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19.11.2025 à 04:29

Un tableau de Klimt devient la 2e oeuvre la plus chère jamais vendue aux enchères

FRANCE24
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Seul le "Salvator Mundi" attribué à Léonard de Vinci a fait mieux, vendu pour 450 millions de dollars (alors environ 380 millions d'euros) à New York en 2017. Six acheteurs se sont disputé pendant 20 minutes "Le portrait d'Elisabeth Lederer" (1914-1916), estimé à 150 millions de dollars, qui représente la fille du principal mécène de Gustav Klimt dans une robe impériale chinoise blanche, devant une tapisserie bleue aux motifs d'inspiration asiatique. Sotheby's n'a pas dévoilé le nom de l'acquéreur. A l'instar de ce tableau, les grands portraits en pied réalisés par le peintre autrichien pendant sa période phare (entre 1912 et 1917) sont "extrêmement rares", explique Sotheby's dans un communiqué. La plupart font partie des collections des grands musées et très peu sont détenus par des collectionneurs privés. Cette vente record intervient alors que le produit mondial des enchères d'œuvres d'art a chuté de 33,5% en 2024 à 9,9 milliards de dollars, son plus bas niveau depuis 2009, selon le rapport annuel Artprice publié en mars. En cause alors, outre un contexte économique difficile, le manque d'œuvres de grande valeur. Autre enchère remarquée mardi à New York, les toilettes en or massif du provocateur italien Maurizio Cattelan ont été vendues à une "célèbre marque américaine" pour 12,1 millions de dollars (10,4 millions d'euros), a indiqué Sotheby's dans un communiqué. Une première version de l'oeuvre, baptisée "America", a été volée en 2019 dans un château en Angleterre. Jamais retrouvée, elle a probablement été fondue pour être revendue. Trois hommes ont été condamnés dans cette affaire. Au tour de Frida Kahlo ? Plusieurs autres oeuvres de Gustav Klimt ont été adjugées lors des mêmes enchères, dont sa "Prairie en fleur" (c. 1908) pour 86 millions de dollars (74,2 millions d'euros) et sa "Pente forestière à Unterach am Attersee" (1916) pour 68,3 millions de dollars (58,9 millions d'euros). Ces tableaux champêtres, ainsi que deux études pour un portrait, faisaient partie de la collection de Leonard A. Lauder, héritier de l'empire des cosmétiques Estée Lauder, décédé en juin à l'âge de 92 ans. Au total, la vente des 24 lots de cette collection a généré 527,5 millions de dollars (455,6 millions d'euros), dont 391,7 millions (338,3 millions d'euros) rien que pour Gustav Klimt. "Un événement historique pour le marché de l'art", a estimé Charles Stewart, directeur général de Sotheby's, cité dans un communiqué. Pour l'artiste autrichien, le précédent record était allé à la "Dame à l'éventail" (1917-1918), adjugée pour 85,3 millions de livres sterling (98,9 millions d'euros, 108,8 millions de dollars) à Londres en 2023. Mis en vente jeudi par Sotheby's à New York, un autoportrait de Frida Kahlo a de bonnes chances de devenir le tableau le plus cher réalisé par une femme. Estimée entre 40 et 60 millions de dollars (34 et 51 millions d'euros), cette peinture de 1940 intitulée "Le rêve (La chambre)" la représente dormant dans un lit surplombé d'un immense squelette. Le tableau le plus cher d'une artiste vendu jusqu'à présent est une oeuvre de 1932 de l'Américaine Georgia O'Keeffe, qui avait atteint la somme de 44,4 millions de dollars (alors 41,5 millions d'euros) en 2014. Aucune femme n'a franchi le seuil des 50 millions, dépassé plus de 150 fois par des hommes. Le record pour Frida Kahlo est un autre autoportrait de 1949, "Diego et moi", qui s'est vendu pour 34,4 millions de dollars.

19.11.2025 à 04:27

Budget de la Sécu: inflexible sur les retraites, le Sénat lance son marathon budgétaire

FRANCE24
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Après plusieurs semaines de débats parfois chaotiques à l'Assemblée nationale, les projecteurs se braquent désormais sur le Palais du Luxembourg. Les sénateurs se saisissent vers 16h30 du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Ils siègeront sans interruption pendant sept jours sur ce texte, avant un vote solennel prévu mercredi 26 novembre. Puis ils s'empareront du budget de l'Etat, actuellement débattu à l'Assemblée. A la différence de cette dernière, la chambre haute dispose d'une très nette majorité acquise à une alliance entre la droite et les centristes. Cette configuration permet donc d'envisager sereinement un vote favorable, à condition d'arriver au bout des quelque 1.300 amendements soumis à l'hémicycle... Mais quelle sera la copie retenue par le Sénat ? Très irritée par le choix du gouvernement de se tourner vers le Parti socialiste en vue de négocier sa survie, la majorité sénatoriale n'entend pas rentrer si facilement dans le "compromis" souhaité par le Premier ministre Sébastien Lecornu. "Le gouvernement veut acheter à n'importe quel prix le fait de durer un peu plus", s'est agacé mardi le patron des Républicains Bruno Retailleau, redevenu sénateur. "Courage" Droite et centristes n'auront donc aucun scrupule à refuser en bloc la concession majeure offerte par le gouvernement aux socialistes: la "suspension" jusqu'à janvier 2028 de la réforme des retraites portant l'âge légal de départ à 64 ans. Soutenue de longue date par le Sénat, elle sera donc rétablie en séance publique, sauf immense surprise. "On n'est pas là pour maintenir coûte que coûte un gouvernement", martèle le patron du groupe LR, Mathieu Darnaud. "On sait très bien que la suspension de cette réforme, ce sont des coûts supplémentaires", ajoute-t-il. La réforme des retraites n'est pas le seul objet de désaccord entre députés et sénateurs, ces derniers ayant promis de supprimer des dizaines de mesures votées à l'Assemblée. "La copie de l'Assemblée n'est pas acceptable", assume la centriste Elisabeth Doineau, rapporteure générale du budget de la Sécu. "Rien n'est agréable à porter, mais il faut aussi avoir le courage de revenir à un niveau de déficit qui rentre dans l'épure". La sénatrice espère ramener le déficit de la Sécu à environ 17,5 milliards d'euros en 2026 - soit l'objectif initial du gouvernement - contre plus de 24 milliards selon la copie des députés. Pour ce faire, les sénateurs entendent réintroduire le principe de "l'année blanche", c'est-à-dire le gel des pensions de retraites et des prestations sociales, à l'exception de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) et les retraites inférieures à 1.400 euros. Ils s'opposent aussi à la hausse de la CSG sur le capital, autre victoire des députés socialistes. "Le retour des horreurs" "C'est le retour des horreurs", se désespère le président des sénateurs socialistes Patrick Kanner, promettant des "débats aussi durs qu'en 2023 sur la réforme des retraites". Dans cette chambre où La France insoumise n'a aucun parlementaire, la gauche - socialiste, écologiste et communiste - a promis "d'entrer en résistance" en commun et de "faire bloc" pour "défendre des acquis", malgré ses divergences stratégiques sur le budget. Interrogée ce week-end par Le Parisien, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a elle appelé les sénateurs à "œuvrer au compromis" sur les retraites. Mais la chambre haute et son président Gérard Larcher n'entendent pas, à ce stade, céder sur cette ligne rouge... Au risque de doucher les espoirs d'un compromis bâti entre les deux chambres du Parlement ? Au Sénat comme à l'Assemblée, l'immense majorité des parlementaires envisagent déjà l'échec de la commission mixte paritaire (CMP), réunion censée accorder les versions des deux chambres fin novembre. Cela obligerait les députés à entamer au pas de course une "nouvelle lecture" de ce PLFSS. Avec un risque chaque jour plus grand de voir le texte mis en place par voie d'ordonnances, si les délais constitutionnels - fixés au 12 décembre à minuit - sont dépassés...

