ligue des champions, mercredi, le PSG a été accroché par Bilbao (0-0), le Real Madrid – privé de Kylian Mbappé – a prolongé sa mauvaise série en s'inclinant à domicile face à Manchester City (2-1) quand les Gunners sont venus à bout du Club Bruges (3-0).
Lors de la 6e journée de Ligue des champions, mercredi, le PSG a été accroché par Bilbao (0-0), le Real Madrid – privé de Kylian Mbappé – a prolongé sa mauvaise série en s'inclinant à domicile face à Manchester City (2-1) quand les Gunners sont venus à bout du Club Bruges (3-0).

10.12.2025 à 23:47

RD Congo : les troupes du M23 entrent dans Uvira, dernière grande ville du Sud-Kivu

Célia CARACENA
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Les habitants d'Uvira, dernière grande ville de l'est de la RDC faisant face à Bujumbura, se muraient mercredi dans l'incertitude et l'angoisse, au lendemain de l'entrée dans les faubourgs nord du groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, poussant le Burundi voisin à fermer sa frontière. Les rues s'étaient déjà largement vidées mardi, soldats, policiers et fonctionnaires fuyant la progression du M23.
Les habitants d'Uvira, dernière grande ville de l'est de la RDC faisant face à Bujumbura, se muraient mercredi dans l'incertitude et l'angoisse, au lendemain de l'entrée dans les faubourgs nord du groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, poussant le Burundi voisin à fermer sa frontière. Les rues s'étaient déjà largement vidées mardi, soldats, policiers et fonctionnaires fuyant la progression du M23.

10.12.2025 à 23:29

Ligue des champions féminine: Lyon vainqueur de Manchester United, proche de la qualification

FRANCE24
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Les Lyonnaises, toujours invaincues, sont deuxièmes derrière le FC Barcelone à la différence de buts (+15 contre +9). Elles ont trois longueurs d'avance sur un trio composé par le Bayern Munich, le Real Madrid et la Juventus qui se disputent le quatrième rang. Après quatre victoires et un nul, elles recevront l'Atletico Madrid (11e) le 17 décembre pour valider définitivement leur place parmi les quatre premières du classement. Tabitha Chawinga a ouvert la marque dès la 12e minute. Elle a repris de la tête un centre délivré par Selma Bacha pour donner l'avantage à son équipe. En fin de partie, Melchie Dumornay a définitivement libéré Lyon d'un magnifique tir du droit dans la lucarne pour porter le score à 2-0 (81) avant de réaliser un doublé en reprenant un centre de Diani pour placer le ballon, là encore dans la lucarne (90). Dans l'ensemble, les Lyonnaises ont eu le contrôle du match sans être vraiment inquiétées mais n'ont pu se détacher au score que tardivement en raison de nombreuses approximations dans la phase de décision offensive.
Lire plus (189 mots)
Les Lyonnaises, toujours invaincues, sont deuxièmes derrière le FC Barcelone à la différence de buts (+15 contre +9). Elles ont trois longueurs d'avance sur un trio composé par le Bayern Munich, le Real Madrid et la Juventus qui se disputent le quatrième rang. Après quatre victoires et un nul, elles recevront l'Atletico Madrid (11e) le 17 décembre pour valider définitivement leur place parmi les quatre premières du classement. Tabitha Chawinga a ouvert la marque dès la 12e minute. Elle a repris de la tête un centre délivré par Selma Bacha pour donner l'avantage à son équipe. En fin de partie, Melchie Dumornay a définitivement libéré Lyon d'un magnifique tir du droit dans la lucarne pour porter le score à 2-0 (81) avant de réaliser un doublé en reprenant un centre de Diani pour placer le ballon, là encore dans la lucarne (90). Dans l'ensemble, les Lyonnaises ont eu le contrôle du match sans être vraiment inquiétées mais n'ont pu se détacher au score que tardivement en raison de nombreuses approximations dans la phase de décision offensive.

