Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

10.12.2025 à 19:06

Casse du Louvre : les voleurs auraient pu être stoppés "à 30 secondes près"

FRANCE24
img
La fuite des voleurs des bijoux au Louvre aurait pu être empêchée "à 30 secondes près", a jugé mercredi au Sénat un responsable de l'enquête administrative, qui pointe aussi un problème majeur de prise en compte des audits de sécurité au sein du célèbre musée.
La fuite des voleurs des bijoux au Louvre aurait pu être empêchée "à 30 secondes près", a jugé mercredi au Sénat un responsable de l'enquête administrative, qui pointe aussi un problème majeur de prise en compte des audits de sécurité au sein du célèbre musée.

10.12.2025 à 19:05

Enfant tondu dans un foyer à Paris: deux inspectrices sur place, la Défenseure des droits s'autosaisit

FRANCE24
img
"Une inspection administrative est en cours sur place, elle va durer deux à trois jours", a indiqué mercredi à l'AFP la Ville de Paris, confirmant une information de franceinfo. Deux inspectrices "habilitées, dont la responsable de la cellule d'appui, d'évaluation et de contrôle, réalisent cette mission (...) dans le cadre des missions d'inspection et de contrôle confiées aux départements", a précisé la Ville. Il s'agit notamment de comprendre si d'autres violences ont pu être commises par des éducateurs de cet établissement du XIIIe arrondissement (sud de Paris), qui héberge une soixantaine de mineurs et jeunes majeurs placés par l'Aide sociale à l'enfance (ASE). "Leur rapport permettra à la Ville de prendre toutes les mesures d'injonction ou de recommandation nécessaires vis-à-vis de l'association", a-t-on précisé de même source. Les conclusions "sont attendues par la maman (...) pour connaître et apprécier pleinement les dysfonctionnements qui pourront être constatés", a fait savoir dans un communiqué l'avocat de la famille, Axel Delaunay-Belleville. Les faits impliquent des éducateurs ayant pris la décision de raser le crâne d'un enfant de huit ans placé sous leur responsabilité, tout en le filmant à des "fins évidentes d'humiliation", selon la Ville, et en se moquant de lui. Sur des images filmées en février, l'enfant apparaît torse nu, recroquevillé sur une chaise les bras croisés, tandis qu'une personne lui rase la tête à l'aide d'une tondeuse, prétextant une sanction. La vidéo a ensuite été partagée sur un groupe WhatsApp d'éducateurs. En guise d'explication, la direction a évoqué la présence de poux. "Violence inouïe" "Depuis la Deuxième Guerre mondiale, il n'y a pas un parent qui s'est dit que pour échapper aux poux dans la tête de ses enfants, il fallait lui raser la tête. C'est une violence inouïe, et ça s'est passé dans nos institutions", a déclaré la maire PS de Paris Anne Hidalgo à l'occasion de l'inauguration d'un premier centre de soins en France dédié aux enfants confiés à l'ASE. L'élue, qui a assuré n'avoir été mise au courant que la veille, a reconnu des "dysfonctionnements". "Nous ferons tout pour qu'il y ait des sanctions très très fortes contre (...) ceux qui ont commis ces faits, mais aussi contre tous ceux qui n'ont pas signalé et joué leur rôle d'alerte". Mardi, le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert une enquête pour "violences volontaires sur mineur de quinze ans par personne ayant autorité". Selon la Ville de Paris, ces faits "gravissimes" se sont déroulés en février 2025 au foyer éducatif Jenner, géré par l'association Jean-Coxtet, et les "premiers éléments de réponse de l'association" ont déjà conduit au "renouvellement de l'équipe" encadrante. La Défenseure des droits Claire Hédon a annoncé mercredi "s'autosaisir", dénonçant une situation "épouvantable". "Il y a l'acte lui-même qui est effectivement monstrueux, il y a le groupe Whatsapp (sur lequel la vidéo a été diffusée, ndlr) avec quasiment personne qui réagit sauf une éducatrice, on ment à la maman, c'est toute cette chaîne qui a dysfonctionné", a-t-elle déclaré sur RMC. Pour le militant pour les droits des enfants et ancien enfant placé Lyes Louffok, il "faut aller regarder pourquoi cette chaîne de dysfonctionnements n'a pas permis à ces faits d'être révélés beaucoup plus tôt". La ministre de la Santé Stéphanie Rist a saisi la procureure de Paris, dénonçant une "atteinte grave à la dignité" de l'enfant. Pour le groupe des députés LFI, "ces nouvelles violences n’ont rien d'un fait divers" mais "reflètent l’état d’effondrement dans lequel s’enfonce la protection de l’enfance depuis des années". Le groupe a indiqué avoir déposé une proposition de loi pour "instaurer un Contrôleur général des lieux de placement" qui pourra "visiter de manière inopinée des lieux de placement". La Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) de Paris a également fait part de sa "profonde indignation" et rappelé que "la protection de tous les enfants doit être une priorité absolue, par tous et partout".
