Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

30.12.2025 à 21:17

NBA: Jokic absent au moins quatre semaines

FRANCE24
img
"Nikola Jokic souffre d'une hyperextension du genou gauche (...) Nikola sera réévalué dans quatre semaines", ont écrit les Nuggets. Le pivot de 30 ans, en lice pour remporter un 4e titre de meilleur joueur de la saison de NBA (MVP), s'est blessé lundi soir durant d'un match sur le parquet du Miami Heat (perdu 147-123). Son genou s'est bloqué après que son coéquipier Spencer Jones lui a marché par inadvertance sur le pied, sur une action défensive anodine. Les images du colosse serbe se tordant de douleur au sol ont jeté un froid sur la franchise du Colorado, actuellement 3e de la conférence Ouest, et dont les ambitions souffrent des blessures à répétition de joueurs clés. En plus de Jokic, l'infirmerie comporte aussi Aaron Gordon et Christian Braun, deux cadres qui ont contribué au sacre de 2023, ainsi que Cameron Johnson, la recrue phare de l'été. Jokic tournait à 29.6 points, 12.2 rebonds et 11 passes décisives jusque-là, un rythme qui fait de lui l'un des favoris pour le MVP. S'il a évité le pire, il reste à savoir s'il pourra disputer les 65 matches de saison régulière (sur 82) requis pour être éligible au trophée.

30.12.2025 à 20:53

Les responsables de la Fed restent divisés sur la marche à suivre pour 2026

FRANCE24
img
Publié mardi, le compte rendu ("minutes") de la dernière réunion de la Fed a montré qu'une majorité des responsables estiment que "d'autres ajustements à la baisse pourraient être nécessaires si l'inflation ralenti" suffisamment dans les premiers mois de 2026. Mais à l'inverse "certains participants" ont déclaré vouloir privilégier une approche plus prudente, jugeant qu'il serait "approprié de maintenir la cible inchangée pour quelque temps" après la baisse décidée lors de cette réunion. Durant la réunion de son Comité de politique monétaire (FOMC) des 9 et 10 décembre, la Fed a décidé d'abaisser de 0,25 point ses taux d'intérêt, les ramenant dans une fourchette désormais comprise entre 3,50% et 3,75%. Une décision qui avait cependant suscité des divisions: deux des membres ont voté en faveur d'un statu quo et un troisième s'est au contraire prononcé en faveur d'une baisse plus marquée. Les trois responsables ont dans la foulée justifié leur choix, les uns soulignant la persistance de l'inflation, quand leur collègue s'inquiétait d'un possible retournement du marché de l'emploi aux Etats-Unis, qui montre déjà des signes de ralentissement. Or la Fed dispose de deux mandats, d'égale importance: se rapprocher du plein emploi tout en maintenant la hausse des prix à un niveau proche de 2% sur le long terme. L'ensemble des participants ont cependant reconnu que la trajectoire des taux ne serait pas déterminée et que les prochaines décisions devront se baser sur l'évolution des données macroéconomiques dans les prochaines semaines. "Dans leurs discussions sur la gestion des risques, les participants ont généralement jugé que le risque d'accélération de l'inflation restait élevé, tout comme ceux de voir le marché de l'emploi se détériorer", est-il noté dans le compte-rendu. Dans ces conditions, "une gestion équilibrée des risques est nécessaire", tout comme le fait de s'assurer que "les anticipations d'inflation à long terme s'ancrent correctement". La prochaine réunion de la Fed est prévue les 27 et 28 janvier et les acteurs du marché s'attendent à ce que les taux soient maintenus à leur niveau actuel, selon les anticipations des marchés compilés par l'outil de veille de CME, FedWatch.

30.12.2025 à 20:35

Marine Le Pen assistera aux obsèques de Brigitte Bardot, pas Emmanuel Macron

FRANCE 24
img
Marine Le Pen sera présente aux obsèques de Brigitte Bardot, le 7 janvier à Saint-Tropez. En revanche, Emmanuel Macron ne fera pas le déplacement dans le Var. L'Élysée indique avoir proposé un hommage aux proches de l'actrice morte dimanche "sans que la famille ne donne suite".
Lire plus (375 mots)
Marine Le Pen sera présente aux obsèques de Brigitte Bardot, le 7 janvier à Saint-Tropez. En revanche, Emmanuel Macron ne fera pas le déplacement dans le Var. L'Élysée indique avoir proposé un hommage aux proches de l'actrice morte dimanche "sans que la famille ne donne suite".