10.12.2025 à 23:27

Ligue des champions: Le Paris SG tenu en échec, le Real en crise

FRANCE24
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Dans un match intense mais sans but, les champions d'Europe ont été bousculés dans la fureur de San Mames. Ils auraient pu l'emporter en fin de rencontre sans les parades d'Unai Simon, le gardien de l'Espagne. "On a raté trop d'occasions", a regretté Vitinha au micro de Canal Plus. Perclus de blessures cette saison, le PSG a retrouvé Désiré Doué, qui a rejoué pour la première fois depuis fin octobre en entrant pour la dernière demi-heure. Les Parisiens restent bien placés pour la qualification directe en 8e de finale (les huit premières places), à cinq longueurs désormais d'Arsenal qui a poursuivi son sans-faute avec une sixième victoire de rang, au FC Bruges (3-0), grâce notamment à un doublé de Noni Madueke, dont une somptueuse lucarne. Manchester City revient fort, 4e avec 13 points comme le PSG, grâce à sa victoire de prestige à Bernabeu. Avec Kylian Mbappé blessé et resté sur le banc, le Real a subi la loi des joueurs de Pep Guardiola, et l'entraîneur merengue Xabi Alonso est en grand danger. Son équipe, privée de nombreux joueurs en défense, avait déjà perdu à domicile dimanche contre le Celta Vigo (2-0). Courtois évite le pire Malgré l'ouverture du score de Rodrygo, le premier but du Brésilien pour le Real en 34 rencontres, Nico O'Reilly et l'inévitable Erling Halland, auteur de son 21e but en 21 matches pour les Sky Blues, ont renversé la partie. Et Thibaut Courtois, fautif sur le premier but, a empêché que le score ne soit plus lourd. Les Madrilènes restent bien placés en Ligue des champions, 7e avant de recevoir Monaco le 20 janvier. Pour la qualification pour les barrages, de la 9e à la 24e place, les jeux restent très ouverts après les résultats de cette semaine. A part les deux derniers, le Kairat Almaty et Villarreal, battu à domicile par le FC Copenhague (3-2), toutes les équipes peuvent encore espérer accrocher un billet. La Juventus qui avait commencé très doucement la phase de ligue a remporté contre Paphos (2-0) une seconde victoire consécutive après celle à Bodo Glimt (3-2), avec à chaque fois un but de l'ex-Canadien de Lille Jonathan David. La Signora a profité d'un calendrier plus clément pour retrouver un classement plus conforme à son standing, 17e. Début janvier elle recevra Benfica (25e), qui lui aussi s'est relancé avec une deuxième victoire de rang, contre Naples (2-0). Bodoe Glimt (32e) a arraché un nul au Borussia Dortmund (2-2) pour marquer son troisième point et le Bayer Leverkusen (20e) a évité en fin de match une défaite chez lui contre Newcastle (2-2). Enfin l'Ajax Amsterdam a remporté ses premiers points de la saison en C1 en s'imposant à Bakou contre Karabagh (4-2), avec un doublé de l'Israélien Oscar Gloukh. Les quadruples champions d'Europe ne sont plus derniers, et les Azerbaïdjanais, qui avaient bien commencé la compétition, tombent à la 22e place.
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Dans un match intense mais sans but, les champions d'Europe ont été bousculés dans la fureur de San Mames. Ils auraient pu l'emporter en fin de rencontre sans les parades d'Unai Simon, le gardien de l'Espagne. "On a raté trop d'occasions", a regretté Vitinha au micro de Canal Plus. Perclus de blessures cette saison, le PSG a retrouvé Désiré Doué, qui a rejoué pour la première fois depuis fin octobre en entrant pour la dernière demi-heure. Les Parisiens restent bien placés pour la qualification directe en 8e de finale (les huit premières places), à cinq longueurs désormais d'Arsenal qui a poursuivi son sans-faute avec une sixième victoire de rang, au FC Bruges (3-0), grâce notamment à un doublé de Noni Madueke, dont une somptueuse lucarne. Manchester City revient fort, 4e avec 13 points comme le PSG, grâce à sa victoire de prestige à Bernabeu. Avec Kylian Mbappé blessé et resté sur le banc, le Real a subi la loi des joueurs de Pep Guardiola, et l'entraîneur merengue Xabi Alonso est en grand danger. Son équipe, privée de nombreux joueurs en défense, avait déjà perdu à domicile dimanche contre le Celta Vigo (2-0). Courtois évite le pire Malgré l'ouverture du score de Rodrygo, le premier but du Brésilien pour le Real en 34 rencontres, Nico O'Reilly et l'inévitable Erling Halland, auteur de son 21e but en 21 matches pour les Sky Blues, ont renversé la partie. Et Thibaut Courtois, fautif sur le premier but, a empêché que le score ne soit plus lourd. Les Madrilènes restent bien placés en Ligue des champions, 7e avant de recevoir Monaco le 20 janvier. Pour la qualification pour les barrages, de la 9e à la 24e place, les jeux restent très ouverts après les résultats de cette semaine. A part les deux derniers, le Kairat Almaty et Villarreal, battu à domicile par le FC Copenhague (3-2), toutes les équipes peuvent encore espérer accrocher un billet. La Juventus qui avait commencé très doucement la phase de ligue a remporté contre Paphos (2-0) une seconde victoire consécutive après celle à Bodo Glimt (3-2), avec à chaque fois un but de l'ex-Canadien de Lille Jonathan David. La Signora a profité d'un calendrier plus clément pour retrouver un classement plus conforme à son standing, 17e. Début janvier elle recevra Benfica (25e), qui lui aussi s'est relancé avec une deuxième victoire de rang, contre Naples (2-0). Bodoe Glimt (32e) a arraché un nul au Borussia Dortmund (2-2) pour marquer son troisième point et le Bayer Leverkusen (20e) a évité en fin de match une défaite chez lui contre Newcastle (2-2). Enfin l'Ajax Amsterdam a remporté ses premiers points de la saison en C1 en s'imposant à Bakou contre Karabagh (4-2), avec un doublé de l'Israélien Oscar Gloukh. Les quadruples champions d'Europe ne sont plus derniers, et les Azerbaïdjanais, qui avaient bien commencé la compétition, tombent à la 22e place.

10.12.2025 à 23:21

Ligue des champions: la Juve se sort difficilement du piège Pafos (2-0)

FRANCE24
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Sur le papier, il n'y avait pas photo entre la Juve, club le plus titré du calcio, double vainqueur de la C1, et le champion de Chypre, nouveau venu dans la compétition-reine du football européen. Mais la "Vieille Dame" prend encore cette saison un malin plaisir à décevoir ses tifosi. Ou au moins à jouer avec leurs nerfs. Contre une équipe ne faisant aucun complexe, qui ne s'était pas encore inclinée en deux déplacements en Ligue des champions (0-0 sur le terrain de l'Olympiakos et du Kairat Almaty), la Juventus a tremblé. Il n'a fallu que cinq minutes à Luciano Spalletti pour comprendre qu'il allait passer une soirée compliquée lorsqu'il a vu Anderson Silva toucher le montant droit de Michele Di Gregorio, battu, d'une astucieuse talonnade. L'attaquant brésilien, au terme d'un contre fulgurant lancé par l'omniprésent Joao Correia, a encore touché du bois à la 32e minute pour la plus grand colère de Spalletti. Sifflets nourris à la pause Seul comme souvent à jouer à son niveau au sein d'une Juve bien timorée, Kenan Yildiz a failli ouvrir le score à la 8e minute, mais sa frappe enroulée a été détournée par Georgios Michael, le gardien masqué du Pafos. Signe du manque de confiance des Bianconeri, déjà distancé dans la course au titre de champion d'Italie (7e à huit points de la tête), Jonathan David a manqué l'immanquable à la 42e minute, seul devant Michael. Rentrés aux vestiaires sous les sifflets nourris de leurs supporters à la pause, les Turinois ont attendu l'heure de jeu et l'entrée de Francisco Conceiçao pour prendre l'ascendant. Weston McKennie a fait exploser l'Allianz Stadium en ouvrant la marque à la 67e minute, sur une ouverture d'Andrea Cambiaso. Six minutes plus tard, la Juve a mis Pafos KO au terme d'une combinaison entre Conceiçao et Yildiz, conclue par David. "On a été mis en difficultés en première période, on a trop reculé et perdu trop de ballons, mais l'important était de gagner ce match", a analysé Spalletti au micro de Sky Sport. Grâce à cette victoire, la deuxième en Ligue des champions cette saison, la Juve s'est replacée à la 17e place avec neuf points, avant de recevoir le Benfica le 21 janvier. Elle est aussi restée invaincue à domicile, toutes compétitions confondues (cinq victoires, autant de nuls en championnat et en C1). Pafos peut encore rêver de poursuivre son aventure européenne: le champion de Chypre qui affrontera Chelsea, est 26e (6 pts).
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Sur le papier, il n'y avait pas photo entre la Juve, club le plus titré du calcio, double vainqueur de la C1, et le champion de Chypre, nouveau venu dans la compétition-reine du football européen. Mais la "Vieille Dame" prend encore cette saison un malin plaisir à décevoir ses tifosi. Ou au moins à jouer avec leurs nerfs. Contre une équipe ne faisant aucun complexe, qui ne s'était pas encore inclinée en deux déplacements en Ligue des champions (0-0 sur le terrain de l'Olympiakos et du Kairat Almaty), la Juventus a tremblé. Il n'a fallu que cinq minutes à Luciano Spalletti pour comprendre qu'il allait passer une soirée compliquée lorsqu'il a vu Anderson Silva toucher le montant droit de Michele Di Gregorio, battu, d'une astucieuse talonnade. L'attaquant brésilien, au terme d'un contre fulgurant lancé par l'omniprésent Joao Correia, a encore touché du bois à la 32e minute pour la plus grand colère de Spalletti. Sifflets nourris à la pause Seul comme souvent à jouer à son niveau au sein d'une Juve bien timorée, Kenan Yildiz a failli ouvrir le score à la 8e minute, mais sa frappe enroulée a été détournée par Georgios Michael, le gardien masqué du Pafos. Signe du manque de confiance des Bianconeri, déjà distancé dans la course au titre de champion d'Italie (7e à huit points de la tête), Jonathan David a manqué l'immanquable à la 42e minute, seul devant Michael. Rentrés aux vestiaires sous les sifflets nourris de leurs supporters à la pause, les Turinois ont attendu l'heure de jeu et l'entrée de Francisco Conceiçao pour prendre l'ascendant. Weston McKennie a fait exploser l'Allianz Stadium en ouvrant la marque à la 67e minute, sur une ouverture d'Andrea Cambiaso. Six minutes plus tard, la Juve a mis Pafos KO au terme d'une combinaison entre Conceiçao et Yildiz, conclue par David. "On a été mis en difficultés en première période, on a trop reculé et perdu trop de ballons, mais l'important était de gagner ce match", a analysé Spalletti au micro de Sky Sport. Grâce à cette victoire, la deuxième en Ligue des champions cette saison, la Juve s'est replacée à la 17e place avec neuf points, avant de recevoir le Benfica le 21 janvier. Elle est aussi restée invaincue à domicile, toutes compétitions confondues (cinq victoires, autant de nuls en championnat et en C1). Pafos peut encore rêver de poursuivre son aventure européenne: le champion de Chypre qui affrontera Chelsea, est 26e (6 pts).