19.11.2025 à 03:57

Un tableau de Gustav Klimt devient la 2e oeuvre la plus chère jamais vendue aux enchères

FRANCE 24
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Le "Portrait d'Elisabeth Lederer", de l'Autrichien Gustav Klimt, a été adjugée mardi à New York 236,4 millions de dollars, soit la vente la plus chère après le "Salvator Mundi", attribué à Léonard de Vinci.
Texte intégral (703 mots)
Le "Portrait d'Elisabeth Lederer", de l'Autrichien Gustav Klimt, a été adjugée mardi à New York 236,4 millions de dollars, soit la vente la plus chère après le "Salvator Mundi", attribué à Léonard de Vinci.

19.11.2025 à 01:04

Des dizaines de morts dans un camp de réfugiés au sud du Liban

FRANCE24
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Une frappe israélienne a touché un camp de réfugiés palestiniens à Saïda, dans le sud du Liban. Les secours font état de dizaines de morts et de nombreux blessés, un bilan amené à évoluer. "C'est la deuxième fois, depuis le 7 octobre 2023, que le camp d'Aïn al-Héloué est directement touché par l'armée israélienne, ce camp abritant plusieurs factions palestiniennes, dont des groupes affiliés au Hamas", explique le correspondant de France 24 à Beyrouth, Serge Berberi.
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Une frappe israélienne a touché un camp de réfugiés palestiniens à Saïda, dans le sud du Liban. Les secours font état de dizaines de morts et de nombreux blessés, un bilan amené à évoluer. "C'est la deuxième fois, depuis le 7 octobre 2023, que le camp d'Aïn al-Héloué est directement touché par l'armée israélienne, ce camp abritant plusieurs factions palestiniennes, dont des groupes affiliés au Hamas", explique le correspondant de France 24 à Beyrouth, Serge Berberi.

19.11.2025 à 00:40

Le Liban rapporte au moins 13 morts dans une frappe israélienne sur un camp de réfugiés palestiniens

FRANCE 24
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Une frappe israélienne ayant visé la ville de Saïda, dans le sud du Liban, a fait au moins 13 morts mardi, selon le ministère libanais de la Santé. Tsahal défend avoir visé un camp d'entraînement du Hamas, quand le mouvement islamiste dénonce une "attaque barbare" contre un camp de réfugiés palestiniens.
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Une frappe israélienne ayant visé la ville de Saïda, dans le sud du Liban, a fait au moins 13 morts mardi, selon le ministère libanais de la Santé. Tsahal défend avoir visé un camp d'entraînement du Hamas, quand le mouvement islamiste dénonce une "attaque barbare" contre un camp de réfugiés palestiniens.

19.11.2025 à 00:33

Le contenu des dossiers Epstein

Cécile GALLUCCIO
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Mardi, à son tour, le Sénat américain a approuvé une proposition de loi pour forcer les autorités à rendre publics les dossiers Epstein, quelques heures après son adoption à la Chambre des représentants. Pendant des mois, Donald Trump avait mené une véritable campagne pour contrecarrer la tenue de ce vote.
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Mardi, à son tour, le Sénat américain a approuvé une proposition de loi pour forcer les autorités à rendre publics les dossiers Epstein, quelques heures après son adoption à la Chambre des représentants. Pendant des mois, Donald Trump avait mené une véritable campagne pour contrecarrer la tenue de ce vote.

18.11.2025 à 23:38

Un tribunal fédéral américain annule le redécoupage électoral du Texas favorisant les républicains

FRANCE 24
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Saisi par des électeurs qui considéraient le redécoupage électoral du Texas comme "discriminatoire", un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour les élections de mi-mandat la même carte que pour les précédents scrutins. Le "gerrymandering" devait favoriser les républicains.
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Saisi par des électeurs qui considéraient le redécoupage électoral du Texas comme "discriminatoire", un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour les élections de mi-mandat la même carte que pour les précédents scrutins. Le "gerrymandering" devait favoriser les républicains.

18.11.2025 à 23:21

Mondial-2026: l'Ecosse qualifiée après un scénario fou contre le Danemark, barragiste