Texte intégral (717 mots)
"Une inspection administrative est en cours sur place, elle va durer deux à trois jours", a indiqué mercredi à l'AFP la Ville de Paris, confirmant une information de franceinfo. Deux inspectrices "habilitées, dont la responsable de la cellule d'appui, d'évaluation et de contrôle, réalisent cette mission (...) dans le cadre des missions d'inspection et de contrôle confiées aux départements", a précisé la Ville. Il s'agit notamment de comprendre si d'autres violences ont pu être commises par des éducateurs de cet établissement du XIIIe arrondissement (sud de Paris), qui héberge une soixantaine de mineurs et jeunes majeurs placés par l'Aide sociale à l'enfance (ASE). "Leur rapport permettra à la Ville de prendre toutes les mesures d'injonction ou de recommandation nécessaires vis-à-vis de l'association", a-t-on précisé de même source. Les conclusions "sont attendues par la maman (...) pour connaître et apprécier pleinement les dysfonctionnements qui pourront être constatés", a fait savoir dans un communiqué l'avocat de la famille, Axel Delaunay-Belleville. Les faits impliquent des éducateurs ayant pris la décision de raser le crâne d'un enfant de huit ans placé sous leur responsabilité, tout en le filmant à des "fins évidentes d'humiliation", selon la Ville, et en se moquant de lui. Sur des images filmées en février, l'enfant apparaît torse nu, recroquevillé sur une chaise les bras croisés, tandis qu'une personne lui rase la tête à l'aide d'une tondeuse, prétextant une sanction. La vidéo a ensuite été partagée sur un groupe WhatsApp d'éducateurs. En guise d'explication, la direction a évoqué la présence de poux. "Violence inouïe" "Depuis la Deuxième Guerre mondiale, il n'y a pas un parent qui s'est dit que pour échapper aux poux dans la tête de ses enfants, il fallait lui raser la tête. C'est une violence inouïe, et ça s'est passé dans nos institutions", a déclaré la maire PS de Paris Anne Hidalgo à l'occasion de l'inauguration d'un premier centre de soins en France dédié aux enfants confiés à l'ASE. L'élue, qui a assuré n'avoir été mise au courant que la veille, a reconnu des "dysfonctionnements". "Nous ferons tout pour qu'il y ait des sanctions très très fortes contre (...) ceux qui ont commis ces faits, mais aussi contre tous ceux qui n'ont pas signalé et joué leur rôle d'alerte". Mardi, le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert une enquête pour "violences volontaires sur mineur de quinze ans par personne ayant autorité". Selon la Ville de Paris, ces faits "gravissimes" se sont déroulés en février 2025 au foyer éducatif Jenner, géré par l'association Jean-Coxtet, et les "premiers éléments de réponse de l'association" ont déjà conduit au "renouvellement de l'équipe" encadrante. La Défenseure des droits Claire Hédon a annoncé mercredi "s'autosaisir", dénonçant une situation "épouvantable". "Il y a l'acte lui-même qui est effectivement monstrueux, il y a le groupe Whatsapp (sur lequel la vidéo a été diffusée, ndlr) avec quasiment personne qui réagit sauf une éducatrice, on ment à la maman, c'est toute cette chaîne qui a dysfonctionné", a-t-elle déclaré sur RMC. Pour le militant pour les droits des enfants et ancien enfant placé Lyes Louffok, il "faut aller regarder pourquoi cette chaîne de dysfonctionnements n'a pas permis à ces faits d'être révélés beaucoup plus tôt". La ministre de la Santé Stéphanie Rist a saisi la procureure de Paris, dénonçant une "atteinte grave à la dignité" de l'enfant. Pour le groupe des députés LFI, "ces nouvelles violences n’ont rien d'un fait divers" mais "reflètent l’état d’effondrement dans lequel s’enfonce la protection de l’enfance depuis des années". Le groupe a indiqué avoir déposé une proposition de loi pour "instaurer un Contrôleur général des lieux de placement" qui pourra "visiter de manière inopinée des lieux de placement". La Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) de Paris a également fait part de sa "profonde indignation" et rappelé que "la protection de tous les enfants doit être une priorité absolue, par tous et partout".