10.12.2025 à 23:19

Ligue des champions: Manchester City renverse le Real Madrid, Xabi Alonso en grand danger

FRANCE24
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Même s'il n'y avait ni trophée, ni médaille au bout, ce classique européen était bien une finale pour le technicien basque, dont l'avenir s'est un peu plus assombri, après ce deuxième revers en trois jours. Xabi Alonso, dominé dans son duel avec son mentor Pep Guardiola, pourrait ainsi voir son projet collectif prendre brutalement fin après seulement sept mois sur le banc de la Maison Blanche, où deux défaites peuvent avoir la tête d'un entraîneur. La prestation de ses joueurs, transfigurés par rapport à l'humiliation dimanche dernier face au Celta Vigo (2-0), pourrait néanmoins lui offrir un dernier sursis dimanche contre Alavés, faute de remplaçant de son calibre disponible sur le marché. Les Merengues, qui ont terminé la rencontre épuisés, sous une nouvelle bronca, ont en effet mis l'envie et l'intensité nécessaire dans ce genre de soirées, donnant quelques raisons supplémentaires d'estimer que l'armada de stars madrilène choisit ses matches. Haaland muselé mais décisif Comment expliquer, sinon, l'entame conquérante des Espagnols, qui auraient pu prendre l'avantage dès la deuxième minute de jeu lorsque Vinicius Junior, fauché par Matheus Nunes à l'entrée de la surface, a cru obtenir un penalty qui ne fut qu'un coup franc (2e) menant à une première tentative déviée de Federico Valverde (4e). Même sans Mbappé diminué et laissé sur le banc, le Roi d'Europe, dominé dans le jeu, a alors rappelé qu'il avait les joueurs pour traverser le terrain en trois passes, et piquer à tout moment en contre-attaque. Trouvé sur son côté gauche, Vinicius a cependant manqué d'efficacité devant l'ex-gardien parisien Gianluigi Donnarumma (7e, 15e). Les Madrilènes ont fini par ouvrir le score en contre, grâce à un but de Rodrygo, bien lancé par Jude Bellingham pour tromper le portier italien d'une frappe croisée (28e, 1-0) et mettre fin à la plus longue disette de l'histoire du club (32 matchs de suite). Pris de vitesse sur le coup, le jeune latéral anglais Nico O’Reilly, opportuniste sur un corner bien tiré par Rayan Cherki, s'est bien rattrapé en égalisant de près (35e, 1-1), sur la seule première opportunité anglaise. Cinq minutes plus tard, le colosse norvégien Erling Haaland, transparent jusqu'ici mais encore accroché par l'Allemand Antonio Rudiger dans la surface, a obtenu puis transformé un penalty logique pour tout renverser avant la mi-temps (43e, 2-1). Sa cinquième réalisation en six journées de C1, la 21e en 21 matches toutes compétitions confondues avec les Skyblues, qui auraient même pu enfoncer le clou, sans deux parades de suite de Thibaut Courtois (45e). Décalé en position idéale par Rodrygo, l'Anglais Jude Bellingham, omniprésent au milieu, a lui raté une occasion en or de ramener le Real à hauteur en tentant une balle piquée qui a fini au-dessus (51e) Face notamment aux percées de Jérémy Doku et Rayan Cherki, la suite fut bien compliquée pour la défense merengue, privée de Carvajal, Militao, Huijsen, Alaba, Alexander-Arnold et Mendy, mais une nouvelle fois sauvé par Courtois (52e, 59e, 62e). Dos au mur et sans Kylian Mbappé pour le sauver cette fois-ci, Xabi Alonso a lancé toutes ses armes offensives pour tenter de faire basculer la rencontre, et son destin, du bon côté. Mais ni Vinicius, encore maladroit (77e, 80e) ni le jeune Brésilien Endrick, qui a trouvé la barre de la tête (85e), n'ont pu lui offrir ce luxe.
Texte intégral (595 mots)
Même s'il n'y avait ni trophée, ni médaille au bout, ce classique européen était bien une finale pour le technicien basque, dont l'avenir s'est un peu plus assombri, après ce deuxième revers en trois jours. Xabi Alonso, dominé dans son duel avec son mentor Pep Guardiola, pourrait ainsi voir son projet collectif prendre brutalement fin après seulement sept mois sur le banc de la Maison Blanche, où deux défaites peuvent avoir la tête d'un entraîneur. La prestation de ses joueurs, transfigurés par rapport à l'humiliation dimanche dernier face au Celta Vigo (2-0), pourrait néanmoins lui offrir un dernier sursis dimanche contre Alavés, faute de remplaçant de son calibre disponible sur le marché. Les Merengues, qui ont terminé la rencontre épuisés, sous une nouvelle bronca, ont en effet mis l'envie et l'intensité nécessaire dans ce genre de soirées, donnant quelques raisons supplémentaires d'estimer que l'armada de stars madrilène choisit ses matches. Haaland muselé mais décisif Comment expliquer, sinon, l'entame conquérante des Espagnols, qui auraient pu prendre l'avantage dès la deuxième minute de jeu lorsque Vinicius Junior, fauché par Matheus Nunes à l'entrée de la surface, a cru obtenir un penalty qui ne fut qu'un coup franc (2e) menant à une première tentative déviée de Federico Valverde (4e). Même sans Mbappé diminué et laissé sur le banc, le Roi d'Europe, dominé dans le jeu, a alors rappelé qu'il avait les joueurs pour traverser le terrain en trois passes, et piquer à tout moment en contre-attaque. Trouvé sur son côté gauche, Vinicius a cependant manqué d'efficacité devant l'ex-gardien parisien Gianluigi Donnarumma (7e, 15e). Les Madrilènes ont fini par ouvrir le score en contre, grâce à un but de Rodrygo, bien lancé par Jude Bellingham pour tromper le portier italien d'une frappe croisée (28e, 1-0) et mettre fin à la plus longue disette de l'histoire du club (32 matchs de suite). Pris de vitesse sur le coup, le jeune latéral anglais Nico O’Reilly, opportuniste sur un corner bien tiré par Rayan Cherki, s'est bien rattrapé en égalisant de près (35e, 1-1), sur la seule première opportunité anglaise. Cinq minutes plus tard, le colosse norvégien Erling Haaland, transparent jusqu'ici mais encore accroché par l'Allemand Antonio Rudiger dans la surface, a obtenu puis transformé un penalty logique pour tout renverser avant la mi-temps (43e, 2-1). Sa cinquième réalisation en six journées de C1, la 21e en 21 matches toutes compétitions confondues avec les Skyblues, qui auraient même pu enfoncer le clou, sans deux parades de suite de Thibaut Courtois (45e). Décalé en position idéale par Rodrygo, l'Anglais Jude Bellingham, omniprésent au milieu, a lui raté une occasion en or de ramener le Real à hauteur en tentant une balle piquée qui a fini au-dessus (51e) Face notamment aux percées de Jérémy Doku et Rayan Cherki, la suite fut bien compliquée pour la défense merengue, privée de Carvajal, Militao, Huijsen, Alaba, Alexander-Arnold et Mendy, mais une nouvelle fois sauvé par Courtois (52e, 59e, 62e). Dos au mur et sans Kylian Mbappé pour le sauver cette fois-ci, Xabi Alonso a lancé toutes ses armes offensives pour tenter de faire basculer la rencontre, et son destin, du bon côté. Mais ni Vinicius, encore maladroit (77e, 80e) ni le jeune Brésilien Endrick, qui a trouvé la barre de la tête (85e), n'ont pu lui offrir ce luxe.