FRANCE24
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Une frappe de Kieran Tierney depuis l'extérieur de la surface (90e+3) et un lob signé Kenny McLean du rond central (90e+8) ont permis à l'Ecosse d'obtenir la victoire nécessaire. Ils terminent premiers avec deux points d'avance sur leurs adversaires du soir. "Cela résume bien cette équipe, ne jamais abandonner. Nous continuons à nous battre jusqu'à la fin, c'est l'un des matchs les plus dingues", a réagi le capitaine Andy Robertson sur BBC Scotland. L'Ecosse attendait de rejouer une Coupe du monde depuis 1998, il y a 27 ans. Quant aux Danois, ils devront disputer en mars les barrages pour espérer disputer une troisième édition d'affilée. La fin des qualifications a viré au cauchemar pour les Scandinaves qui, avant le mois de novembre, comptaient trois victoires, un match nul et un seul but encaissé en quatre rencontres. Ils en ont encaissé six en l'espace de quatre jours contre le modeste Bélarus (2-2) et l'Ecosse (4-2). Carton rouge et égalisation A Hampden Park, les supporters ont donné le ton avant le coup d'envoi en chantant à pleins poumons, a capella, un "Flower of Scotland" aussi puissant qu'émouvant. Mais le niveau de décibels a atteint une tout autre intensité moins de trois minutes après le coup d'envoi quand Scott McTominay s'est jeté dans les airs, dos au but et à hauteur du point de pénalty, pour exécuter un retourné acrobatique de toute beauté (3e, 1-0). La sortie sur civière du passeur décisif Ben Gannon-Doak, blessé à une cuisse (21e), a ensuite affaibli une équipe d'Ecosse qui n'a fait que subir les offensives adverses. Rasmus Hojlund s'est procuré de multiples occasions face au gardien Craig Gordon, auteur de plusieurs parades (7e, 47e) et sauvé par la VAR après un but du N.9 invalidé pour une faute (23e). Le coéquipier de McTominay à Naples a fini par égaliser sur un pénalty (57e, 1-1) concédé par Andy Robertson, l'arrière de Liverpool aux 90 sélections, coupable d'une faute à l'entrée de la surface de réparation. Le Danemark s'est retrouvé à dix après le deuxième carton jaune reçu par Rasmus Kristensen (61e), il a encaissé un but sur corner (78e, 2-1) mais il a réussi à égaliser une seconde fois par Patrick Dorgu (82e, 2-2). L'Ecosse a poussé dans les dernières minutes et marqué deux fois par deux entrants, un finish spectaculaire réalisé dans une ambiance de folie.
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Une frappe de Kieran Tierney depuis l'extérieur de la surface (90e+3) et un lob signé Kenny McLean du rond central (90e+8) ont permis à l'Ecosse d'obtenir la victoire nécessaire. Ils terminent premiers avec deux points d'avance sur leurs adversaires du soir. "Cela résume bien cette équipe, ne jamais abandonner. Nous continuons à nous battre jusqu'à la fin, c'est l'un des matchs les plus dingues", a réagi le capitaine Andy Robertson sur BBC Scotland. L'Ecosse attendait de rejouer une Coupe du monde depuis 1998, il y a 27 ans. Quant aux Danois, ils devront disputer en mars les barrages pour espérer disputer une troisième édition d'affilée. La fin des qualifications a viré au cauchemar pour les Scandinaves qui, avant le mois de novembre, comptaient trois victoires, un match nul et un seul but encaissé en quatre rencontres. Ils en ont encaissé six en l'espace de quatre jours contre le modeste Bélarus (2-2) et l'Ecosse (4-2). Carton rouge et égalisation A Hampden Park, les supporters ont donné le ton avant le coup d'envoi en chantant à pleins poumons, a capella, un "Flower of Scotland" aussi puissant qu'émouvant. Mais le niveau de décibels a atteint une tout autre intensité moins de trois minutes après le coup d'envoi quand Scott McTominay s'est jeté dans les airs, dos au but et à hauteur du point de pénalty, pour exécuter un retourné acrobatique de toute beauté (3e, 1-0). La sortie sur civière du passeur décisif Ben Gannon-Doak, blessé à une cuisse (21e), a ensuite affaibli une équipe d'Ecosse qui n'a fait que subir les offensives adverses. Rasmus Hojlund s'est procuré de multiples occasions face au gardien Craig Gordon, auteur de plusieurs parades (7e, 47e) et sauvé par la VAR après un but du N.9 invalidé pour une faute (23e). Le coéquipier de McTominay à Naples a fini par égaliser sur un pénalty (57e, 1-1) concédé par Andy Robertson, l'arrière de Liverpool aux 90 sélections, coupable d'une faute à l'entrée de la surface de réparation. Le Danemark s'est retrouvé à dix après le deuxième carton jaune reçu par Rasmus Kristensen (61e), il a encaissé un but sur corner (78e, 2-1) mais il a réussi à égaliser une seconde fois par Patrick Dorgu (82e, 2-2). L'Ecosse a poussé dans les dernières minutes et marqué deux fois par deux entrants, un finish spectaculaire réalisé dans une ambiance de folie.

18.11.2025 à 23:19

Mondial-2026: l'Espagne qualifiée malgré son nul face à la Turquie

FRANCE24
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Après cinq larges succès lors des cinq premières journées, la Roja a tremblé pour la première fois sur la pelouse du stade olympique de la Cartuja, lors d’une "finale" qui n’en avait que le nom. Elle termine néanmoins invaincue à la première place du groupe E avec 16 points, devant son adversaire du soir (2e, 13 points), valeureux même sans ses jeunes stars Arda Güler et Kenan Yildiz, ménagées. La sélection espagnole, quasiment qualifiée au coup d’envoi, sauf scénario catastrophe (une victoire 7-0 de la Turquie), a encaissé ses deux premiers buts dans cette phase de qualification. Les hommes de Luis De la Fuente, privé à nouveau de la moitié de son onze titulaire, en l'absence de Lamine Yamal, Rodri, Pedri, Dani Carvajal, Nico Williams ou Dean Huijsen, avaient pourtant idéalement démarré cette soirée en ouvrant le score dès la 4e minute d'un magnifique enchaînement du Barcelonais Dani Olmo dans la surface (4e, 1-0). Mais ils se sont laissés surprendre juste avant la mi-temps, sur un corner repris par l'attaquant Deniz Gül (42e, 1-1), après avoir manqué plusieurs occasions de creuser l'écart (25e, 29e, 30e). Le gardien basque de Bilbao Unai Simon, vigilant sur sa ligne (50e), a retardé un peu le deuxième but turc au retour des vestiaires, en détournant notamment un retourné acrobatique de Baris Yilmaz, qui aurait pu être l'un des buts de la soirée (53e). La Roja menée pour la première fois Mais il n'a rien pu faire sur la demi-volée limpide du milieu de Dortmund Salih Ozcan venue doucher l'enceinte sévillane (54e, 2-1), remplie seulement aux deux-tiers, signe de l'intérêt moindre de la rencontre. La Roja, menée au score pour la première fois dans ces qualifications, a heureusement pu compter une nouvelle fois sur l'expérimenté Mikel Oyazarbal, opportuniste après un ballon repoussé par Merih Demiral sur sa ligne pour égaliser (62e, 2-2) et préserver l'invincibilité des champions d'Europe en titre. Les Espagnols, champions du monde en 2010, prolongent ainsi leur impressionnante série avec une 31e rencontre sans défaite en compétition officielle depuis 2023. Suffisant pour rejoindre les autres grandes nations européennes (France, Angleterre, Portugal, Allemagnes, Pays-bas) dans la liste des 39 pays qualifiés jusqu'ici. La Turquie devra passer par les barrages pour espérer voir l'Amérique l'été prochain.
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Après cinq larges succès lors des cinq premières journées, la Roja a tremblé pour la première fois sur la pelouse du stade olympique de la Cartuja, lors d’une "finale" qui n’en avait que le nom. Elle termine néanmoins invaincue à la première place du groupe E avec 16 points, devant son adversaire du soir (2e, 13 points), valeureux même sans ses jeunes stars Arda Güler et Kenan Yildiz, ménagées. La sélection espagnole, quasiment qualifiée au coup d’envoi, sauf scénario catastrophe (une victoire 7-0 de la Turquie), a encaissé ses deux premiers buts dans cette phase de qualification. Les hommes de Luis De la Fuente, privé à nouveau de la moitié de son onze titulaire, en l'absence de Lamine Yamal, Rodri, Pedri, Dani Carvajal, Nico Williams ou Dean Huijsen, avaient pourtant idéalement démarré cette soirée en ouvrant le score dès la 4e minute d'un magnifique enchaînement du Barcelonais Dani Olmo dans la surface (4e, 1-0). Mais ils se sont laissés surprendre juste avant la mi-temps, sur un corner repris par l'attaquant Deniz Gül (42e, 1-1), après avoir manqué plusieurs occasions de creuser l'écart (25e, 29e, 30e). Le gardien basque de Bilbao Unai Simon, vigilant sur sa ligne (50e), a retardé un peu le deuxième but turc au retour des vestiaires, en détournant notamment un retourné acrobatique de Baris Yilmaz, qui aurait pu être l'un des buts de la soirée (53e). La Roja menée pour la première fois Mais il n'a rien pu faire sur la demi-volée limpide du milieu de Dortmund Salih Ozcan venue doucher l'enceinte sévillane (54e, 2-1), remplie seulement aux deux-tiers, signe de l'intérêt moindre de la rencontre. La Roja, menée au score pour la première fois dans ces qualifications, a heureusement pu compter une nouvelle fois sur l'expérimenté Mikel Oyazarbal, opportuniste après un ballon repoussé par Merih Demiral sur sa ligne pour égaliser (62e, 2-2) et préserver l'invincibilité des champions d'Europe en titre. Les Espagnols, champions du monde en 2010, prolongent ainsi leur impressionnante série avec une 31e rencontre sans défaite en compétition officielle depuis 2023. Suffisant pour rejoindre les autres grandes nations européennes (France, Angleterre, Portugal, Allemagnes, Pays-bas) dans la liste des 39 pays qualifiés jusqu'ici. La Turquie devra passer par les barrages pour espérer voir l'Amérique l'été prochain.