30.12.2025 à 19:13

CAN-2025: sans convaincre, la Tunisie rejoint le Nigeria en 8e de finale

FRANCE24
img
Les Tunisiens rejoignent le Nigeria, leader du groupe déjà qualifié, qui a de son côté signé un troisième succès consécutif en dominant l'Ouganda 3-1, à Fès. En huitièmes de finale, la Tunisie rencontrera samedi à Casablanca le Mali, qui a fini deuxième du groupe A, tandis que le Nigeria affrontera lundi à Fès le troisième du groupe F. La Tanzanie, qui participe à sa quatrième CAN, finit troisième du groupe avec deux points et se retrouve elle aussi qualifiée pour les huitièmes au titre des meilleurs troisièmes. Une première pour les Tanzaniens, qui affronteront le Maroc, pays hôte et favori de la compétition, dimanche à Rabat. Les Tunisiens, qui restaient sur une défaite honorable contre le Nigeria (menés 3-0, ils étaient revenus à 3-2), ont fait pâle figure lundi en semblant se contenter du minimum. Dans une rencontre sans rythme, les joueurs de Sami Trabelsi ont d'abord touché les montants sur un tir d'Ismaël Gharbi avant que le jeune milieu d'Augsbourg (Allemagne), 21 ans, ne règle la mire sur pénalty (43e) à la suite d'un ceinturage dans la surface décelé par la vidéo. A peine revenus des vestiaires, les Tanzaniens ont douché l'assurance des Tunisiens grâce à une frappe rasante de Feisal Salum (48e). Timorés dans le jeu proposé, les Aigles de Carthage poursuivent leur route dans cette 35e Coupe d'Afrique des nations, dont ils ont remporté une édition, en 2004. De leur côté, les "Super Eagles" nigérians, vainqueurs de trois CAN (1980, 1994 et 2013), ont fort bien négocié un match sans enjeu pour eux mais où leurs adversaires ougandais devaient impérativement s'imposer pour voir les 8e. Au sein d'une équipe où beaucoup de titulaires habituels avaient été laissés au repos par le sélectionneur français Eric Chelle, Paul Onuachu s'est distingué en ouvrant la marque dès la 28e minute. Raphael Onyedika a signé ensuite son premier doublé en sélection (62e et 67e) face à des Ougandais réduits à dix à l'heure de jeu après l'exclusion de leur gardien Salim Magoola, pour une main désespérée en dehors de la surface. Rogers Mato a réduit la marque (75e). Insuffisant pour les "Grues" d'Ouganda qui rentrent à la maison.
Lire plus (385 mots)
Les Tunisiens rejoignent le Nigeria, leader du groupe déjà qualifié, qui a de son côté signé un troisième succès consécutif en dominant l'Ouganda 3-1, à Fès. En huitièmes de finale, la Tunisie rencontrera samedi à Casablanca le Mali, qui a fini deuxième du groupe A, tandis que le Nigeria affrontera lundi à Fès le troisième du groupe F. La Tanzanie, qui participe à sa quatrième CAN, finit troisième du groupe avec deux points et se retrouve elle aussi qualifiée pour les huitièmes au titre des meilleurs troisièmes. Une première pour les Tanzaniens, qui affronteront le Maroc, pays hôte et favori de la compétition, dimanche à Rabat. Les Tunisiens, qui restaient sur une défaite honorable contre le Nigeria (menés 3-0, ils étaient revenus à 3-2), ont fait pâle figure lundi en semblant se contenter du minimum. Dans une rencontre sans rythme, les joueurs de Sami Trabelsi ont d'abord touché les montants sur un tir d'Ismaël Gharbi avant que le jeune milieu d'Augsbourg (Allemagne), 21 ans, ne règle la mire sur pénalty (43e) à la suite d'un ceinturage dans la surface décelé par la vidéo. A peine revenus des vestiaires, les Tanzaniens ont douché l'assurance des Tunisiens grâce à une frappe rasante de Feisal Salum (48e). Timorés dans le jeu proposé, les Aigles de Carthage poursuivent leur route dans cette 35e Coupe d'Afrique des nations, dont ils ont remporté une édition, en 2004. De leur côté, les "Super Eagles" nigérians, vainqueurs de trois CAN (1980, 1994 et 2013), ont fort bien négocié un match sans enjeu pour eux mais où leurs adversaires ougandais devaient impérativement s'imposer pour voir les 8e. Au sein d'une équipe où beaucoup de titulaires habituels avaient été laissés au repos par le sélectionneur français Eric Chelle, Paul Onuachu s'est distingué en ouvrant la marque dès la 28e minute. Raphael Onyedika a signé ensuite son premier doublé en sélection (62e et 67e) face à des Ougandais réduits à dix à l'heure de jeu après l'exclusion de leur gardien Salim Magoola, pour une main désespérée en dehors de la surface. Rogers Mato a réduit la marque (75e). Insuffisant pour les "Grues" d'Ouganda qui rentrent à la maison.

30.12.2025 à 18:58

CAN 2025 : sans pression, le Nigeria élimine définitivement l'Ouganda

Stéphanie TROUILLARD
img
Le Nigeria a enchaîné avec une troisième victoire en autant de rencontres. Les Super Eagles, déjà assurés de terminer premiers de leur groupe, ont battu l'Ouganda, qui n'a pas réalisé d'exploit (1-3). Les Grues sortent de la compétition.
Lire plus (385 mots)
Le Nigeria a enchaîné avec une troisième victoire en autant de rencontres. Les Super Eagles, déjà assurés de terminer premiers de leur groupe, ont battu l'Ouganda, qui n'a pas réalisé d'exploit (1-3). Les Grues sortent de la compétition.

30.12.2025 à 18:55

CAN 2025 : la Tunisie assure sa place en 8es de finale, la Tanzanie repêchée

Romain HOUEIX
img
Dans un match sans rythme et sans folie, la Tunisie et la Tanzanie se sont quittés bonnes amies (1-1). Un résultat qui fait les affaires des deux équipes, les Aigles de Carthage s'assurant la deuxième place du groupe C, les Tanzaniens assurés d'être repêchés en huitièmes de finale en tant que meilleurs troisièmes.
Lire plus (385 mots)
Dans un match sans rythme et sans folie, la Tunisie et la Tanzanie se sont quittés bonnes amies (1-1). Un résultat qui fait les affaires des deux équipes, les Aigles de Carthage s'assurant la deuxième place du groupe C, les Tanzaniens assurés d'être repêchés en huitièmes de finale en tant que meilleurs troisièmes.