10.12.2025 à 19:01

Beyoncé à l'honneur du prochain gala du Met de New York

FRANCE24
img
Comme chaque année depuis 1995, la papesse de la mode Anna Wintour, qui a récemment quitté la tête de l'édition américaine de Vogue, présidera également l'évènement, qui se tiendra le 4 mai. C'est la première fois depuis 2016 que Beyoncé foulera les marches de cette soirée connue pour son étalage de célébrités rivalisant de tenues extravagantes de grands couturiers. La chanteuse de 44 ans à achevé l'été dernier la tournée de son "Cowboy Carter Tour", du nom de son dernier disque, sacré album de l'année aux Grammy Awards. Fans et observateurs anticipent un nouveau projet en 2026. Le directeur artistique de Saint-Laurent Anthony Vaccarello, l'actrice Zoë Kravitz, les chanteuses Sabrina Carpenter, Doja Cat et la Française Yseult figurent également parmi les personnalités encadrant la cérémonie de cette année. Ce gala a vocation à financer le "Costume Institute" du Met, qui lance à cette occasion une exposition intitulée "Costume Art", qui interroge la place du vêtement à travers toute l'histoire de l'art.
Lire plus (177 mots)
Comme chaque année depuis 1995, la papesse de la mode Anna Wintour, qui a récemment quitté la tête de l'édition américaine de Vogue, présidera également l'évènement, qui se tiendra le 4 mai. C'est la première fois depuis 2016 que Beyoncé foulera les marches de cette soirée connue pour son étalage de célébrités rivalisant de tenues extravagantes de grands couturiers. La chanteuse de 44 ans à achevé l'été dernier la tournée de son "Cowboy Carter Tour", du nom de son dernier disque, sacré album de l'année aux Grammy Awards. Fans et observateurs anticipent un nouveau projet en 2026. Le directeur artistique de Saint-Laurent Anthony Vaccarello, l'actrice Zoë Kravitz, les chanteuses Sabrina Carpenter, Doja Cat et la Française Yseult figurent également parmi les personnalités encadrant la cérémonie de cette année. Ce gala a vocation à financer le "Costume Institute" du Met, qui lance à cette occasion une exposition intitulée "Costume Art", qui interroge la place du vêtement à travers toute l'histoire de l'art.

10.12.2025 à 18:57

Comédies, documentaires, films internationaux: le festival de Sundance dévoile sa programmation

FRANCE24
img
Cette édition, organisée du 22 janvier au 1er février dans les montagnes de l'Utah, sera la première depuis la mort en septembre du cofondateur du festival, le légendaire acteur et réalisateur Robert Redford. "Je pense que cela va être une année de fête et une année très spéciale", se réjouit auprès de l'AFP la directrice de la programmation de Sundance Kim Yutani. Cette année, la comédie aura une place importante dans la programmation, affirme-t-elle, avec notamment à l'affiche le film "The Invite", de la réalisatrice Olivia Wilde, mettant en scène un couple marié dînant avec de mystérieux voisins. Les stars de "Mad Men" Jon Hamm et John Slattery se retrouvent aussi dans une nouvelle comédie appelée "Gail Daughtry and the Celebrity Sex Pass". Dans la sélection, le long-métrage "The Gallerist" réunit l'actrice oscarisée Natalie Portman et la jeune vedette Jenna Ortega. Le film suit l'épopée d'une galeriste désespérée qui veut vendre un cadavre à la célèbre foire d'art contemporain Art Basel de Miami. Alors que l'industrie du cinéma peine encore à se remettre de crises successives, de la révolution du streaming en passant par la pandémie de Covid-19 et les grèves à Hollywood, la participation de personnalités célèbres est un vote de confiance en faveur du cinéma indépendant, selon le responsable de la programmation, John Nein. A l'exception d'une poignée d'entre eux, les 90 films présentés seront des premières mondiales, sélectionnées parmi 16.000 candidatures venues de 164 pays. Plus de 40% d'entre eux seront le premier film de leur réalisateur, ont précisé les organisateurs. La sélection fait également la part belle aux films étrangers. Dans la liste, on retrouve le long-métrage britannique "Extra Geography", le film australien "Leviticus" ou encore le chypriote "Hold Onto Me". La programmation documentaire est également très riche, avec des productions du monde entier, dont de sérieux prétendants aux Oscars. "Kikuyu Land", sur la corruption au Kenya, sera à l'affiche, tout comme "Hanging by a Wire", racontant la course effrénée pour sauver des écoliers suspendus à un téléphérique bloqué dans une région montagneuse au Pakistan. Le festival déménagera en 2027 pour Boulder, dans l'Etat voisin du Colorado.
Lire plus (402 mots)
Cette édition, organisée du 22 janvier au 1er février dans les montagnes de l'Utah, sera la première depuis la mort en septembre du cofondateur du festival, le légendaire acteur et réalisateur Robert Redford. "Je pense que cela va être une année de fête et une année très spéciale", se réjouit auprès de l'AFP la directrice de la programmation de Sundance Kim Yutani. Cette année, la comédie aura une place importante dans la programmation, affirme-t-elle, avec notamment à l'affiche le film "The Invite", de la réalisatrice Olivia Wilde, mettant en scène un couple marié dînant avec de mystérieux voisins. Les stars de "Mad Men" Jon Hamm et John Slattery se retrouvent aussi dans une nouvelle comédie appelée "Gail Daughtry and the Celebrity Sex Pass". Dans la sélection, le long-métrage "The Gallerist" réunit l'actrice oscarisée Natalie Portman et la jeune vedette Jenna Ortega. Le film suit l'épopée d'une galeriste désespérée qui veut vendre un cadavre à la célèbre foire d'art contemporain Art Basel de Miami. Alors que l'industrie du cinéma peine encore à se remettre de crises successives, de la révolution du streaming en passant par la pandémie de Covid-19 et les grèves à Hollywood, la participation de personnalités célèbres est un vote de confiance en faveur du cinéma indépendant, selon le responsable de la programmation, John Nein. A l'exception d'une poignée d'entre eux, les 90 films présentés seront des premières mondiales, sélectionnées parmi 16.000 candidatures venues de 164 pays. Plus de 40% d'entre eux seront le premier film de leur réalisateur, ont précisé les organisateurs. La sélection fait également la part belle aux films étrangers. Dans la liste, on retrouve le long-métrage britannique "Extra Geography", le film australien "Leviticus" ou encore le chypriote "Hold Onto Me". La programmation documentaire est également très riche, avec des productions du monde entier, dont de sérieux prétendants aux Oscars. "Kikuyu Land", sur la corruption au Kenya, sera à l'affiche, tout comme "Hanging by a Wire", racontant la course effrénée pour sauver des écoliers suspendus à un téléphérique bloqué dans une région montagneuse au Pakistan. Le festival déménagera en 2027 pour Boulder, dans l'Etat voisin du Colorado.