18.11.2025 à 23:11

Coupe Davis: les Belges renvoient déjà la France à la maison

FRANCE24
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Ironie du sort, c'est un dénommé Zizou qui a enterré les espoirs tricolores: le N.1 belge Zizou Bergs (43e mondial) s'est imposé 6-3, 7-6 (7/4) contre le leader français Arthur Rinderknech (29e) pour offrir le deuxième point décisif à la sélection noir-jaune-rouge. "Ça fait assez mal, parce que je suis persuadé qu'avec cette équipe on aurait pu aller beaucoup plus loin", s'est désolé le capitaine des Bleus Paul-Henri Mathieu en conférence de presse. C'est sans doute dans le premier simple du jour entre Corentin Moutet (35e) et Raphaël Collignon (86e) que le duel a basculé. Bien entré dans le match en empochant le premier set 6-2, le gaucher de 26 ans a risqué un coup spectaculaire dont il est coutumier en fin de deuxième manche. Mené 6-5, 15-15 dans la deuxième manche, le gaucher a tenté un "tweener" (coup frappé entre les jambes) pour conclure de façon spectaculaire un point qui lui semblait acquis. Mais alors que le court lui était totalement ouvert, il a expédié la balle dans le filet. Collignon a ensuite remporté le deuxième set quelques instants plus tard avant de gagner la partie 2-6, 7-5, 7-5. "C'est sûr que claquer la volée aurait été un choix plus judicieux à ce moment-là", a soupiré Moutet en conférence de presse. "J'essaie de jouer de manière assez spontanée et malheureusement, c'est ça qui est venu de manière spontanée. Je regrette énormément d'avoir fait ce coup", a déploré le perdant. "C'était un point surprenant", a commenté Paul-Henri Mathieu. "Il y avait certainement de la tension, un manque de fraîcheur", a-t-il analysé à chaud, assurant n'avoir pas encore échangé avec Moutet depuis la perte de son match. Pour "tenter ça dans un moment aussi important, il fallait vraiment être sûr de son coup", a jugé pour sa part Raphaël Collignon. "Après, ça fait partie de son jeu aussi", a-t-il relativisé. "C'est quelqu'un de super fantasque, il m'a aussi fait des coups de génie tout au long du match". La Belgique encore "loin" de son "rêve" La fin de deuxième manche a aussi été animée dans le second simple de la journée. Mené 6-3, 5-4, Rinderknech est parvenu à débreaker Bergs alors que le Belge servait pour le gain du match, avant de prendre les commandes du set sur son propre service. Il s'est même procuré deux balles de set mais n'a pas réussi à les convertir. La partie s'est donc décidée au tie-break, que Bergs a remporté sur sa deuxième balle de match avant d'aller célébrer son succès devant un kop belge très bruyant mardi soir. Cette défaite "fait mal, c'est sûr", a réagi Rinderknech. "J'ai une pensée pour Benjamin Bonzi, Pierre-Hugues Herbert et Giovanni Mpetshi Perricard, qui n'ont pas joué ce soir" du fait de cette deuxième défaite en simple synonyme d'élimination. "Ça me fait mal de ne pas leur avoir donné une chance. C'est mon principal regret", a-t-il complété. La première apparition des Bleus depuis 2019 en phase finale de la Coupe Davis a donc pris fin dès leur entrée en lice à Bologne. La Belgique, triple finaliste de la compétition sans jamais parvenir à soulever le Saladier d'argent, a pour sa part rendez-vous vendredi en demi-finales avec l'Autriche ou l'Italie, double tenante du titre privée à Bologne de ses leaders habituels Jannik Sinner (2e) et Lorenzo Musetti (8e). La sélection du Plat pays est menée 6-4 dans ses duels contre l'Italie en Coupe Davis et 5-0 par l'Autriche. Avant de penser à la suite, "on va un peu profiter de notre victoire ce soir", a assuré le capitaine belge Steve Darcis. "Je sais que mes joueurs ont un rêve cette semaine. Mais on est encore tellement loin de ce rêve! On va d'abord regarder" mercredi après-midi qui de l'Autriche ou de l'Italie l'emportera, "puis on se préparera du mieux qu'on peut".
Texte intégral (684 mots)
Ironie du sort, c'est un dénommé Zizou qui a enterré les espoirs tricolores: le N.1 belge Zizou Bergs (43e mondial) s'est imposé 6-3, 7-6 (7/4) contre le leader français Arthur Rinderknech (29e) pour offrir le deuxième point décisif à la sélection noir-jaune-rouge. "Ça fait assez mal, parce que je suis persuadé qu'avec cette équipe on aurait pu aller beaucoup plus loin", s'est désolé le capitaine des Bleus Paul-Henri Mathieu en conférence de presse. C'est sans doute dans le premier simple du jour entre Corentin Moutet (35e) et Raphaël Collignon (86e) que le duel a basculé. Bien entré dans le match en empochant le premier set 6-2, le gaucher de 26 ans a risqué un coup spectaculaire dont il est coutumier en fin de deuxième manche. Mené 6-5, 15-15 dans la deuxième manche, le gaucher a tenté un "tweener" (coup frappé entre les jambes) pour conclure de façon spectaculaire un point qui lui semblait acquis. Mais alors que le court lui était totalement ouvert, il a expédié la balle dans le filet. Collignon a ensuite remporté le deuxième set quelques instants plus tard avant de gagner la partie 2-6, 7-5, 7-5. "C'est sûr que claquer la volée aurait été un choix plus judicieux à ce moment-là", a soupiré Moutet en conférence de presse. "J'essaie de jouer de manière assez spontanée et malheureusement, c'est ça qui est venu de manière spontanée. Je regrette énormément d'avoir fait ce coup", a déploré le perdant. "C'était un point surprenant", a commenté Paul-Henri Mathieu. "Il y avait certainement de la tension, un manque de fraîcheur", a-t-il analysé à chaud, assurant n'avoir pas encore échangé avec Moutet depuis la perte de son match. Pour "tenter ça dans un moment aussi important, il fallait vraiment être sûr de son coup", a jugé pour sa part Raphaël Collignon. "Après, ça fait partie de son jeu aussi", a-t-il relativisé. "C'est quelqu'un de super fantasque, il m'a aussi fait des coups de génie tout au long du match". La Belgique encore "loin" de son "rêve" La fin de deuxième manche a aussi été animée dans le second simple de la journée. Mené 6-3, 5-4, Rinderknech est parvenu à débreaker Bergs alors que le Belge servait pour le gain du match, avant de prendre les commandes du set sur son propre service. Il s'est même procuré deux balles de set mais n'a pas réussi à les convertir. La partie s'est donc décidée au tie-break, que Bergs a remporté sur sa deuxième balle de match avant d'aller célébrer son succès devant un kop belge très bruyant mardi soir. Cette défaite "fait mal, c'est sûr", a réagi Rinderknech. "J'ai une pensée pour Benjamin Bonzi, Pierre-Hugues Herbert et Giovanni Mpetshi Perricard, qui n'ont pas joué ce soir" du fait de cette deuxième défaite en simple synonyme d'élimination. "Ça me fait mal de ne pas leur avoir donné une chance. C'est mon principal regret", a-t-il complété. La première apparition des Bleus depuis 2019 en phase finale de la Coupe Davis a donc pris fin dès leur entrée en lice à Bologne. La Belgique, triple finaliste de la compétition sans jamais parvenir à soulever le Saladier d'argent, a pour sa part rendez-vous vendredi en demi-finales avec l'Autriche ou l'Italie, double tenante du titre privée à Bologne de ses leaders habituels Jannik Sinner (2e) et Lorenzo Musetti (8e). La sélection du Plat pays est menée 6-4 dans ses duels contre l'Italie en Coupe Davis et 5-0 par l'Autriche. Avant de penser à la suite, "on va un peu profiter de notre victoire ce soir", a assuré le capitaine belge Steve Darcis. "Je sais que mes joueurs ont un rêve cette semaine. Mais on est encore tellement loin de ce rêve! On va d'abord regarder" mercredi après-midi qui de l'Autriche ou de l'Italie l'emportera, "puis on se préparera du mieux qu'on peut".