10.12.2025 à 23:19

Ligue des champions: la Juve se sort difficilement du piège Pafos (2-0)

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Sur le papier, il n'y avait pas photo entre la Juve, club le plus titré du calcio, double vainqueur de la C1, et le champion de Chypre, nouveau venu dans la compétition-reine du football européen. Mais la "Vieille Dame" prend encore cette saison un malin plaisir à décevoir ses tifosi. Ou au moins à jouer avec leurs nerfs. Contre une équipe ne faisant aucun complexe, qui ne s'était pas encore inclinée en deux déplacements en Ligue des champions (0-0 sur le terrain de l'Olympiakos et du Kairat Almaty), la Juventus a tremblé. Il n'a fallu que cinq minutes à Luciano Spalletti pour comprendre qu'il allait passer une soirée compliquée lorsqu'il a vu Anderson Silva toucher le montant droit de Michele Di Gregorio, battu, d'une astucieuse talonnade. L'attaquant brésilien, au terme d'un contre fulgurant lancé par l'omniprésent Joao Correia, a encore touché du bois à la 32e minute pour la plus grand colère de Spalletti. Sifflets nourris à la pause Seul comme souvent à jouer à son niveau au sein d'une Juve bien timorée, Kenan Yildiz a failli ouvrir le score à la 8e minute, mais sa frappe enroulée a été détournée par Georgios Michael, le gardien masqué du Pafos. Signe du manque de confiance des Bianconeri, déjà distancé dans la course au titre de champion d'Italie (7e à huit points de la tête), Jonathan David a manqué l'immanquable à la 42e minute, seul devant Michael. Rentrés aux vestiaires sous les sifflets nourris de leurs supporters à la pause, les Turinois ont attendu l'heure de jeu et l'entrée de Francisco Conceiçao pour prendre l'ascendant. Weston McKennie a fait exploser l'Allianz Stadium en ouvrant la marque à la 67e minute, sur une ouverture d'Andrea Cambiaso. Six minutes plus tard, la Juve a mis Pafos KO au terme d'une combinaison entre Conceiçao et Yildiz, conclue par David. Grâce à cette victoire, la deuxième en Ligue des champions cette saison, la Juve s'est replacée à la 17e place avec neuf points, avant de recevoir le Benfica le 21 janvier. Elle est aussi restée invaincue à domicile, toutes compétitions confondues (cinq victoires, autant de nuls en championnat et en C1). Pafos peut encore rêver de poursuivre son aventure européenne: le champion de Chypre qui affrontera Chelsea, est 26e (6 pts).
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Sur le papier, il n'y avait pas photo entre la Juve, club le plus titré du calcio, double vainqueur de la C1, et le champion de Chypre, nouveau venu dans la compétition-reine du football européen. Mais la "Vieille Dame" prend encore cette saison un malin plaisir à décevoir ses tifosi. Ou au moins à jouer avec leurs nerfs. Contre une équipe ne faisant aucun complexe, qui ne s'était pas encore inclinée en deux déplacements en Ligue des champions (0-0 sur le terrain de l'Olympiakos et du Kairat Almaty), la Juventus a tremblé. Il n'a fallu que cinq minutes à Luciano Spalletti pour comprendre qu'il allait passer une soirée compliquée lorsqu'il a vu Anderson Silva toucher le montant droit de Michele Di Gregorio, battu, d'une astucieuse talonnade. L'attaquant brésilien, au terme d'un contre fulgurant lancé par l'omniprésent Joao Correia, a encore touché du bois à la 32e minute pour la plus grand colère de Spalletti. Sifflets nourris à la pause Seul comme souvent à jouer à son niveau au sein d'une Juve bien timorée, Kenan Yildiz a failli ouvrir le score à la 8e minute, mais sa frappe enroulée a été détournée par Georgios Michael, le gardien masqué du Pafos. Signe du manque de confiance des Bianconeri, déjà distancé dans la course au titre de champion d'Italie (7e à huit points de la tête), Jonathan David a manqué l'immanquable à la 42e minute, seul devant Michael. Rentrés aux vestiaires sous les sifflets nourris de leurs supporters à la pause, les Turinois ont attendu l'heure de jeu et l'entrée de Francisco Conceiçao pour prendre l'ascendant. Weston McKennie a fait exploser l'Allianz Stadium en ouvrant la marque à la 67e minute, sur une ouverture d'Andrea Cambiaso. Six minutes plus tard, la Juve a mis Pafos KO au terme d'une combinaison entre Conceiçao et Yildiz, conclue par David. Grâce à cette victoire, la deuxième en Ligue des champions cette saison, la Juve s'est replacée à la 17e place avec neuf points, avant de recevoir le Benfica le 21 janvier. Elle est aussi restée invaincue à domicile, toutes compétitions confondues (cinq victoires, autant de nuls en championnat et en C1). Pafos peut encore rêver de poursuivre son aventure européenne: le champion de Chypre qui affrontera Chelsea, est 26e (6 pts).