10.12.2025 à 18:57

Eurovision-2026 : l'Islande rejoint la liste des pays boycottant la prochaine édition

FRANCE 24
img
Quelques jours après qu'Israël a été autorisé à participer à la prochaine édition de l'Eurovision à Vienne, l'Islande a annoncé mercredi qu'elle boycotterait le concours, rejoignant plusieurs pays européens comme l'Irlande et l'Espagne.
Lire plus (402 mots)
Quelques jours après qu'Israël a été autorisé à participer à la prochaine édition de l'Eurovision à Vienne, l'Islande a annoncé mercredi qu'elle boycotterait le concours, rejoignant plusieurs pays européens comme l'Irlande et l'Espagne.

10.12.2025 à 18:39

Face aux violences sexistes et sexuelles dans les transports, comment fait-on à l’étranger ?

Pauline ROUQUETTE
img
Alors que les signalements pour violences sexistes et sexuelles dans les transports ont explosé en France ces dix dernières années, le gouvernement prépare un plan national attendu pour 2026. À l'étranger, certaines villes et régions ont déjà mis en place des dispositifs dédiés pour lutter contre le harcèlement sexuel. Leur bilan, contrasté, éclaire les défis qui attendent la France.
Lire plus (402 mots)
Alors que les signalements pour violences sexistes et sexuelles dans les transports ont explosé en France ces dix dernières années, le gouvernement prépare un plan national attendu pour 2026. À l'étranger, certaines villes et régions ont déjà mis en place des dispositifs dédiés pour lutter contre le harcèlement sexuel. Leur bilan, contrasté, éclaire les défis qui attendent la France.

10.12.2025 à 18:34

Vidéos d’animaux générées par IA : pas si mignonnes que ça

Nora Litoussi
img
Des vidéos mettant en scène des animaux sauvés par des humains, ou arborant des attitudes très expressives, cumulent des millions de vues. Mais elles sont entièrement générées par intelligence artificielle. Et pour les chercheurs, ces fausses images d’animaux comportent plusieurs risques majeurs.
Lire plus (402 mots)
Des vidéos mettant en scène des animaux sauvés par des humains, ou arborant des attitudes très expressives, cumulent des millions de vues. Mais elles sont entièrement générées par intelligence artificielle. Et pour les chercheurs, ces fausses images d’animaux comportent plusieurs risques majeurs.

10.12.2025 à 18:19

Au Yémen, les avancées territoriales des séparatistes font craindre une nouvelle guerre civile

FRANCE 24
img
Un mouvement séparatiste, pourtant membre du gouvernement internationalement reconnu, s'est emparé de provinces riches en pétrole dans le sud du Yémen, brisant une trêve fragile dans la guerre civile et renforçant les divisions dans le camp anti-houthi.
Lire plus (402 mots)
Un mouvement séparatiste, pourtant membre du gouvernement internationalement reconnu, s'est emparé de provinces riches en pétrole dans le sud du Yémen, brisant une trêve fragile dans la guerre civile et renforçant les divisions dans le camp anti-houthi.