30.12.2025 à 18:51

En Allemagne, un Nouvel An à l'aéroport pour fuir les feux d'artifice

FRANCE24
img
Son exil volontaire l'amènera mercredi à l'aéroport de Francfort, à quelques kilomètres de son domicile, où cette réalisatrice dans le cinéma de 56 ans a réservé une chambre d'hôtel pour passer une nuit "détendue et au calme" avec son canidé, raconte-elle à l'AFP. Comme les hôpitaux ou les maisons de retraite, les abords des aéroports sont en effet une zone d'interdiction des explosifs, ce qui en fait un havre de paix pour les animaux en proie au stress des détonations, éclats lumineux et odeurs de fumée. Anja Gerauer se souvient du premier réveillon allemand de sa chienne, qui "a aboyé toute la nuit et tremblé sous le lit. Je ne referai pas ça, je craignais qu'elle fasse une crise cardiaque". Joy "n'est pas seule", souligne sa propriétaire : l'hôtel où elle prévoit de dépenser environ 200 euros la nuit a réservé une centaine de chambres sur 300 pour des clients accompagnés de chiens, a indiqué l'établissement à l'AFP. Le Sheraton, établissement voisin, a flairé l'affaire : son site internet invite les clients avec chien à y passer un réveillon "sans stress". Cinq décès accidentels Option plus économique, certains viennent même "s'installer sur les bancs" des terminaux avec leurs bêtes, indique l'aéroport de Düsseldorf (ouest) à l'AFP. Autorisé mercredi et jeudi, le recours aux pétards et fusées, en vente légale depuis lundi, s'annonce massif : entre janvier et septembre, plus de 42.000 tonnes de feux d'artifice ont été importées en Allemagne, soit 62% de plus par rapport à l'année précédente, selon les statistiques officielles. Des chiffres qui n'incluent pas les importations illégales, jugées particulièrement accidentogènes, de la perte de vision et des dommages auditifs aux amputations. L'opposition aux engins pyrotechniques, d'où qu'ils proviennent, s'est renforcée après la mort accidentelle de cinq personnes dans le pays au dernier Nouvel An, et 300 interpellations à Berlin, où 30 policiers avaient été blessés. Toujours dans la capitale, l'explosion d'un engin pyrotechnique avait endommagé les ouvertures d'une quarantaine de logements d'un même bloc. Les touristes étrangers y sont souvent surpris par l'atmosphère de chaos créée par l'intensité des détonations sourdes, fumées âcres et sirènes d'ambulance. "Nuit d'horreur" "Tout le monde est au bout de ses forces" avec ces pétards "anxiogènes, beaucoup trop bruyants et dangereux", s'émeut Christine Ryck, croisée devant un magasin de feux d'artifice. Cette Berlinoise de 65 ans peut témoigner d'une enfance où fusées et cierges magiques faisaient déjà partie du spectacle, mais ces engins n'étaient alors "pas dangereux". Initiée début janvier par la division berlinoise du syndicat policier Gewerkschaft der Polizei (GdP), une pétition pour une interdiction nationale des feux d'artifice se rapproche désormais des 3 millions de signatures en ligne. Mais le chancelier Friedrich Merz, investi en mai, est resté sourd à cet appel, et les interdictions restent très limitées localement : la porte de Brandebourg et quelques autres lieux de rassemblement à Berlin, ou les centres historiques des villes anciennes... Pas de quoi satisfaire les opposants, qui redoutent une nouvelle "nuit d'horreur" d'une ampleur "inédite", a averti Jürgen Resch, directeur général de l'ONG environnementale Deutsche Umwelthilfe (DUH). L'ordre des médecins et la fédération des hôpitaux ont rejoint le concert de critiques, ces derniers recensant 100 blessés graves - total en "hausse brutale" - liés aux feux d'artifice lors du dernier réveillon. Tradition Des accidents graves "pratiquement exclusivement liés aux feux d'artifice illégaux", tandis que ceux légaux sont "strictement contrôlés et fortement limités en taille et en effet", a répondu à l'AFP Christoph Kröpl, le directeur générale de la Fédération allemande de pyrotechnie et des feux d'artifice artistiques (bvpk). Avec 12,7 millions d'acheteurs au dernier Nouvel An, les feux d'artifice restent un loisir très populaire et "une magnifique tradition en Allemagne", souligne de son côté la Fédération de l'industrie pyrotechnique (VPI). Vivre cette "expérience" en famille et entre amis, en "faisant attention" et sans "exagérer" : c'est l'intention d'Erdogan, un Berlinois de 54 ans, rencontré par l'AFP à la sortie d'un magasin berlinois. "J'ai été jeune, je comprends aussi": Emren, son fils de 12 ans, fusées sous le bras, doit "aussi pouvoir goûter un peu à cela", estime le père.