18.11.2025 à 23:11

Médecin jugé pour viols sur de jeunes patients: à la barre, des témoignages accablants

FRANCE24
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"Je présente mes excuses, mais à l'époque je passais par un moment compliqué avec mon compagnon", a affirmé le quinquagénaire qui encourt jusqu'à 20 ans de prison, s'exprimant d'une voix aussi monacale que la veille à l'ouverture du procès devant la cour criminelle de l'Hérault. À la barre, l'une des 13 victimes, un garçon âgé de 14 ans lors des premiers faits, atteint d'autisme, a détaillé le contenu "immonde et aberrant" des 37 séances subies durant trois années. "Le dr. Philippe Moulin appliquait de la pommade sur mon gland car il disait que j'avais un problème de décalottage", témoigne le jeune homme aujourd'hui âgé de 21 ans, qui avait consulté le médecin lorsqu'il fréquentait un établissement spécialisé. "Puis, il m'a astiqué et m'a demandé de mettre un chronomètre sur son téléphone. Au début, ça durait cinq minutes puis c'est passé à dix minutes vers les dernières séances. À chaque séance, c'était pareil", a-t-il détaillé, relatant une "confiance" installée par le médecin, qui le ramenait chez lui après chaque consultation. "Obstination, inapproprié" Dans son expertise détaillée devant la cour, le docteur Antoine Faix, chirurgien urologue, andrologue et sexologue, s'est montré catégorique: "la masturbation n'est pas un acte médical. Il n'y a aucune justification à faire ces examens répétés", a-t-il insisté, parlant d'une "obstination" du dr Moulin. "C'est inapproprié", a-t-il insisté. Des propos confortés plus tard par une pédiatre, spécialisée en gynécologie adolescente, rappelant que "le toucher rectal n’est pas indiqué" avant l'âge adulte. Face à la cour, cette pédiatre en activité, intervenant en tant que témoin, a révélé avoir refusé en 2020 que le dr. Moulin s'installe dans son cabinet "car il n'avait pas la compétence pédiatrique". L'accusé avait lui affirmé, lors de l'enquête, avoir obtenu son accord. Avant de prendre la parole au micro, la mère d'une autre victime, s'est effondrée. "Excusez-moi", a-t-elle prononcé dans un sanglot, sous le regard impassible de l'accusé. Sur les conseils d'une association, elle avait consulté le docteur Moulin pour ses enfants dont l'un d'eux, autiste, avait selon elle des "comportements problématiques vis-à-vis de sa sexualité". "Il était hors de question que notre enfant reste seul avec le médecin. Mais il nous a mis dans une situation de dissonance cognitive. Il nous a mis en confiance. J'ai honte", a-t-elle témoigné. Dans le box des accusés, Philippe Moulin n'a cessé de prendre des notes durant toute l'audience. À toutes les questions d'ordre sexuel posées par la cour, il a répondu par l'explication de protocoles médicaux, tous contredits plus tôt par les experts. Il a affirmé ne pas avoir "d'attirance physique" pour ses patients. "Avez-vous obtenu le consentement du patient?", a demandé une magistrate. "Je n'ai peut-être pas eu de discernement à ce moment-là", a-t-il concédé, avant de justifier le caractère "novateur" de ses pratiques. Le Dr Moulin, après avoir exercé une quinzaine d'années en gériatrie, s'était tourné vers la santé sexuelle des adolescents. Il se prétendait "andrologue pédiatrique", une spécialité qui n'existe pas en France. Lors de dizaines de consultations, dont certaines à son domicile ou dans sa voiture, le médecin demandait à ses patients de se masturber devant lui, les masturbait lui-même avec ses mains non-gantées, et recueillait leur sperme. Parmi ces patients, au moins trois ont été diagnostiqués comme atteints de troubles du spectre de l'autisme et d'autres sont en situation de handicap. Le verdict est attendu vendredi, après l'audition prévue de 11 autres victimes présumées ou de leurs parents.
Texte intégral (627 mots)
"Je présente mes excuses, mais à l'époque je passais par un moment compliqué avec mon compagnon", a affirmé le quinquagénaire qui encourt jusqu'à 20 ans de prison, s'exprimant d'une voix aussi monacale que la veille à l'ouverture du procès devant la cour criminelle de l'Hérault. À la barre, l'une des 13 victimes, un garçon âgé de 14 ans lors des premiers faits, atteint d'autisme, a détaillé le contenu "immonde et aberrant" des 37 séances subies durant trois années. "Le dr. Philippe Moulin appliquait de la pommade sur mon gland car il disait que j'avais un problème de décalottage", témoigne le jeune homme aujourd'hui âgé de 21 ans, qui avait consulté le médecin lorsqu'il fréquentait un établissement spécialisé. "Puis, il m'a astiqué et m'a demandé de mettre un chronomètre sur son téléphone. Au début, ça durait cinq minutes puis c'est passé à dix minutes vers les dernières séances. À chaque séance, c'était pareil", a-t-il détaillé, relatant une "confiance" installée par le médecin, qui le ramenait chez lui après chaque consultation. "Obstination, inapproprié" Dans son expertise détaillée devant la cour, le docteur Antoine Faix, chirurgien urologue, andrologue et sexologue, s'est montré catégorique: "la masturbation n'est pas un acte médical. Il n'y a aucune justification à faire ces examens répétés", a-t-il insisté, parlant d'une "obstination" du dr Moulin. "C'est inapproprié", a-t-il insisté. Des propos confortés plus tard par une pédiatre, spécialisée en gynécologie adolescente, rappelant que "le toucher rectal n’est pas indiqué" avant l'âge adulte. Face à la cour, cette pédiatre en activité, intervenant en tant que témoin, a révélé avoir refusé en 2020 que le dr. Moulin s'installe dans son cabinet "car il n'avait pas la compétence pédiatrique". L'accusé avait lui affirmé, lors de l'enquête, avoir obtenu son accord. Avant de prendre la parole au micro, la mère d'une autre victime, s'est effondrée. "Excusez-moi", a-t-elle prononcé dans un sanglot, sous le regard impassible de l'accusé. Sur les conseils d'une association, elle avait consulté le docteur Moulin pour ses enfants dont l'un d'eux, autiste, avait selon elle des "comportements problématiques vis-à-vis de sa sexualité". "Il était hors de question que notre enfant reste seul avec le médecin. Mais il nous a mis dans une situation de dissonance cognitive. Il nous a mis en confiance. J'ai honte", a-t-elle témoigné. Dans le box des accusés, Philippe Moulin n'a cessé de prendre des notes durant toute l'audience. À toutes les questions d'ordre sexuel posées par la cour, il a répondu par l'explication de protocoles médicaux, tous contredits plus tôt par les experts. Il a affirmé ne pas avoir "d'attirance physique" pour ses patients. "Avez-vous obtenu le consentement du patient?", a demandé une magistrate. "Je n'ai peut-être pas eu de discernement à ce moment-là", a-t-il concédé, avant de justifier le caractère "novateur" de ses pratiques. Le Dr Moulin, après avoir exercé une quinzaine d'années en gériatrie, s'était tourné vers la santé sexuelle des adolescents. Il se prétendait "andrologue pédiatrique", une spécialité qui n'existe pas en France. Lors de dizaines de consultations, dont certaines à son domicile ou dans sa voiture, le médecin demandait à ses patients de se masturber devant lui, les masturbait lui-même avec ses mains non-gantées, et recueillait leur sperme. Parmi ces patients, au moins trois ont été diagnostiqués comme atteints de troubles du spectre de l'autisme et d'autres sont en situation de handicap. Le verdict est attendu vendredi, après l'audition prévue de 11 autres victimes présumées ou de leurs parents.