10.12.2025 à 18:15

Mort de Philippe Soulas, ancien dessinateur de Hara-Kiri et Libé

FRANCE24
img
Avec son trait incisif, Soulas a passé vingt ans à Libé, de 1974 à 1994. Comme nombre de dessinateurs de l'époque engagés très à gauche, ses thèmes de prédilection étaient l'anticléricalisme ou les inégalités sociales. Né en 1932 près de Toulouse et décédé dans le Loiret, Soulas était venu tardivement au dessin de presse, après mai 1968. C'est à ce moment-là qu'il rejoint la joyeuse bande libertaire de Hara-Kiri, l'ancêtre de Charlie Hebdo, menée par Cavanna et le professeur Choron. "Je le lisais depuis 1961. La vulgarité qu'on y trouvait m'enchantait, parce que ça faisait chier les bourgeois, les curés et les militaires! Bref, tout ce que je détestais!", avait-il raconté en 2021 au Journal du Kremlin-Bicêtre, ville de banlieue parisienne où il habitait. Il avait ajouté qu'il était devenu athée enfant, durant une promenade nocturne dans son pensionnat catholique: "Devant l'autel, j'ai baissé mon froc en disant à Dieu: +Si tu existes, foudroie-moi!+ Et comme il ne s'est rien passé, j'ai cessé de croire!" En 1974, Soulas arrive à Libération, fondé l'année d'avant par Serge July et le philosophe Jean-Paul Sartre. A son départ en 1994, il poursuit le journal aux prud'hommes avec succès, pour contester son renvoi. "Les premières années, ça a vraiment été une aventure formidable. Et puis, à partir de 1981, l'état d'esprit libre et indépendant a muté. On a accepté la publicité, la hiérarchie des salaires, les postes fixes, les licenciements... J'étais contre", avait-il assuré au Journal du Kremlin-Bicêtre. Dans un reportage télévisé de 1984 sur Libération, en ligne sur le site de l'INA, il était toutefois moins catégorique, en jugeant l'évolution du journal "logique". "On pouvait toujours rester un quotidien à 15.000 exemplaires (...) pur et dur et mal vivre. Si on était resté à 15.000 exemplaires, on n'aurait pas eu d'argent (...) il n'y aurait plus Libé", déclare-t-il dans ce reportage, interrogé par Cabu, alors dessinateur au Canard enchaîné. Membre du collectif "Les humoristes associés" dans les années 80, Soulas a également dessiné dans Marianne ou Siné Hebdo, et publié plusieurs livres. Ces dernières années, il se consacrait à la peinture.
Lire plus (365 mots)
Avec son trait incisif, Soulas a passé vingt ans à Libé, de 1974 à 1994. Comme nombre de dessinateurs de l'époque engagés très à gauche, ses thèmes de prédilection étaient l'anticléricalisme ou les inégalités sociales. Né en 1932 près de Toulouse et décédé dans le Loiret, Soulas était venu tardivement au dessin de presse, après mai 1968. C'est à ce moment-là qu'il rejoint la joyeuse bande libertaire de Hara-Kiri, l'ancêtre de Charlie Hebdo, menée par Cavanna et le professeur Choron. "Je le lisais depuis 1961. La vulgarité qu'on y trouvait m'enchantait, parce que ça faisait chier les bourgeois, les curés et les militaires! Bref, tout ce que je détestais!", avait-il raconté en 2021 au Journal du Kremlin-Bicêtre, ville de banlieue parisienne où il habitait. Il avait ajouté qu'il était devenu athée enfant, durant une promenade nocturne dans son pensionnat catholique: "Devant l'autel, j'ai baissé mon froc en disant à Dieu: +Si tu existes, foudroie-moi!+ Et comme il ne s'est rien passé, j'ai cessé de croire!" En 1974, Soulas arrive à Libération, fondé l'année d'avant par Serge July et le philosophe Jean-Paul Sartre. A son départ en 1994, il poursuit le journal aux prud'hommes avec succès, pour contester son renvoi. "Les premières années, ça a vraiment été une aventure formidable. Et puis, à partir de 1981, l'état d'esprit libre et indépendant a muté. On a accepté la publicité, la hiérarchie des salaires, les postes fixes, les licenciements... J'étais contre", avait-il assuré au Journal du Kremlin-Bicêtre. Dans un reportage télévisé de 1984 sur Libération, en ligne sur le site de l'INA, il était toutefois moins catégorique, en jugeant l'évolution du journal "logique". "On pouvait toujours rester un quotidien à 15.000 exemplaires (...) pur et dur et mal vivre. Si on était resté à 15.000 exemplaires, on n'aurait pas eu d'argent (...) il n'y aurait plus Libé", déclare-t-il dans ce reportage, interrogé par Cabu, alors dessinateur au Canard enchaîné. Membre du collectif "Les humoristes associés" dans les années 80, Soulas a également dessiné dans Marianne ou Siné Hebdo, et publié plusieurs livres. Ces dernières années, il se consacrait à la peinture.

10.12.2025 à 18:11

"Oh non pas encore": à la frontière Thaïlande-Cambodge, la lassitude des civils évacués