10.12.2025 à 23:15

Ligue des champions: Arsenal poursuit son sans-faute à Bruges

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Les hommes de Mikel Arteta, qui a vu la série de 18 matches sans défaite de son équipe toutes compétitions confondues prendre fin à Aston Villa le week-end dernier, ont donc rapidement retrouvé le goût du succès. Une sensation qui ne les quitte pas depuis septembre sur la scène continentale. Avec dix-huit points, le maximum, les Londoniens continuent de marcher sur l'Europe deux semaines après une victoire probante face au Bayern Munich, l'autre ogre de ce début de saison. Au stade Jan Breydel, ils n'ont jamais tremblé, mis sur orbite par un but de Noni Madueke à la 25e. L'ailier anglais a profité de la nonchalance de la défense locale pour s'avancer tranquillement vers les seize mètres avant de placer le ballon sous la barre défendue par Tristan van den Heuvel. Au retour des vestiaires (47e), Madueke, à nouveau oublié par l'arrière-garde locale, a ensuite plié le match d'une tête à la réception d'un centre de Martin Zubimendi pour inscrire son quatrième but en C1 cette saison. Martinelli d'une frappe enroulée avant l'heure de jeu a ensuite donné au score son allure définitive. Le terreau était favorable à Martin Odegaard et ses équipiers pour un rebond rapide après leur revers du weekend en Premier League, face à une formation en crise de confiance ces dernières semaines (trois défaites en quatre matches de championnat). Une situation qui a poussé la direction brugeoise à remplacer... deux jours avant ce duel l'entraîneur Nicky Hayen, très apprécié des supporteurs, par le Croate Ivan Leko. Une décision (surtout le moment choisi) qui a surpris tout le monde, joueurs y compris. En 48 heures, Leko n'a évidemment pas eu le temps d'imposer sa griffe. Et à l'exception de quelques temps forts, surtout en fin de première période, Bruges n'a guère inquiété des Gunners pourtant privés de nombreux titulaires. L'infirmerie d'Arsenal ne désemplit pas depuis plusieurs semaines. Le Belge Leandro Trossard n'a pas fait le déplacement sur ses terres après s'être blessé à Villa. Les défenseurs centraux William Saliba, Gabriel Magalhaes et Cristhian Mosquera étaient également tous indisponibles, tandis que l'attaquant allemand Kai Havertz reste sur la touche, à l'instar de Declan Rice, malade. Arsenal a subi 95 blessures depuis le début de la saison dernière, dont 28 cette saison. Une situation qui pousse à questionner le style de management de Mikel Arteta contraint de défendre ses méthodes d'entraînement lors de la conférence de presse d'avant-match, mardi. Lorsque des médias l'ont soupçonné d'en demander trop à ses joueurs à l'entraînement, Arteta a répondu: "Non, parce que nous n'avons pas le temps de nous entraîner. Aujourd'hui (mardi), nous avons fait 20 minutes, donc ce n'est certainement pas parce que nous avons trop entraîné les joueurs. Mais évidemment, quand il vous manque des joueurs, vous surchargez les autres, ce qui a des conséquences, et c'est un cercle vicieux très dangereux", s'est-il plaint.
Texte intégral (505 mots)
Les hommes de Mikel Arteta, qui a vu la série de 18 matches sans défaite de son équipe toutes compétitions confondues prendre fin à Aston Villa le week-end dernier, ont donc rapidement retrouvé le goût du succès. Une sensation qui ne les quitte pas depuis septembre sur la scène continentale. Avec dix-huit points, le maximum, les Londoniens continuent de marcher sur l'Europe deux semaines après une victoire probante face au Bayern Munich, l'autre ogre de ce début de saison. Au stade Jan Breydel, ils n'ont jamais tremblé, mis sur orbite par un but de Noni Madueke à la 25e. L'ailier anglais a profité de la nonchalance de la défense locale pour s'avancer tranquillement vers les seize mètres avant de placer le ballon sous la barre défendue par Tristan van den Heuvel. Au retour des vestiaires (47e), Madueke, à nouveau oublié par l'arrière-garde locale, a ensuite plié le match d'une tête à la réception d'un centre de Martin Zubimendi pour inscrire son quatrième but en C1 cette saison. Martinelli d'une frappe enroulée avant l'heure de jeu a ensuite donné au score son allure définitive. Le terreau était favorable à Martin Odegaard et ses équipiers pour un rebond rapide après leur revers du weekend en Premier League, face à une formation en crise de confiance ces dernières semaines (trois défaites en quatre matches de championnat). Une situation qui a poussé la direction brugeoise à remplacer... deux jours avant ce duel l'entraîneur Nicky Hayen, très apprécié des supporteurs, par le Croate Ivan Leko. Une décision (surtout le moment choisi) qui a surpris tout le monde, joueurs y compris. En 48 heures, Leko n'a évidemment pas eu le temps d'imposer sa griffe. Et à l'exception de quelques temps forts, surtout en fin de première période, Bruges n'a guère inquiété des Gunners pourtant privés de nombreux titulaires. L'infirmerie d'Arsenal ne désemplit pas depuis plusieurs semaines. Le Belge Leandro Trossard n'a pas fait le déplacement sur ses terres après s'être blessé à Villa. Les défenseurs centraux William Saliba, Gabriel Magalhaes et Cristhian Mosquera étaient également tous indisponibles, tandis que l'attaquant allemand Kai Havertz reste sur la touche, à l'instar de Declan Rice, malade. Arsenal a subi 95 blessures depuis le début de la saison dernière, dont 28 cette saison. Une situation qui pousse à questionner le style de management de Mikel Arteta contraint de défendre ses méthodes d'entraînement lors de la conférence de presse d'avant-match, mardi. Lorsque des médias l'ont soupçonné d'en demander trop à ses joueurs à l'entraînement, Arteta a répondu: "Non, parce que nous n'avons pas le temps de nous entraîner. Aujourd'hui (mardi), nous avons fait 20 minutes, donc ce n'est certainement pas parce que nous avons trop entraîné les joueurs. Mais évidemment, quand il vous manque des joueurs, vous surchargez les autres, ce qui a des conséquences, et c'est un cercle vicieux très dangereux", s'est-il plaint.