Texte intégral (743 mots)
Son exil volontaire l'amènera mercredi à l'aéroport de Francfort, à quelques kilomètres de son domicile, où cette réalisatrice dans le cinéma de 56 ans a réservé une chambre d'hôtel pour passer une nuit "détendue et au calme" avec son canidé, raconte-elle à l'AFP. Comme les hôpitaux ou les maisons de retraite, les abords des aéroports sont en effet une zone d'interdiction des explosifs, ce qui en fait un havre de paix pour les animaux en proie au stress des détonations, éclats lumineux et odeurs de fumée. Anja Gerauer se souvient du premier réveillon allemand de sa chienne, qui "a aboyé toute la nuit et tremblé sous le lit. Je ne referai pas ça, je craignais qu'elle fasse une crise cardiaque". Joy "n'est pas seule", souligne sa propriétaire : l'hôtel où elle prévoit de dépenser environ 200 euros la nuit a réservé une centaine de chambres sur 300 pour des clients accompagnés de chiens, a indiqué l'établissement à l'AFP. Le Sheraton, établissement voisin, a flairé l'affaire : son site internet invite les clients avec chien à y passer un réveillon "sans stress". Cinq décès accidentels Option plus économique, certains viennent même "s'installer sur les bancs" des terminaux avec leurs bêtes, indique l'aéroport de Düsseldorf (ouest) à l'AFP. Autorisé mercredi et jeudi, le recours aux pétards et fusées, en vente légale depuis lundi, s'annonce massif : entre janvier et septembre, plus de 42.000 tonnes de feux d'artifice ont été importées en Allemagne, soit 62% de plus par rapport à l'année précédente, selon les statistiques officielles. Des chiffres qui n'incluent pas les importations illégales, jugées particulièrement accidentogènes, de la perte de vision et des dommages auditifs aux amputations. L'opposition aux engins pyrotechniques, d'où qu'ils proviennent, s'est renforcée après la mort accidentelle de cinq personnes dans le pays au dernier Nouvel An, et 300 interpellations à Berlin, où 30 policiers avaient été blessés. Toujours dans la capitale, l'explosion d'un engin pyrotechnique avait endommagé les ouvertures d'une quarantaine de logements d'un même bloc. Les touristes étrangers y sont souvent surpris par l'atmosphère de chaos créée par l'intensité des détonations sourdes, fumées âcres et sirènes d'ambulance. "Nuit d'horreur" "Tout le monde est au bout de ses forces" avec ces pétards "anxiogènes, beaucoup trop bruyants et dangereux", s'émeut Christine Ryck, croisée devant un magasin de feux d'artifice. Cette Berlinoise de 65 ans peut témoigner d'une enfance où fusées et cierges magiques faisaient déjà partie du spectacle, mais ces engins n'étaient alors "pas dangereux". Initiée début janvier par la division berlinoise du syndicat policier Gewerkschaft der Polizei (GdP), une pétition pour une interdiction nationale des feux d'artifice se rapproche désormais des 3 millions de signatures en ligne. Mais le chancelier Friedrich Merz, investi en mai, est resté sourd à cet appel, et les interdictions restent très limitées localement : la porte de Brandebourg et quelques autres lieux de rassemblement à Berlin, ou les centres historiques des villes anciennes... Pas de quoi satisfaire les opposants, qui redoutent une nouvelle "nuit d'horreur" d'une ampleur "inédite", a averti Jürgen Resch, directeur général de l'ONG environnementale Deutsche Umwelthilfe (DUH). L'ordre des médecins et la fédération des hôpitaux ont rejoint le concert de critiques, ces derniers recensant 100 blessés graves - total en "hausse brutale" - liés aux feux d'artifice lors du dernier réveillon. Tradition Des accidents graves "pratiquement exclusivement liés aux feux d'artifice illégaux", tandis que ceux légaux sont "strictement contrôlés et fortement limités en taille et en effet", a répondu à l'AFP Christoph Kröpl, le directeur générale de la Fédération allemande de pyrotechnie et des feux d'artifice artistiques (bvpk). Avec 12,7 millions d'acheteurs au dernier Nouvel An, les feux d'artifice restent un loisir très populaire et "une magnifique tradition en Allemagne", souligne de son côté la Fédération de l'industrie pyrotechnique (VPI). Vivre cette "expérience" en famille et entre amis, en "faisant attention" et sans "exagérer" : c'est l'intention d'Erdogan, un Berlinois de 54 ans, rencontré par l'AFP à la sortie d'un magasin berlinois. "J'ai été jeune, je comprends aussi": Emren, son fils de 12 ans, fusées sous le bras, doit "aussi pouvoir goûter un peu à cela", estime le père.