FRANCE24
img
Boonkerd Yoodeerum, 64 ans, saignait le caoutchouc lorsqu’il a entendu des explosions près de chez lui, dans la province thaïlandaise de Surin, dimanche, à quelques kilomètres de la frontière. "Ma première pensée a été +Oh non, pas encore+. Puis nous nous sommes précipités ici, sous le pont, pour nous protéger", a‑t‑il confié à l’AFP. Avec sa famille, il a trouvé refuge dans le même endroit qu'il y a cinq mois — et que des années auparavant, lors de précédents accès de tensions meurtriers entre les voisins d’Asie du Sud‑Est. Boonkerd Yoodeerum et sa famille font partie du demi‑million de personnes évacuées qui cherchent refuge depuis le début de la semaine des deux côtés de cette frontière disputée de longue date. Au moins 14 personnes, dont des soldats thaïlandais et des civils cambodgiens, ont été tuées, ont indiqué les autorités, tandis que des avions, des chars et des drones se livraient bataille. Après avoir déjà vécu cela plusieurs fois, Boonkerd Yoodeerum est las que ce différend territorial vieux de plusieurs décennies continue de gronder sans fin en perspective. "Ils ont dit que des négociations apporteraient la paix", poursuit-il. "Mais vous voyez combien de temps cela a duré. Je n’y crois plus". La Thaïlande et le Cambodge avaient signé le 26 octobre un cessez-le-feu sous l'égide de Donald Trump, après des affrontements qui avaient fait en juillet 43 morts de part et d'autre en cinq jours, mais l'accord avait été suspendu quelques semaines plus tard. "Que cessent les combats" De l'autre côté de la frontière, à quelque 70 kilomètres de là, à Srei Snam, sur une aire au bord de la route, des tentes de fortune abritent des centaines de familles cambodgiennes, notamment des femmes avec des enfants. Yin Bei, 30 ans, sa fille de deux mois et son mari ont eux aussi fui leur domicile dès qu’ils ont entendu de fortes explosions à très courte distance lundi. "Que cette guerre ait lieu est très difficile pour nous. J’ai un bébé, alors je souffre", a‑t‑elle déclaré à l’AFP. "Je veux que cette guerre se termine rapidement". Pour Chea Chong, c’est la troisième fois qu’il évacue à cause du conflit. "Les combats sont si intenses", a confié ce Cambodgien de 73 ans, "s'il vous plaît, parlez‑vous. Nous sommes voisins… Mettez‑y fin, nous souffrons". Dans un centre d'évacuation à Surin, en Thaïlande, Ratana Chantrai apaise doucement son chat d’un an, tout duveteux. Leur maison se trouve à seulement cinq kilomètres de la frontière avec le Cambodge. Depuis les fortes détonations de la dernière flambée de violence en juillet, elle est très angoissée. "La seule chose à laquelle je réfléchissais, c’était comment sortir de là et mettre nos quatre chats à l'abri", explique-t-elle. Elle avait préparé un couchage et quelques vêtements à l'avance, sans savoir combien de temps elle devrait partir. "Ce n'est pas possible que les affrontements reprennent sans cesse et nous forcent à fuir aussi souvent. Je ne veux pas que la prochaine génération vive avec ça", ajoute-t-elle. "Je veux juste que les combats s’arrêtent, qu’ils s’arrêtent vraiment". Nittaya Sirithongkoon, employée d’hôpital à la retraite, déplore que les deux pays se battent de nouveau. "Le Cambodge est avant tout notre voisin, c'est comme la famille", confie-t-elle, ajoutant que beaucoup de gens autour d'elle parlent la langue khmère. "Les politiciens (...) ils n’arrêtent pas de se battre entre eux. Je veux que le gouvernement et tous les partis politiques pensent d’abord au pays".
Texte intégral (637 mots)
Boonkerd Yoodeerum, 64 ans, saignait le caoutchouc lorsqu’il a entendu des explosions près de chez lui, dans la province thaïlandaise de Surin, dimanche, à quelques kilomètres de la frontière. "Ma première pensée a été +Oh non, pas encore+. Puis nous nous sommes précipités ici, sous le pont, pour nous protéger", a‑t‑il confié à l’AFP. Avec sa famille, il a trouvé refuge dans le même endroit qu'il y a cinq mois — et que des années auparavant, lors de précédents accès de tensions meurtriers entre les voisins d’Asie du Sud‑Est. Boonkerd Yoodeerum et sa famille font partie du demi‑million de personnes évacuées qui cherchent refuge depuis le début de la semaine des deux côtés de cette frontière disputée de longue date. Au moins 14 personnes, dont des soldats thaïlandais et des civils cambodgiens, ont été tuées, ont indiqué les autorités, tandis que des avions, des chars et des drones se livraient bataille. Après avoir déjà vécu cela plusieurs fois, Boonkerd Yoodeerum est las que ce différend territorial vieux de plusieurs décennies continue de gronder sans fin en perspective. "Ils ont dit que des négociations apporteraient la paix", poursuit-il. "Mais vous voyez combien de temps cela a duré. Je n’y crois plus". La Thaïlande et le Cambodge avaient signé le 26 octobre un cessez-le-feu sous l'égide de Donald Trump, après des affrontements qui avaient fait en juillet 43 morts de part et d'autre en cinq jours, mais l'accord avait été suspendu quelques semaines plus tard. "Que cessent les combats" De l'autre côté de la frontière, à quelque 70 kilomètres de là, à Srei Snam, sur une aire au bord de la route, des tentes de fortune abritent des centaines de familles cambodgiennes, notamment des femmes avec des enfants. Yin Bei, 30 ans, sa fille de deux mois et son mari ont eux aussi fui leur domicile dès qu’ils ont entendu de fortes explosions à très courte distance lundi. "Que cette guerre ait lieu est très difficile pour nous. J’ai un bébé, alors je souffre", a‑t‑elle déclaré à l’AFP. "Je veux que cette guerre se termine rapidement". Pour Chea Chong, c’est la troisième fois qu’il évacue à cause du conflit. "Les combats sont si intenses", a confié ce Cambodgien de 73 ans, "s'il vous plaît, parlez‑vous. Nous sommes voisins… Mettez‑y fin, nous souffrons". Dans un centre d'évacuation à Surin, en Thaïlande, Ratana Chantrai apaise doucement son chat d’un an, tout duveteux. Leur maison se trouve à seulement cinq kilomètres de la frontière avec le Cambodge. Depuis les fortes détonations de la dernière flambée de violence en juillet, elle est très angoissée. "La seule chose à laquelle je réfléchissais, c’était comment sortir de là et mettre nos quatre chats à l'abri", explique-t-elle. Elle avait préparé un couchage et quelques vêtements à l'avance, sans savoir combien de temps elle devrait partir. "Ce n'est pas possible que les affrontements reprennent sans cesse et nous forcent à fuir aussi souvent. Je ne veux pas que la prochaine génération vive avec ça", ajoute-t-elle. "Je veux juste que les combats s’arrêtent, qu’ils s’arrêtent vraiment". Nittaya Sirithongkoon, employée d’hôpital à la retraite, déplore que les deux pays se battent de nouveau. "Le Cambodge est avant tout notre voisin, c'est comme la famille", confie-t-elle, ajoutant que beaucoup de gens autour d'elle parlent la langue khmère. "Les politiciens (...) ils n’arrêtent pas de se battre entre eux. Je veux que le gouvernement et tous les partis politiques pensent d’abord au pays".