10.12.2025 à 23:09

Ligue des champions: le PSG accroché à Bilbao mais tout près de la qualification

FRANCE24
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Avec 13 points sur 18 possibles et une 3e place provisoire au classement, les Parisiens devront néanmoins attendre pour se hisser au prochain tour, même si le suspense reste mince. L'enjeu des deux derniers matches, au Sporting Portugal et contre Newcastle sera de terminer dans le top 8, synonyme de 8e de finale. Mais ce nul, sans grande conséquence au classement - ils étaient 2e avant le début de la 6e journée -, montre que l'équipe de Luis Enrique est sur courant alternatif en attaque. "Nous n'avons pas manqué d'efficacité c'est juste que le gardien de Bilbao a été incroyable, il a été nommé meilleur joueur du match, on méritait la victoire, même si le match de l'Athletic a été de bon niveau", a déclaré le coach du PSG après le match. "Pas de frustration, je pense que cela été un match très intense, on a fait le boulot, ils ont beaucoup pressé. On a créé beaucoup d'occasions mais Unai Simon (le gardien) était sur le terrain et l'ambiance était incroyable", a-t-il ajouté. "Jouer ici, ce n'est pas facile", a confirmé Nuno Mendes, aligné après deux matches manqués à cause d'une "blessure minime" à la cuisse. Sans Ousmane Dembélé, Achraf Hakimi ni le gardien Lucas Chevalier, les champions d'Europe n'ont finalement pas fait si peur aux hommes d'Ernesto Valverde, qui devaient pourtant faire avec de nombreux blessés. Zabarnyi a joué avec Safonov Ce match a surtout été marqué par l'entrée en jeu à la mi-temps du défenseur ukrainien Illya Zabarnyi. Remplaçant le capitaine Marquinhos, il a joué ses premières minutes avec son coéquipier russe, le gardien Matvey Safonov: une image rare et forte dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Interrogé sur la sortie prématurée de Marquinhos à la mi-temps, Luis Enrique a indiqué ne pas savoir "le problème", mais en zone mixte le défenseur a indiqué avoir ressenti une douleur aux adducteurs. Il passera des examens jeudi. Dans le jeu, au milieu de l'atmosphère des 51.000 supporters basques, les tenants du titre ont essayé de donner le ton dès le début du match en imposant aux locaux leur pressing, leur circuit de passes (4e) et leur transition rapides (19e). Mais les Parisiens ont globalement été gênés par le jeu haut des joueurs de Bilbao, galvanisés par leur succès du week-end contre l'Atlético Madrid (1-0). Loin du festival offensif de samedi contre Rennes (5-0) ou contre Tottenham (5-3) lors de la dernière rencontre de Ligue des champions, ils ont été souvent maladroits dans le dernier geste: Fabian Ruiz (37e), mais aussi Senny Mayulu (41e, 45e, 49e), aligné en faux N.9, alors que Bradley Barcola a trouvé la barre transversale (65e). En jambes ce week-end, l'ailier français comme Khvicha Kvaratskhelia ont été moins percutants que contre les Bretons, sachant qu'Ousmane Dembélé était "malade" et au "repos" et que Désiré Doué, a rejoué 30 minutes après un mois et demi d'absence (blessure cuisse). Mais il faudra encore du temps de jeu au Français pour faire les différences qu'il faisait en fin de saison dernière, sachant que l'attaque aurait eu besoin de lui dans sa meilleure forme aujourd'hui. Après s'être relancé contre Tottenham après la défaite contre Munich (2-1), le PSG enregistre son premier nul en Ligue des champions cette saison, et n'arrive donc pas à gagner à Bilbao, après sa défaite (2-0) en 2011, au tout début de l'ère QSI.
Texte intégral (599 mots)
Avec 13 points sur 18 possibles et une 3e place provisoire au classement, les Parisiens devront néanmoins attendre pour se hisser au prochain tour, même si le suspense reste mince. L'enjeu des deux derniers matches, au Sporting Portugal et contre Newcastle sera de terminer dans le top 8, synonyme de 8e de finale. Mais ce nul, sans grande conséquence au classement - ils étaient 2e avant le début de la 6e journée -, montre que l'équipe de Luis Enrique est sur courant alternatif en attaque. "Nous n'avons pas manqué d'efficacité c'est juste que le gardien de Bilbao a été incroyable, il a été nommé meilleur joueur du match, on méritait la victoire, même si le match de l'Athletic a été de bon niveau", a déclaré le coach du PSG après le match. "Pas de frustration, je pense que cela été un match très intense, on a fait le boulot, ils ont beaucoup pressé. On a créé beaucoup d'occasions mais Unai Simon (le gardien) était sur le terrain et l'ambiance était incroyable", a-t-il ajouté. "Jouer ici, ce n'est pas facile", a confirmé Nuno Mendes, aligné après deux matches manqués à cause d'une "blessure minime" à la cuisse. Sans Ousmane Dembélé, Achraf Hakimi ni le gardien Lucas Chevalier, les champions d'Europe n'ont finalement pas fait si peur aux hommes d'Ernesto Valverde, qui devaient pourtant faire avec de nombreux blessés. Zabarnyi a joué avec Safonov Ce match a surtout été marqué par l'entrée en jeu à la mi-temps du défenseur ukrainien Illya Zabarnyi. Remplaçant le capitaine Marquinhos, il a joué ses premières minutes avec son coéquipier russe, le gardien Matvey Safonov: une image rare et forte dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Interrogé sur la sortie prématurée de Marquinhos à la mi-temps, Luis Enrique a indiqué ne pas savoir "le problème", mais en zone mixte le défenseur a indiqué avoir ressenti une douleur aux adducteurs. Il passera des examens jeudi. Dans le jeu, au milieu de l'atmosphère des 51.000 supporters basques, les tenants du titre ont essayé de donner le ton dès le début du match en imposant aux locaux leur pressing, leur circuit de passes (4e) et leur transition rapides (19e). Mais les Parisiens ont globalement été gênés par le jeu haut des joueurs de Bilbao, galvanisés par leur succès du week-end contre l'Atlético Madrid (1-0). Loin du festival offensif de samedi contre Rennes (5-0) ou contre Tottenham (5-3) lors de la dernière rencontre de Ligue des champions, ils ont été souvent maladroits dans le dernier geste: Fabian Ruiz (37e), mais aussi Senny Mayulu (41e, 45e, 49e), aligné en faux N.9, alors que Bradley Barcola a trouvé la barre transversale (65e). En jambes ce week-end, l'ailier français comme Khvicha Kvaratskhelia ont été moins percutants que contre les Bretons, sachant qu'Ousmane Dembélé était "malade" et au "repos" et que Désiré Doué, a rejoué 30 minutes après un mois et demi d'absence (blessure cuisse). Mais il faudra encore du temps de jeu au Français pour faire les différences qu'il faisait en fin de saison dernière, sachant que l'attaque aurait eu besoin de lui dans sa meilleure forme aujourd'hui. Après s'être relancé contre Tottenham après la défaite contre Munich (2-1), le PSG enregistre son premier nul en Ligue des champions cette saison, et n'arrive donc pas à gagner à Bilbao, après sa défaite (2-0) en 2011, au tout début de l'ère QSI.