18.11.2025 à 22:55

IA: Nvidia et Microsoft vont investir 15 milliards de dollars dans la start-up Anthropic

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Ces nouveaux investissements, annoncés dans un communiqué commun, devraient porter la valorisation d'Anthropic à 350 milliards de dollars, selon des sources proches citées par la chaîne américaine CNBC. Son concurrent OpenAI a récemment vu sa valorisation atteindre 500 milliards de dollars. La jeune entreprise s'est de son côté engagée à acheter pour 30 milliards de dollars de capacités auprès d'Azure, la plateforme d'informatique dématérialisée ("cloud") de Microsoft, et mettra Claude à disposition des "clients entreprise d'Azure, avec un choix de modèles étendu et de nouvelles capacités", selon le communiqué des trois entreprises. Cette annonce n'a cependant pas particulièrement séduit les marchés, les titres Nvidia et Microsoft reculant respectivement de 2,22% et 2,38% à la Bourse de New York vers 20H50 GMT, dans un marché globalement à la baisse alors que les craintes d'une possible bulle spéculative autour de l'IA montent chez les investisseurs. Le rapprochement entre les trois entreprises prévoit par ailleurs une collaboration en terme de conception et ingénierie qui doit permettre d'"optimiser les modèles d'Anthropic pour en obtenir la meilleure performance et efficacité". "Nous allons petit à petit devenir les clients les uns des autres. Nous allons utiliser les modèles d'Anthropic, ils vont utiliser notre infrastructure et nous irons sur les marchés ensemble pour aider nos clients à profiter pleinement de la valeur créée par l'IA", a déclaré, dans une vidéo commune, le PDG de Microsoft, Satya Nadella. "C'est la première fois que nous avons un partenariat d'importance avec Anthropic pour accélérer le développement de Claude", a de son côté signalé le patron de Nvidia, Jensen Huang, "cet accord entre nos trois entreprises permettra d'apporter l'IA et le cloud à chaque entreprise, chaque industrie dans le monde". Craintes de bulle L'annonce de ce partenariat entre les trois entreprises intervient alors qu'un autre géant du numérique, Google, a annoncé le même jour la dernière version de son outil IA, Gemini 3, qui doit notamment permettre de générer de manière autonome des projets d'écriture d'application à partir de consignes données en langage courant, et qui viendrait ainsi en concurrence de Claude. Egalement basée en Californie, Anthropic a été fondée en 2021 par des anciens d'OpenAI et se présente comme développant une IA qui se veut plus sûre. Comme sa concurrente, elle profite des énormes investissements réalisés par les géants du numérique, Microsoft et Nvidia en tête. Mais Anthropic comme OpenAI se voient également concurrencées par certains, à l'image de Google donc mais également d'Amazon, de Meta, ou plus récemment de xAI, lancée par Elon Musk. Depuis le lancement de ChatGPT il y a bientôt trois ans, le secteur a dépensé des dizaines de milliards de dollars pour accélérer le développement et l'adoption de l'IA. Ces annonces interviennent alors que les marchés s'inquiètent des valorisations faramineuses du secteur du numérique, mais aussi des sommes importantes engagées, alors que le retour sur investissement semble être encore loin et le coût de développement de chaque nouvelle version augmente en produisant des innovations qui sont moins importantes. Depuis son plus haut fin octobre, le titre Nvidia, première valorisation au monde, a perdu plus de 12% de sa valeur et les marchés attendent la publication de ses résultats, attendus mercredi. Bien que la croissance des investissements dans l'IA ait été "un moment extraordinaire", il existe une certaine "irrationalité" dans l'actuelle frénésie qui s'en est emparée, a reconnu lundi Sundar Pichai, le patron d'Alphabet, maison mère de Google. Autre difficulté qui se présente, la consommation d'énergie nécessaire pour faire tourner les serveurs de l'IA ne cesse d'augmenter, pour représenter 1,5% de la consommation mondiale d'électricité selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Cette voracité énergétique crée parfois des tensions sur les réseaux locaux, une contrainte que les géants du secteur tentent de contourner en signant des accords pour le développement de nouvelles sources d'énergie dédiées.
Texte intégral (697 mots)
Ces nouveaux investissements, annoncés dans un communiqué commun, devraient porter la valorisation d'Anthropic à 350 milliards de dollars, selon des sources proches citées par la chaîne américaine CNBC. Son concurrent OpenAI a récemment vu sa valorisation atteindre 500 milliards de dollars. La jeune entreprise s'est de son côté engagée à acheter pour 30 milliards de dollars de capacités auprès d'Azure, la plateforme d'informatique dématérialisée ("cloud") de Microsoft, et mettra Claude à disposition des "clients entreprise d'Azure, avec un choix de modèles étendu et de nouvelles capacités", selon le communiqué des trois entreprises. Cette annonce n'a cependant pas particulièrement séduit les marchés, les titres Nvidia et Microsoft reculant respectivement de 2,22% et 2,38% à la Bourse de New York vers 20H50 GMT, dans un marché globalement à la baisse alors que les craintes d'une possible bulle spéculative autour de l'IA montent chez les investisseurs. Le rapprochement entre les trois entreprises prévoit par ailleurs une collaboration en terme de conception et ingénierie qui doit permettre d'"optimiser les modèles d'Anthropic pour en obtenir la meilleure performance et efficacité". "Nous allons petit à petit devenir les clients les uns des autres. Nous allons utiliser les modèles d'Anthropic, ils vont utiliser notre infrastructure et nous irons sur les marchés ensemble pour aider nos clients à profiter pleinement de la valeur créée par l'IA", a déclaré, dans une vidéo commune, le PDG de Microsoft, Satya Nadella. "C'est la première fois que nous avons un partenariat d'importance avec Anthropic pour accélérer le développement de Claude", a de son côté signalé le patron de Nvidia, Jensen Huang, "cet accord entre nos trois entreprises permettra d'apporter l'IA et le cloud à chaque entreprise, chaque industrie dans le monde". Craintes de bulle L'annonce de ce partenariat entre les trois entreprises intervient alors qu'un autre géant du numérique, Google, a annoncé le même jour la dernière version de son outil IA, Gemini 3, qui doit notamment permettre de générer de manière autonome des projets d'écriture d'application à partir de consignes données en langage courant, et qui viendrait ainsi en concurrence de Claude. Egalement basée en Californie, Anthropic a été fondée en 2021 par des anciens d'OpenAI et se présente comme développant une IA qui se veut plus sûre. Comme sa concurrente, elle profite des énormes investissements réalisés par les géants du numérique, Microsoft et Nvidia en tête. Mais Anthropic comme OpenAI se voient également concurrencées par certains, à l'image de Google donc mais également d'Amazon, de Meta, ou plus récemment de xAI, lancée par Elon Musk. Depuis le lancement de ChatGPT il y a bientôt trois ans, le secteur a dépensé des dizaines de milliards de dollars pour accélérer le développement et l'adoption de l'IA. Ces annonces interviennent alors que les marchés s'inquiètent des valorisations faramineuses du secteur du numérique, mais aussi des sommes importantes engagées, alors que le retour sur investissement semble être encore loin et le coût de développement de chaque nouvelle version augmente en produisant des innovations qui sont moins importantes. Depuis son plus haut fin octobre, le titre Nvidia, première valorisation au monde, a perdu plus de 12% de sa valeur et les marchés attendent la publication de ses résultats, attendus mercredi. Bien que la croissance des investissements dans l'IA ait été "un moment extraordinaire", il existe une certaine "irrationalité" dans l'actuelle frénésie qui s'en est emparée, a reconnu lundi Sundar Pichai, le patron d'Alphabet, maison mère de Google. Autre difficulté qui se présente, la consommation d'énergie nécessaire pour faire tourner les serveurs de l'IA ne cesse d'augmenter, pour représenter 1,5% de la consommation mondiale d'électricité selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Cette voracité énergétique crée parfois des tensions sur les réseaux locaux, une contrainte que les géants du secteur tentent de contourner en signant des accords pour le développement de nouvelles sources d'énergie dédiées.