30.12.2025 à 18:47

La Bourse de Paris termine en hausse dans une séance sans catalyseur

FRANCE24
img
L'indice vedette CAC 40 a avancé de 56,13 points pour s'établir à 8.168,15 points à la clôture. La veille, le CAC 40 avait terminé en timide hausse de 0,10% à 8.112,02 points. Le CAC 40 s'inscrit pour l'instant en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année, une meilleure performance qu'en 2024, année durant laquelle il avait reculé de 2,15%. L'indice vedette parisien reste cependant largement en retard en comparaison de ses voisins européens. Le Dax de la Bourse de Francfort et le FTSE 100 à Londres affichent tous deux une progression de plus de 20%, tandis que Milan (+30%) et Madrid (+50%) enregistrent des gains jusqu'à cinq fois supérieurs à la place parisienne. Le CAC 40 a signé sa dernière séance pleine de l'année, celle du 31 décembre étant écourtée, avec une clôture à 14H00, heure de Paris. A l'agenda du jour, les investisseurs attendent le compte-rendu ("minutes") de la dernière réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui pourrait donner de nouvelles indications sur la trajectoire monétaire privilégiée par la Réserve fédérale dans les prochains mois, après trois réductions de taux consécutives en 2025. "La question centrale sera de voir dans quelle mesure les membres de la Fed pourraient passer d'une à deux baisses de taux en 2026", explique Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB. "L'une des plus grandes menaces potentielles pour les indices boursiers en 2026 serait peut-être la fin des baisses de taux — voire des hausses — dans les grandes économies", poursuit-elle, un facteur défavorable aux actions, souligne-t-elle. Au tableau des valeurs, aucune actualité d'entreprise n'a animé la cote parisienne mardi. Société Générale signe la plus forte progression de la séance, en hausse de 2,12% à 69,40 euros.
Lire plus (289 mots)
L'indice vedette CAC 40 a avancé de 56,13 points pour s'établir à 8.168,15 points à la clôture. La veille, le CAC 40 avait terminé en timide hausse de 0,10% à 8.112,02 points. Le CAC 40 s'inscrit pour l'instant en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année, une meilleure performance qu'en 2024, année durant laquelle il avait reculé de 2,15%. L'indice vedette parisien reste cependant largement en retard en comparaison de ses voisins européens. Le Dax de la Bourse de Francfort et le FTSE 100 à Londres affichent tous deux une progression de plus de 20%, tandis que Milan (+30%) et Madrid (+50%) enregistrent des gains jusqu'à cinq fois supérieurs à la place parisienne. Le CAC 40 a signé sa dernière séance pleine de l'année, celle du 31 décembre étant écourtée, avec une clôture à 14H00, heure de Paris. A l'agenda du jour, les investisseurs attendent le compte-rendu ("minutes") de la dernière réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui pourrait donner de nouvelles indications sur la trajectoire monétaire privilégiée par la Réserve fédérale dans les prochains mois, après trois réductions de taux consécutives en 2025. "La question centrale sera de voir dans quelle mesure les membres de la Fed pourraient passer d'une à deux baisses de taux en 2026", explique Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB. "L'une des plus grandes menaces potentielles pour les indices boursiers en 2026 serait peut-être la fin des baisses de taux — voire des hausses — dans les grandes économies", poursuit-elle, un facteur défavorable aux actions, souligne-t-elle. Au tableau des valeurs, aucune actualité d'entreprise n'a animé la cote parisienne mardi. Société Générale signe la plus forte progression de la séance, en hausse de 2,12% à 69,40 euros.