10.12.2025 à 22:41

Mondial de hand: les Bleues prennent une revanche étincelante pour aller en demies

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Deux jours après avoir subi leur première défaite du tournoi, contre les Pays-Bas (26-23), les championnes du monde en titre ont redressé la tête, et bien haut. Peu importe les absences de cinq joueuses majeures, en congé maternité (Estelle Nze Minko, Chloé Valentini, Laura Flippes) ou blessées (Laura Glauser et Grâce Zaadi), les Bleues, jamais inquiétées, ont retrouvé la cohésion collective de leurs plus grandes conquêtes. Celles-ci ont toujours été assises sur une défense de fer. Le sélectionneur Sébastien Gardillou, qui avait demandé mardi qu'elle soit "excellente" et pas seulement bonne, a été entendu. Concernées individuellement et collectivement, les Bleues ont parfaitement gêné la circulation de balle des Danoises et fait résonner leur hargne, dès le début de match (3-0), dans une Ahoy Arena aux trois-quarts vide. Après avoir fait le plein juste avant pour la qualification des Néerlandaises face aux Hongroises (28-23). Choix payants Les Françaises ont aussi été parfaitement lancées par Clarisse Mairot (6/7), qui a réussi ses quatre premiers tirs (8-4, 11e) alors que la menace de loin était essentielle dans un futur succès. L'arrière gauche de Brest a aussi été précieuse en inscrivant deux buts coup sur coup en seconde période alors que les Danoises, menées de cinq longueurs à la mi-temps (17-12), étaient revenues à deux unités (19-17, 39e). Pour relancer la machine, les parades d'Hatadou Sako ont également compté, notamment celle devant Elma Halilcevic, fructifiée par deux buts de Sarah Bouktit derrière (22-17, 45e). Un autre arrêt et, quelques minutes plus tard, Lucie Granier pliait le match (28-21, 52e). Bouktit (8/8), élue joueuse du match, illustre les choix payants effectués par Gardillou: le sélectionneur a fait démarrer la pivot de Metz en attaque (Oriane Ondono étant utilisée en défense), et placé au poste d'arrière droite l'habituelle pivot Pauletta Foppa. Elle a complètement éteint en défense Anne Mette Hansen tout en apportant son écot en attaque. Gardillou a également rapidement fait entrer Léna Grandveau comme demi-centre (son poste de prédilection). Dans la foulée, la Bourguignonne a délivré une merveille de passe décisive pour Lucie Granier (11-8). Comme Grandveau, Méline Nocandy (2/2) a été décisive juste après son entrée en jeu (12-8, 20e) et avoir manqué les trois précédents matches, blessée à une cheville. Comme ses équipières, elle a encore deux matches devant elle.
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Deux jours après avoir subi leur première défaite du tournoi, contre les Pays-Bas (26-23), les championnes du monde en titre ont redressé la tête, et bien haut. Peu importe les absences de cinq joueuses majeures, en congé maternité (Estelle Nze Minko, Chloé Valentini, Laura Flippes) ou blessées (Laura Glauser et Grâce Zaadi), les Bleues, jamais inquiétées, ont retrouvé la cohésion collective de leurs plus grandes conquêtes. Celles-ci ont toujours été assises sur une défense de fer. Le sélectionneur Sébastien Gardillou, qui avait demandé mardi qu'elle soit "excellente" et pas seulement bonne, a été entendu. Concernées individuellement et collectivement, les Bleues ont parfaitement gêné la circulation de balle des Danoises et fait résonner leur hargne, dès le début de match (3-0), dans une Ahoy Arena aux trois-quarts vide. Après avoir fait le plein juste avant pour la qualification des Néerlandaises face aux Hongroises (28-23). Choix payants Les Françaises ont aussi été parfaitement lancées par Clarisse Mairot (6/7), qui a réussi ses quatre premiers tirs (8-4, 11e) alors que la menace de loin était essentielle dans un futur succès. L'arrière gauche de Brest a aussi été précieuse en inscrivant deux buts coup sur coup en seconde période alors que les Danoises, menées de cinq longueurs à la mi-temps (17-12), étaient revenues à deux unités (19-17, 39e). Pour relancer la machine, les parades d'Hatadou Sako ont également compté, notamment celle devant Elma Halilcevic, fructifiée par deux buts de Sarah Bouktit derrière (22-17, 45e). Un autre arrêt et, quelques minutes plus tard, Lucie Granier pliait le match (28-21, 52e). Bouktit (8/8), élue joueuse du match, illustre les choix payants effectués par Gardillou: le sélectionneur a fait démarrer la pivot de Metz en attaque (Oriane Ondono étant utilisée en défense), et placé au poste d'arrière droite l'habituelle pivot Pauletta Foppa. Elle a complètement éteint en défense Anne Mette Hansen tout en apportant son écot en attaque. Gardillou a également rapidement fait entrer Léna Grandveau comme demi-centre (son poste de prédilection). Dans la foulée, la Bourguignonne a délivré une merveille de passe décisive pour Lucie Granier (11-8). Comme Grandveau, Méline Nocandy (2/2) a été décisive juste après son entrée en jeu (12-8, 20e) et avoir manqué les trois précédents matches, blessée à une cheville. Comme ses équipières, elle a encore deux matches devant elle.