18.11.2025 à 22:43

Wall Street termine en baisse, lestée par la tech et la Fed

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Le Dow Jones a perdu 1,07%, l'indice Nasdaq s'est replié de 1,21% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,83%. "Wall Street adopte une posture prudente face aux inquiétudes liées aux niveaux de valorisation élevés" de certains titres, résume Jose Torres, d'Interactive Brokers. "Une partie des pertes récentes sur le marché s'explique par les appréhensions concernant (...) le domaine de l'intelligence artificielle", précise auprès de l'AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. Les titres des géants de la tech ont atteint des niveaux stratosphériques en Bourse ces derniers mois, poussés par les espoirs que les investissements massifs dans l'IA ouvrent la voie à un nouveau cycle de croissance. Mais les analystes craignent de plus en plus que certaines actions soient allées trop haut, trop vite, menant à la création d'une bulle spéculative autour de l'IA. Dans un entretien à la BBC mardi, Sundar Pichai, le patron d'Alphabet, maison mère de Google, a reconnu que toutes les entreprises seraient lourdement affectées si cette bulle IA venait à éclater, ajoutant que la croissance des investissements y avait été "un moment extraordinaire", avec potentiellement une certaine "irrationalité". "Un point de bascule (...) pourrait venir des résultats de Nvidia demain après la clôture" de Wall Street, estime Art Hogan. Le géant des puces a encore perdu mardi 2,62% à 181,71 dollars. Le titre est tombé de plus de 12% depuis son plus haut en clôture enregistré fin octobre. De "bonnes nouvelles" de la première capitalisation mondiale "devraient susciter un certain enthousiasme pour d'autres acteurs du secteur de l'IA qui ont également connu un recul", note M. Hogan. En parallèle, "la visibilité sur les prochaines mesures de la Fed (banque centrale américaine, ndlr) est devenue très floue, ce qui n'aide pas", remarque l'analyste. Plusieurs membres de l'institution ont récemment joué la carte de la prudence sur une nouvelle baisse des taux à l'issue de la réunion de politique monétaire programmée les 9 et 10 décembre prochains. Des positions qui s'ajoutent à celles du patron de la Fed Jerome Powell, selon qui une détente supplémentaire est "loin" d'être acquise à la prochaine réunion de l'institution. Pour se faire une meilleure idée du cap privilégié par l'institution, le marché attend cette semaine une série de données dont la publication a été retardée par la récente fermeture des services publics aux Etats-Unis, avec notamment le rapport sur l'emploi pour septembre jeudi. Sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain se détendait à 4,11% vers 21H25 GMT contre 4,14% la veille en clôture. A la cote, la chaîne américaine de magasins de bricolage Home Depot a franchement reculé (-5,82% à 337,18 dollars) après avoir abaissé ses prévisions pour l'année complète, du fait notamment d'une demande plus faible. Sont aussi attendues cette semaine les performances financières des géants américains des hypermarchés Walmart (-1,40%) et Target (+0,30%). Meta, maison mère de Facebook, a terminé dans le rouge (-0,54% à 598,74 dollars) bien qu'un juge fédéral américain ait estimé mardi que le groupe n'était pas en situation d'abus de position dominante sur le marché des réseaux sociaux. La justice rejette ainsi les arguments avancés par la Commission fédérale du Commerce (FTC) --une agence de protection des consommateurs-- il y a cinq ans, après le rachat d'Instagram et WhatsApp.
Texte intégral (585 mots)
Le Dow Jones a perdu 1,07%, l'indice Nasdaq s'est replié de 1,21% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,83%. "Wall Street adopte une posture prudente face aux inquiétudes liées aux niveaux de valorisation élevés" de certains titres, résume Jose Torres, d'Interactive Brokers. "Une partie des pertes récentes sur le marché s'explique par les appréhensions concernant (...) le domaine de l'intelligence artificielle", précise auprès de l'AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. Les titres des géants de la tech ont atteint des niveaux stratosphériques en Bourse ces derniers mois, poussés par les espoirs que les investissements massifs dans l'IA ouvrent la voie à un nouveau cycle de croissance. Mais les analystes craignent de plus en plus que certaines actions soient allées trop haut, trop vite, menant à la création d'une bulle spéculative autour de l'IA. Dans un entretien à la BBC mardi, Sundar Pichai, le patron d'Alphabet, maison mère de Google, a reconnu que toutes les entreprises seraient lourdement affectées si cette bulle IA venait à éclater, ajoutant que la croissance des investissements y avait été "un moment extraordinaire", avec potentiellement une certaine "irrationalité". "Un point de bascule (...) pourrait venir des résultats de Nvidia demain après la clôture" de Wall Street, estime Art Hogan. Le géant des puces a encore perdu mardi 2,62% à 181,71 dollars. Le titre est tombé de plus de 12% depuis son plus haut en clôture enregistré fin octobre. De "bonnes nouvelles" de la première capitalisation mondiale "devraient susciter un certain enthousiasme pour d'autres acteurs du secteur de l'IA qui ont également connu un recul", note M. Hogan. En parallèle, "la visibilité sur les prochaines mesures de la Fed (banque centrale américaine, ndlr) est devenue très floue, ce qui n'aide pas", remarque l'analyste. Plusieurs membres de l'institution ont récemment joué la carte de la prudence sur une nouvelle baisse des taux à l'issue de la réunion de politique monétaire programmée les 9 et 10 décembre prochains. Des positions qui s'ajoutent à celles du patron de la Fed Jerome Powell, selon qui une détente supplémentaire est "loin" d'être acquise à la prochaine réunion de l'institution. Pour se faire une meilleure idée du cap privilégié par l'institution, le marché attend cette semaine une série de données dont la publication a été retardée par la récente fermeture des services publics aux Etats-Unis, avec notamment le rapport sur l'emploi pour septembre jeudi. Sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain se détendait à 4,11% vers 21H25 GMT contre 4,14% la veille en clôture. A la cote, la chaîne américaine de magasins de bricolage Home Depot a franchement reculé (-5,82% à 337,18 dollars) après avoir abaissé ses prévisions pour l'année complète, du fait notamment d'une demande plus faible. Sont aussi attendues cette semaine les performances financières des géants américains des hypermarchés Walmart (-1,40%) et Target (+0,30%). Meta, maison mère de Facebook, a terminé dans le rouge (-0,54% à 598,74 dollars) bien qu'un juge fédéral américain ait estimé mardi que le groupe n'était pas en situation d'abus de position dominante sur le marché des réseaux sociaux. La justice rejette ainsi les arguments avancés par la Commission fédérale du Commerce (FTC) --une agence de protection des consommateurs-- il y a cinq ans, après le rachat d'Instagram et WhatsApp.