10.12.2025 à 18:09

La Bourse de Paris temporise encore avant la Fed

FRANCE24
img
L'indice vedette CAC 40 a reculé de 29,82 points, pour s'établir à 8.022,69 points. La veille, le CAC 40 avait terminé en repli de 0,69%, clôturant à 8.052,21 points. "Le marché temporise en attendant la réunion de la Fed, le dernier gros événement macro-économique de l'année", commente Charles de Riedtmatten, gérant actions chez Myria AM. L'institution monétaire doit rendre sa décision à 19H00 GMT (20H00, heure de Paris) et les investisseurs anticipent massivement une nouvelle baisse des taux, la troisième d'affilée, qui les ramènerait dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%. Les acteurs du marché sont toutefois partagés quant à l'actualisation des anticipations de court et moyen terme des membres de la Fed en matière d'évolution des taux. "Les incertitudes sont nombreuses" d'autant plus que le président de la Fed, Jerome Powell "est sur le départ", ajoute Charles de Riedmatten. "Jerome Powell quittera la tête de la Fed le 1er février 2026 et son rôle de gouverneur de la Fed mi-mai 2026. Il lui reste donc uniquement une seule réunion du comité monétaire (FOMC) fin janvier", détaille le gérant. "Son successeur s'exprimera pour la première fois lors de la réunion de mars 2026 et donnera alors le ton de sa politique monétaire, (...) mais tant qu'aucun nom n'est sorti, il subsiste une incertitude, d'où le comportement attentiste du marché", ajoute Charles de Riedmatten. En France, les députés ont adopté mardi le projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, suspendant notamment la mise en oeuvre de la réforme des retraites jusqu'en janvier 2028. Cet épisode est toutefois "un non-événement pour les marchés", estime Charles de Riedmatten, les investisseurs ayant déjà précédemment intégré l'instabilité politique du pays. Sur le marché obligataire, le rendement de l'emprunt français à échéance dix ans grimpait à 3,57%, contre 3,55% la veille en clôture. En comparaison, son équivalent allemand était à 2,85%, stable par rapport à mardi. Année exceptionnelle pour la biotech Abivax Les actions de la société française de biotechnologie Abivax ont grimpé de 9,52% à 108,40 euros mercredi, portées par des rumeurs de marché sur une potentielle offre de rachat de l'entreprise. En juillet, la biotech a dévoilé des résultats positifs d'un essai de phase 3 pour son médicament phare, l'Obefazimod, un traitement contre une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. L'annonce avait alors déclenché une envolée spectaculaire de plus de 500% en une journée sur Euronext Paris. Depuis le 1er janvier, le titre d'Abivax s'offre une hausse spectaculaire de 1.601%, faisant passer sa valorisation boursière de moins de 450 millions d'euros au début de l'année à plus de 8,89 milliards d'euros aujourd'hui.
Lire plus (453 mots)
L'indice vedette CAC 40 a reculé de 29,82 points, pour s'établir à 8.022,69 points. La veille, le CAC 40 avait terminé en repli de 0,69%, clôturant à 8.052,21 points. "Le marché temporise en attendant la réunion de la Fed, le dernier gros événement macro-économique de l'année", commente Charles de Riedtmatten, gérant actions chez Myria AM. L'institution monétaire doit rendre sa décision à 19H00 GMT (20H00, heure de Paris) et les investisseurs anticipent massivement une nouvelle baisse des taux, la troisième d'affilée, qui les ramènerait dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%. Les acteurs du marché sont toutefois partagés quant à l'actualisation des anticipations de court et moyen terme des membres de la Fed en matière d'évolution des taux. "Les incertitudes sont nombreuses" d'autant plus que le président de la Fed, Jerome Powell "est sur le départ", ajoute Charles de Riedmatten. "Jerome Powell quittera la tête de la Fed le 1er février 2026 et son rôle de gouverneur de la Fed mi-mai 2026. Il lui reste donc uniquement une seule réunion du comité monétaire (FOMC) fin janvier", détaille le gérant. "Son successeur s'exprimera pour la première fois lors de la réunion de mars 2026 et donnera alors le ton de sa politique monétaire, (...) mais tant qu'aucun nom n'est sorti, il subsiste une incertitude, d'où le comportement attentiste du marché", ajoute Charles de Riedmatten. En France, les députés ont adopté mardi le projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, suspendant notamment la mise en oeuvre de la réforme des retraites jusqu'en janvier 2028. Cet épisode est toutefois "un non-événement pour les marchés", estime Charles de Riedmatten, les investisseurs ayant déjà précédemment intégré l'instabilité politique du pays. Sur le marché obligataire, le rendement de l'emprunt français à échéance dix ans grimpait à 3,57%, contre 3,55% la veille en clôture. En comparaison, son équivalent allemand était à 2,85%, stable par rapport à mardi. Année exceptionnelle pour la biotech Abivax Les actions de la société française de biotechnologie Abivax ont grimpé de 9,52% à 108,40 euros mercredi, portées par des rumeurs de marché sur une potentielle offre de rachat de l'entreprise. En juillet, la biotech a dévoilé des résultats positifs d'un essai de phase 3 pour son médicament phare, l'Obefazimod, un traitement contre une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. L'annonce avait alors déclenché une envolée spectaculaire de plus de 500% en une journée sur Euronext Paris. Depuis le 1er janvier, le titre d'Abivax s'offre une hausse spectaculaire de 1.601%, faisant passer sa valorisation boursière de moins de 450 millions d'euros au début de l'année à plus de 8,89 milliards d'euros aujourd'hui.