30.12.2025 à 18:36

Vaste coup de filet en Turquie contre le groupe État islamique, 357 personnes arrêtées

FRANCE 24
img
La police ‍turque a arrêté mardi 357 ​personnes lors d'une opération nationale menée contre l'organisation État islamique, au lendemain d'un affrontement meurtrier entre forces de l'ordre et membres présumés du groupe jihadiste.
Lire plus (289 mots)
La police ‍turque a arrêté mardi 357 ​personnes lors d'une opération nationale menée contre l'organisation État islamique, au lendemain d'un affrontement meurtrier entre forces de l'ordre et membres présumés du groupe jihadiste.

30.12.2025 à 18:29

Au Yémen, l’Arabie saoudite bombarde pour rappeler ses "alliés" à l’ordre

Sébastian SEIBT
img
Le bombardement par l'Arabie saoudite de la ville yéménite d’Al-Moukalla, mardi, a visé des intérêts émiratis. Si les Émirats arabes unis sont un allié dans la lutte contre les Houthis, ils sont aussi un rival géopolitique et le principal sponsor d’un mouvement séparatiste qui inquiète de plus en plus Riyad.
Lire plus (289 mots)
Le bombardement par l'Arabie saoudite de la ville yéménite d’Al-Moukalla, mardi, a visé des intérêts émiratis. Si les Émirats arabes unis sont un allié dans la lutte contre les Houthis, ils sont aussi un rival géopolitique et le principal sponsor d’un mouvement séparatiste qui inquiète de plus en plus Riyad.

30.12.2025 à 18:21

Bordeaux: trois mises en examen après une fusillade mortelle liée au narcotrafic

FRANCE24
img
Âgés de 19, 20 et 24 ans et placés en détention provisoire, ils sont suspectés de "tentative de meurtre en bande organisée au préjudice de personnes non identifiées à ce stade", "association de malfaiteurs" et "détention d'armes en bande organisée", a précisé devant la presse le procureur de la République, Renaud Gaudeul. Deux d'entre eux sont des frères originaires de Guyane et l'un des trois a déjà été condamné pour des infractions sur les armes. Condamnée, pour sa part, à plusieurs reprises pour des infractions à la législation sur les stupéfiants et sortie fin novembre de prison, la victime, âgée de 19 ans et domiciliée à Trappes (Yvelines), avait rejoint ses comparses, arrivés en train de Reims, dans un logement de l'agglomération bordelaise. Tous les quatre avaient "répondu à un appel d'un individu (recherché par la police, NDLR) leur demandant de se rendre à Bordeaux", où il leur a fourni une voiture volée pour se déplacer, a précisé le magistrat. Le 25 décembre au soir, ils se sont rendus sur une place du quartier populaire des Aubiers, où des coups de feu ont alors éclaté. La victime qui portait un gilet pare-balles, des gants et une cagoule, a été touchée à trois reprises à la tête, au niveau de l'abdomen et à une cuisse. "Le ou les auteurs" de ces tirs mortels ne sont "pas encore identifiés", a souligné M. Gaudeul. Un fusil automatique a été retrouvé à proximité de la voiture abandonnée dans leur fuite par les mis en cause, interpellés le soir-même, tandis qu'un fusil à pompe et des munitions ont été saisis dans un immeuble du quartier. "La piste largement privilégiée est celle d'un lien avec le trafic de produits stupéfiants, compte tenu du mode opératoire" et du lieu des faits, "connu comme étant un point de deal qu'il est particulièrement difficile d'éradiquer", a pointé le procureur, ajoutant que l'implication de personnes venues d'autres régions étant un phénomène récemment observé à Bordeaux.
Lire plus (351 mots)
Âgés de 19, 20 et 24 ans et placés en détention provisoire, ils sont suspectés de "tentative de meurtre en bande organisée au préjudice de personnes non identifiées à ce stade", "association de malfaiteurs" et "détention d'armes en bande organisée", a précisé devant la presse le procureur de la République, Renaud Gaudeul. Deux d'entre eux sont des frères originaires de Guyane et l'un des trois a déjà été condamné pour des infractions sur les armes. Condamnée, pour sa part, à plusieurs reprises pour des infractions à la législation sur les stupéfiants et sortie fin novembre de prison, la victime, âgée de 19 ans et domiciliée à Trappes (Yvelines), avait rejoint ses comparses, arrivés en train de Reims, dans un logement de l'agglomération bordelaise. Tous les quatre avaient "répondu à un appel d'un individu (recherché par la police, NDLR) leur demandant de se rendre à Bordeaux", où il leur a fourni une voiture volée pour se déplacer, a précisé le magistrat. Le 25 décembre au soir, ils se sont rendus sur une place du quartier populaire des Aubiers, où des coups de feu ont alors éclaté. La victime qui portait un gilet pare-balles, des gants et une cagoule, a été touchée à trois reprises à la tête, au niveau de l'abdomen et à une cuisse. "Le ou les auteurs" de ces tirs mortels ne sont "pas encore identifiés", a souligné M. Gaudeul. Un fusil automatique a été retrouvé à proximité de la voiture abandonnée dans leur fuite par les mis en cause, interpellés le soir-même, tandis qu'un fusil à pompe et des munitions ont été saisis dans un immeuble du quartier. "La piste largement privilégiée est celle d'un lien avec le trafic de produits stupéfiants, compte tenu du mode opératoire" et du lieu des faits, "connu comme étant un point de deal qu'il est particulièrement difficile d'éradiquer", a pointé le procureur, ajoutant que l'implication de personnes venues d'autres régions étant un phénomène récemment observé à Bordeaux.