18.11.2025 à 22:31

Patagonie chilienne: cinq touristes, dont trois Européens, meurent dans une tempête

FRANCE24
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"Nous devons annoncer le décès de cinq personnes", deux Mexicains, deux Allemands et une Britannique, a déclaré à la presse José Antonio Ruiz, délégué présidentiel dans la région de Magallanes. Quatre autres personnes qui avaient été portées disparues ont été retrouvées en vie, a-t-il ajouté, sans préciser leurs nationalités. "Des discussions ont déjà été entamées avec les consuls concernés pour le rapatriement des corps", a-t-il souligné. Plus tôt dans la journée, le responsable avait fait état de la mort des deux Mexicains et de la disparition de sept autres visiteurs, sans préciser leur nationalité. La réserve naturelle de Torres del Paine, située à quelque 2.800 km au sud de Santiago, est réputée pour ses massifs de granit, ses lacs et sa faune. Le parc est le plus visité par les touristes étrangers au Chili. Des militaires et policiers ont participé aux opérations de recherche, selon M. Ruiz, qui s'exprimait depuis Punta Arenas, capitale de la région de Magallanes. Depuis dimanche, des vents jusqu'à 120 km/h et des précipitations de pluie mêlée de neige réduisent fortement la visibilité, a indiqué à l'AFP Juan Carlos Andrades, directeur du Service national de prévention et de réponse aux catastrophes (Senapred) de la région de Magallanes. Dans de telles conditions, les visiteurs "sortent du sentier balisé, mais avec ce vent blanc, se désorientent", a-t-il expliqué par téléphone. Le parc accueille à partir de novembre, à la fin du printemps austral, les premiers randonneurs de la saison. L'un des itinéraires les plus réputés est celui qui fait le tour du massif del Paine, un circuit d'un peu plus d'une semaine. En 2023, plus de 360.000 personnes ont visité le parc, classé réserve de biosphère par l'Unesco, selon la Corporation nationale forestière (Conaf).
Lire plus (319 mots)
"Nous devons annoncer le décès de cinq personnes", deux Mexicains, deux Allemands et une Britannique, a déclaré à la presse José Antonio Ruiz, délégué présidentiel dans la région de Magallanes. Quatre autres personnes qui avaient été portées disparues ont été retrouvées en vie, a-t-il ajouté, sans préciser leurs nationalités. "Des discussions ont déjà été entamées avec les consuls concernés pour le rapatriement des corps", a-t-il souligné. Plus tôt dans la journée, le responsable avait fait état de la mort des deux Mexicains et de la disparition de sept autres visiteurs, sans préciser leur nationalité. La réserve naturelle de Torres del Paine, située à quelque 2.800 km au sud de Santiago, est réputée pour ses massifs de granit, ses lacs et sa faune. Le parc est le plus visité par les touristes étrangers au Chili. Des militaires et policiers ont participé aux opérations de recherche, selon M. Ruiz, qui s'exprimait depuis Punta Arenas, capitale de la région de Magallanes. Depuis dimanche, des vents jusqu'à 120 km/h et des précipitations de pluie mêlée de neige réduisent fortement la visibilité, a indiqué à l'AFP Juan Carlos Andrades, directeur du Service national de prévention et de réponse aux catastrophes (Senapred) de la région de Magallanes. Dans de telles conditions, les visiteurs "sortent du sentier balisé, mais avec ce vent blanc, se désorientent", a-t-il expliqué par téléphone. Le parc accueille à partir de novembre, à la fin du printemps austral, les premiers randonneurs de la saison. L'un des itinéraires les plus réputés est celui qui fait le tour du massif del Paine, un circuit d'un peu plus d'une semaine. En 2023, plus de 360.000 personnes ont visité le parc, classé réserve de biosphère par l'Unesco, selon la Corporation nationale forestière (Conaf).

18.11.2025 à 22:27

Boualem Sansal libéré, Macron et Tebboune devraient se rencontrer lors du G20

Célia CARACENA
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Boualem Sansal de retour en France: l'écrivain franco-algérien, qui se trouvait en Allemagne depuis sa libération de prison en Algérie mercredi, a atterri sur le sol français mardi et a aussitôt été reçu par Emmanuel Macron.  Le président français se "réjouit profondément de la libération" de ce "grand écrivain dont la dignité, la force morale et le courage ont été exemplaires". Macron et Tebboune devraient se rencontrer lors du G20 en Afrique du Sud.
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Boualem Sansal de retour en France: l'écrivain franco-algérien, qui se trouvait en Allemagne depuis sa libération de prison en Algérie mercredi, a atterri sur le sol français mardi et a aussitôt été reçu par Emmanuel Macron.  Le président français se "réjouit profondément de la libération" de ce "grand écrivain dont la dignité, la force morale et le courage ont été exemplaires". Macron et Tebboune devraient se rencontrer lors du G20 en Afrique du Sud.
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