10.12.2025 à 18:08

Bénin : ces comptes pro-AES qui soutiennent la tentative de coup d'Etat à coup d'intox

Nathan GALLO
img
Depuis la tentative de coup d'État manquée par des militaires béninois le 7 décembre, de nombreux comptes issues de la sphère de soutien à l'Alliance des Etats du Sahel (AES) n'ont cessé de diffuser de fausses informations pour faire croire au succès du putsch.
Lire plus (453 mots)
Depuis la tentative de coup d'État manquée par des militaires béninois le 7 décembre, de nombreux comptes issues de la sphère de soutien à l'Alliance des Etats du Sahel (AES) n'ont cessé de diffuser de fausses informations pour faire croire au succès du putsch.

10.12.2025 à 18:07

Avancée du M23 en RD Congo : le Burundi ferme sa frontière

FRANCE24
img
Les habitants d'Uvira, ville stratégique de l'est de la RDC faisant face à Bujumbura, se muraient mercredi dans l'incertitude et l'angoisse, au lendemain de l'entrée dans les faubourgs nord du groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, poussant le Burundi voisin à fermer sa frontière.
Lire plus (453 mots)
Les habitants d'Uvira, ville stratégique de l'est de la RDC faisant face à Bujumbura, se muraient mercredi dans l'incertitude et l'angoisse, au lendemain de l'entrée dans les faubourgs nord du groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, poussant le Burundi voisin à fermer sa frontière.

10.12.2025 à 18:07

Maroc : 22 morts dans l'effondrement de deux immeubles

FRANCE24
img
Vingt-deux personnes ont été tuées dans la nuit de mardi à mercredi dans l'effondrement de deux immeubles mitoyens à Fès, grande ville du nord du Maroc, dont l'un accueillait une fête pour une naissance, selon les autorités.
Lire plus (453 mots)
Vingt-deux personnes ont été tuées dans la nuit de mardi à mercredi dans l'effondrement de deux immeubles mitoyens à Fès, grande ville du nord du Maroc, dont l'un accueillait une fête pour une naissance, selon les autorités.

10.12.2025 à 18:06

Guerre en Ukraine : l'aide militaire en baisse en 2025

FRANCE24
img
L'aide militaire à l'Ukraine pourrait atteindre son plus bas niveau en 2025, a prévenu mercredi l'institut de recherche allemand Kiel Institute, les Européens, qui en fournissent désormais l'essentiel, ne parvenant plus à compenser l'arrêt de l'aide américaine.
Lire plus (453 mots)
L'aide militaire à l'Ukraine pourrait atteindre son plus bas niveau en 2025, a prévenu mercredi l'institut de recherche allemand Kiel Institute, les Européens, qui en fournissent désormais l'essentiel, ne parvenant plus à compenser l'arrêt de l'aide américaine.
15 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Alternatives Eco.✝
L'Autre Quotidien
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