30.12.2025 à 18:17

Kiev dit qu'il y a pas de preuve d'une attaque de drones contre une résidence de Poutine

FRANCE24
img
Ce soudain regain de tension diplomatique intervient peu après des déclarations américaines et ukrainiennes faisant état de progrès dans les discussions en vue d'un accord pouvant faire cesser l'invasion russe de l'Ukraine. Et ces accusations jettent le doute sur la poursuite des tractations diplomatiques engagées depuis novembre pour tenter de mettre fin au conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a néanmoins annoncé mardi qu'une réunion avec les dirigeants des pays alliés de Kiev était prévue le 6 janvier en France, après une rencontre le 3 janvier en Ukraine avec des conseillers à la sécurité d'Etats soutenant Kiev. Moscou a accusé lundi Kiev d'avoir visé dans la nuit de dimanche à lundi avec 91 drones une résidence de Vladimir Poutine située à Valdaï, entre Moscou et Saint-Pétersbourg, et hautement sécurisée. L'Ukraine a aussitôt démenti. Volodymyr Zelensky a répété mardi que ces accusations étaient "fausses". "Bien sûr, nos partenaires peuvent vérifier que c'est faux grâce à leurs capacités techniques", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse en ligne. Plus tôt, mardi, son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, a souligné que Moscou n'avait "toujours pas fourni de preuves plausibles". "Durcissement" M. Sybiga a regretté que les Emirats, l'Inde et le Pakistan se soient officiellement déclarés préoccupés par "une attaque qui n'a jamais eu lieu". Les accusations de Moscou sont intervenues au lendemain d'une rencontre en Floride entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue américain Donald Trump, qui pousse à une résolution du conflit lancé il y a près de quatre ans. Lors de son briefing quotidien mardi, auquel a participé l'AFP, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov n'a pas fourni de preuve, assurant que les drones avaient tous été abattus et qu'il faudrait de ce fait s'adresser au ministère russe de la Défense concernant la présence d'éventuels débris. "Les conséquences (de cette attaque) se traduiront par un durcissement de la position de négociation de la Fédération de Russie", a-t-il prévenu. "Quant à une réaction militaire, nous savons comment et avec quoi répondre", a-t-il ajouté. La résidence de Vladimir Poutine à Valdaï a fait l'objet par le passé de plusieurs enquêtes journalistiques. En 2021, l'équipe de l'opposant Alexeï Navalny, mort en prison en 2024, avait publié une enquête affirmant que cette "datcha secrète" de Vladimir Poutine à Valdaï était très luxueuse. "Poutine adore le luxe" et "le cache soigneusement", indiquait-elle. Depuis le début de l'invasion russe à grande échelle de l'Ukraine, en 2022, Vladimir Poutine s'est davantage rendu dans cette résidence car elle est dans un endroit isolé et mieux protégé par les défenses antiaériennes, avait affirmé en novembre le média RFE/RL. Evacuations en Ukraine Pour sa part, depuis sa résidence en Floride, le président américain Donald Trump a réagi lundi soir à ces accusations. "Je n'aime pas ça", a-t-il dit. "C'est une période délicate. Ce n'est pas le bon moment", a-t-il ajouté. Parallèlement, plusieurs dirigeants occidentaux se sont entretenus mardi sur la situation en Ukraine, ont annoncé leurs équipes. Parmi les participants le Premier ministre polonais Donald Tusk, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et le chancelier allemand Friedrich Merz. Sur le terrain, les bombardements entre les deux camps se poursuivent. Dans la nuit de lundi à mardi, l'Ukraine a été visée par deux missiles et soixante drones russes, selon l'armée de l'air ukrainienne. Les autorités de la région de Tcherniguiv dans le nord de l'Ukraine ont par ailleurs ordonné mardi l'évacuation de 14 villages proches de la frontière avec le Bélarus et la Russie, en raison de bombardements russes quotidiens. Dans la matinée, la grande ville ukrainienne de Zaporijjia (sud) a, elle, été frappée par trois bombes aériennes russes, selon les autorités locales. Une femme a été blessée et plusieurs maisons et immeubles résidentiels endommagés. Une frappe de drone russe a tué mardi un homme dans le village de Vesselyanka, près de Zaporijjia, a indiqué le gouverneur, Ivan Fedorov.
Texte intégral (724 mots)
Ce soudain regain de tension diplomatique intervient peu après des déclarations américaines et ukrainiennes faisant état de progrès dans les discussions en vue d'un accord pouvant faire cesser l'invasion russe de l'Ukraine. Et ces accusations jettent le doute sur la poursuite des tractations diplomatiques engagées depuis novembre pour tenter de mettre fin au conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a néanmoins annoncé mardi qu'une réunion avec les dirigeants des pays alliés de Kiev était prévue le 6 janvier en France, après une rencontre le 3 janvier en Ukraine avec des conseillers à la sécurité d'Etats soutenant Kiev. Moscou a accusé lundi Kiev d'avoir visé dans la nuit de dimanche à lundi avec 91 drones une résidence de Vladimir Poutine située à Valdaï, entre Moscou et Saint-Pétersbourg, et hautement sécurisée. L'Ukraine a aussitôt démenti. Volodymyr Zelensky a répété mardi que ces accusations étaient "fausses". "Bien sûr, nos partenaires peuvent vérifier que c'est faux grâce à leurs capacités techniques", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse en ligne. Plus tôt, mardi, son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, a souligné que Moscou n'avait "toujours pas fourni de preuves plausibles". "Durcissement" M. Sybiga a regretté que les Emirats, l'Inde et le Pakistan se soient officiellement déclarés préoccupés par "une attaque qui n'a jamais eu lieu". Les accusations de Moscou sont intervenues au lendemain d'une rencontre en Floride entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue américain Donald Trump, qui pousse à une résolution du conflit lancé il y a près de quatre ans. Lors de son briefing quotidien mardi, auquel a participé l'AFP, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov n'a pas fourni de preuve, assurant que les drones avaient tous été abattus et qu'il faudrait de ce fait s'adresser au ministère russe de la Défense concernant la présence d'éventuels débris. "Les conséquences (de cette attaque) se traduiront par un durcissement de la position de négociation de la Fédération de Russie", a-t-il prévenu. "Quant à une réaction militaire, nous savons comment et avec quoi répondre", a-t-il ajouté. La résidence de Vladimir Poutine à Valdaï a fait l'objet par le passé de plusieurs enquêtes journalistiques. En 2021, l'équipe de l'opposant Alexeï Navalny, mort en prison en 2024, avait publié une enquête affirmant que cette "datcha secrète" de Vladimir Poutine à Valdaï était très luxueuse. "Poutine adore le luxe" et "le cache soigneusement", indiquait-elle. Depuis le début de l'invasion russe à grande échelle de l'Ukraine, en 2022, Vladimir Poutine s'est davantage rendu dans cette résidence car elle est dans un endroit isolé et mieux protégé par les défenses antiaériennes, avait affirmé en novembre le média RFE/RL. Evacuations en Ukraine Pour sa part, depuis sa résidence en Floride, le président américain Donald Trump a réagi lundi soir à ces accusations. "Je n'aime pas ça", a-t-il dit. "C'est une période délicate. Ce n'est pas le bon moment", a-t-il ajouté. Parallèlement, plusieurs dirigeants occidentaux se sont entretenus mardi sur la situation en Ukraine, ont annoncé leurs équipes. Parmi les participants le Premier ministre polonais Donald Tusk, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et le chancelier allemand Friedrich Merz. Sur le terrain, les bombardements entre les deux camps se poursuivent. Dans la nuit de lundi à mardi, l'Ukraine a été visée par deux missiles et soixante drones russes, selon l'armée de l'air ukrainienne. Les autorités de la région de Tcherniguiv dans le nord de l'Ukraine ont par ailleurs ordonné mardi l'évacuation de 14 villages proches de la frontière avec le Bélarus et la Russie, en raison de bombardements russes quotidiens. Dans la matinée, la grande ville ukrainienne de Zaporijjia (sud) a, elle, été frappée par trois bombes aériennes russes, selon les autorités locales. Une femme a été blessée et plusieurs maisons et immeubles résidentiels endommagés. Une frappe de drone russe a tué mardi un homme dans le village de Vesselyanka, près de Zaporijjia, a indiqué le gouverneur, Ivan Fedorov.