10.12.2025 à 22:39

Wall Street termine en hausse, satisfaite par la Fed

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Le Dow Jones a pris 1,05%, l'indice Nasdaq a avancé de 0,33% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,67%. Pour la troisième fois d'affilée, les taux directeurs américains sont réduits d'un quart de point de pourcentage, pour s'établir dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%, une décision largement anticipée par les marchés. En revanche, le président de la Fed Jerome Powell "s'est montré moins ferme que ne l'avaient prévu de nombreux investisseurs" lors de sa conférence de presse, assure auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA. "Nous sommes bien positionnés pour décider de l'étendue et du calendrier de potentiels nouveaux ajustements, selon l'évolution des données économiques et de nos perspectives", a dit mercredi M. Powell. Les Etats-Unis connaissent à la fois une inflation en accélération et un chômage plus élevé, scénarios qui impliquent en théorie des actions opposées de la part de la banque centrale. Mais selon les projections économiques actualisées de l'institution, la hausse des prix l'année prochaine pourrait être moins importante qu'auparavant anticipé, à 2,4% (contre 2,6%). Pour Sam Stovall, "compte tenu de l'affaiblissement du marché de l'emploi et de la baisse prévue du taux d'inflation, cela favorisera la perspective d'une, voire de deux baisses de taux l'année prochaine". Pour le moment, les responsables de la Fed continuent de prévoir une unique réduction des taux en 2026, selon la médiane de leurs prévisions mises à jour. "L'absence de baisses plus importantes aurait pu être mal interprétée par Wall Street, mais l'annonce d'une reprise, certes lente, de l'expansion du bilan" de la Fed "est certainement une raison de se réjouir", avance Jose Torres, d'Interactive Brokers. En achetant plus de titres, comme les bons du Trésor, la Réserve fédérale introduit plus de liquidités sur les marchés, une situation "qui a contribué à faire grimper significativement les valorisations boursières" après la pandémie de Covid-19. Les propos de Jerome Powell ont aussi eu pour conséquence de diminuer le rendement de l'emprunt américain à dix ans, qui évoluait vers 21H25 GMT autour de 4,15% contre 4,19% à la clôture la veille. Son équivalent à deux ans, plus sensible aux évolutions monétaires, passait lui de 3,61% à 3,54%. Côté entreprises, GE Vernova, qui rassemble les anciennes activités énergétiques du conglomérat General Electric, s'est envolé (+15,62% à 723,00 dollars) après avoir revu à la hausse ses prévisions sur le long terme (d'ici 2028) et avoir confirmé celles de 2025. La chaîne de magasins de jeux vidéo GameStop (-4,28% à 22,12 dollars) a pâti de performances financières moins bonnes qu'attendu pour le troisième trimestre, notamment en termes de chiffre d'affaires. La société de défense AeroVironment (-12,85% à 245,25 dollars) a été lourdement sanctionnée pour ses résultats en deçà des attentes au deuxième trimestre de son exercice décalé, dont un bénéfice net par action à 44 cents, alors que le marché tablait sur 78 cents.
Texte intégral (506 mots)
Le Dow Jones a pris 1,05%, l'indice Nasdaq a avancé de 0,33% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,67%. Pour la troisième fois d'affilée, les taux directeurs américains sont réduits d'un quart de point de pourcentage, pour s'établir dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%, une décision largement anticipée par les marchés. En revanche, le président de la Fed Jerome Powell "s'est montré moins ferme que ne l'avaient prévu de nombreux investisseurs" lors de sa conférence de presse, assure auprès de l'AFP Sam Stovall, de CFRA. "Nous sommes bien positionnés pour décider de l'étendue et du calendrier de potentiels nouveaux ajustements, selon l'évolution des données économiques et de nos perspectives", a dit mercredi M. Powell. Les Etats-Unis connaissent à la fois une inflation en accélération et un chômage plus élevé, scénarios qui impliquent en théorie des actions opposées de la part de la banque centrale. Mais selon les projections économiques actualisées de l'institution, la hausse des prix l'année prochaine pourrait être moins importante qu'auparavant anticipé, à 2,4% (contre 2,6%). Pour Sam Stovall, "compte tenu de l'affaiblissement du marché de l'emploi et de la baisse prévue du taux d'inflation, cela favorisera la perspective d'une, voire de deux baisses de taux l'année prochaine". Pour le moment, les responsables de la Fed continuent de prévoir une unique réduction des taux en 2026, selon la médiane de leurs prévisions mises à jour. "L'absence de baisses plus importantes aurait pu être mal interprétée par Wall Street, mais l'annonce d'une reprise, certes lente, de l'expansion du bilan" de la Fed "est certainement une raison de se réjouir", avance Jose Torres, d'Interactive Brokers. En achetant plus de titres, comme les bons du Trésor, la Réserve fédérale introduit plus de liquidités sur les marchés, une situation "qui a contribué à faire grimper significativement les valorisations boursières" après la pandémie de Covid-19. Les propos de Jerome Powell ont aussi eu pour conséquence de diminuer le rendement de l'emprunt américain à dix ans, qui évoluait vers 21H25 GMT autour de 4,15% contre 4,19% à la clôture la veille. Son équivalent à deux ans, plus sensible aux évolutions monétaires, passait lui de 3,61% à 3,54%. Côté entreprises, GE Vernova, qui rassemble les anciennes activités énergétiques du conglomérat General Electric, s'est envolé (+15,62% à 723,00 dollars) après avoir revu à la hausse ses prévisions sur le long terme (d'ici 2028) et avoir confirmé celles de 2025. La chaîne de magasins de jeux vidéo GameStop (-4,28% à 22,12 dollars) a pâti de performances financières moins bonnes qu'attendu pour le troisième trimestre, notamment en termes de chiffre d'affaires. La société de défense AeroVironment (-12,85% à 245,25 dollars) a été lourdement sanctionnée pour ses résultats en deçà des attentes au deuxième trimestre de son exercice décalé, dont un bénéfice net par action à 44 cents, alors que le marché tablait sur 78 cents.

10.12.2025 à 22:01

La fuite d'eau découverte au Louvre génère de faux clichés de dégâts

Anthony SAINT-LÉGER
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Après la fuite d'eau découverte au musée du Louvre qui a endommagé des centaines d'ouvrages, des internautes assurent présenter un cliché des dégâts. Or la photo très relayée a été générée par intelligence artificielle.
Texte intégral (506 mots)
Après la fuite d'eau découverte au musée du Louvre qui a endommagé des centaines d'ouvrages, des internautes assurent présenter un cliché des dégâts. Or la photo très relayée a été générée par intelligence artificielle.
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