30.12.2025 à 18:13

Allemagne : braquage spectaculaire d'une banque, préjudice estimé à 30 millions d'euros par la police

FRANCE24
img
Les suspects ont dévalisé plus de 3.000 coffre-forts d'une succursale de la caisse d'épargne locale, contenant de l'argent, des bijoux ou de l'or, a indiqué mardi un porte-parole de la police de Gelsenkirchen à l'AFP. "Nous sommes sous le choc", a déclaré le porte-parole de la banque Frank Krallmann dans un communiqué. Plus de 95% des coffres ont été pillés. Avec une somme assurée moyenne de 10.000 euros par coffre, les enquêteurs estiment le montant des dommages à environ 30 millions d'euros. La banque est par ailleurs restée fermée mardi "pour des raisons de sécurité" selon la police car plusieurs clients, inquiets pour leurs biens, se sont rassemblés mardi matin devant la banque et ont proféré des "menaces" contre les employés. Sur une vidéo du quotidien Bild, on aperçoit plusieurs dizaines de personnes essayant de forcer l'accès au bâtiment malgré la présence de la police. La situation s'est calmée en début d'après midi, précise le porte-parole. La méthode employée pour le braquage a dérouté les enquêteurs : les voleurs ont foré un trou dans la salle des coffres à l'aide d'une perceuse géante. "C'est comme dans le film [ américain de casse] Ocean's eleven", résume la source policière, "tout s'est déroulé de manière très professionnelle". Les braqueurs ont aussi "profité du calme de Noël", ont précisé les policiers, la banque étant fermée à cette période. L'établissement a annoncé fermer la salle des coffres "jusqu'à nouvel ordre en raison des dommages matériels importants". La banque dit aussi examiner avec son assurance l'issue "la plus favorable pour les clients" et a mis en place une ligne téléphonique d'urgence. Le moment exact du casse demeure incertain. Selon la police, des témoins auraient aperçu plusieurs hommes dans la nuit de samedi à dimanche, munis de grands sacs dans la cage d'escalier d'un parking adjacent. Une Audi noire à la plaque d'immatriculation volée, conduite par des hommes masqués, a quitté ce même parking lundi au petit matin, d'après les vidéos de surveillance exploitées par la police. Le cambriolage avait été découvert lundi grâce à une alerte incendie reçue par les pompiers.
Lire plus (386 mots)
Les suspects ont dévalisé plus de 3.000 coffre-forts d'une succursale de la caisse d'épargne locale, contenant de l'argent, des bijoux ou de l'or, a indiqué mardi un porte-parole de la police de Gelsenkirchen à l'AFP. "Nous sommes sous le choc", a déclaré le porte-parole de la banque Frank Krallmann dans un communiqué. Plus de 95% des coffres ont été pillés. Avec une somme assurée moyenne de 10.000 euros par coffre, les enquêteurs estiment le montant des dommages à environ 30 millions d'euros. La banque est par ailleurs restée fermée mardi "pour des raisons de sécurité" selon la police car plusieurs clients, inquiets pour leurs biens, se sont rassemblés mardi matin devant la banque et ont proféré des "menaces" contre les employés. Sur une vidéo du quotidien Bild, on aperçoit plusieurs dizaines de personnes essayant de forcer l'accès au bâtiment malgré la présence de la police. La situation s'est calmée en début d'après midi, précise le porte-parole. La méthode employée pour le braquage a dérouté les enquêteurs : les voleurs ont foré un trou dans la salle des coffres à l'aide d'une perceuse géante. "C'est comme dans le film [ américain de casse] Ocean's eleven", résume la source policière, "tout s'est déroulé de manière très professionnelle". Les braqueurs ont aussi "profité du calme de Noël", ont précisé les policiers, la banque étant fermée à cette période. L'établissement a annoncé fermer la salle des coffres "jusqu'à nouvel ordre en raison des dommages matériels importants". La banque dit aussi examiner avec son assurance l'issue "la plus favorable pour les clients" et a mis en place une ligne téléphonique d'urgence. Le moment exact du casse demeure incertain. Selon la police, des témoins auraient aperçu plusieurs hommes dans la nuit de samedi à dimanche, munis de grands sacs dans la cage d'escalier d'un parking adjacent. Une Audi noire à la plaque d'immatriculation volée, conduite par des hommes masqués, a quitté ce même parking lundi au petit matin, d'après les vidéos de surveillance exploitées par la police. Le cambriolage avait été découvert lundi grâce à une alerte incendie reçue par les pompiers.

30.12.2025 à 17:59

Des artistes annulent leurs concerts au Kennedy Center, salle de spectacles rebaptisée par Trump

FRANCE24
img
Des musiciens devant jouer lors de représentations de fin d'année ont annoncé annuler leur performance, suscitant l'ire de Richard Grenell, président de l'institution. "Les artistes qui annulent aujourd'hui leurs spectacles avaient été engagés par la précédente direction d'extrême gauche", a-t-il écrit sur X lundi soir, les qualifiant de "militants". "Les arts sont pour tout le monde et la gauche en est furieuse", a-t-il ajouté, dénonçant un "boycott". Richard Grenell a également menacé l'un des artistes, Chuck Redd, de poursuites judiciaires et a demandé une compensation d'1 million de dollars, selon une lettre consultée par l'AFP, accusant le musicien d'"intolérance" et de "stratégies d'intimidation". Pour The Cookers, un groupe de jazz qui a décidé d'annuler son concert du 31 décembre, "le jazz est né de la lutte et d'une obstination sans relâche pour la liberté: liberté de pensée, d'expression", écrivent-ils dans un communiqué. "Nous ne tournons pas le dos à notre public, et nous voulons nous assurer que lorsque nous reviendrons sur scène, la salle pourra célébrer la présence totale de la musique et de tous ceux qui la composent". Doug Varone and Dancers, une compagnie de danse dont la performance à Washington était prévue en avril 2026, a justifié son choix lundi sur Instagram: "Suite à la dernière décision de Donald Trump de renommer la salle en son honneur, nous ne pouvons plus nous permettre, ni demander à notre public de mettre les pieds dans cette institution autrefois prestigieuse". Kristy Lee, une chanteuse de folk, a confié sur les réseaux sociaux qu'annuler son concert prévu en janvier 2026 "fait mal. C'est comme ça que je paye mes factures. Mais perdre mon intégrité me coûterait plus cher que n'importe quel salaire". Le changement de nom du Kennedy Center, opéré mi-décembre, est l'ultime symbole de sa prise de contrôle par le président américain. Il a été dénoncé par la famille du président Kennedy et l'opposition démocrate. La nouvelle direction y a par ailleurs supprimé les drag shows et les événements célébrant la communauté LGBT+. Elle a organisé des conférences de la droite religieuse et invité des artistes chrétiens. Selon la presse américaine, les ventes de billets ont baissé depuis l'arrivée du nouveau conseil d'administration.
Lire plus (400 mots)
Des musiciens devant jouer lors de représentations de fin d'année ont annoncé annuler leur performance, suscitant l'ire de Richard Grenell, président de l'institution. "Les artistes qui annulent aujourd'hui leurs spectacles avaient été engagés par la précédente direction d'extrême gauche", a-t-il écrit sur X lundi soir, les qualifiant de "militants". "Les arts sont pour tout le monde et la gauche en est furieuse", a-t-il ajouté, dénonçant un "boycott". Richard Grenell a également menacé l'un des artistes, Chuck Redd, de poursuites judiciaires et a demandé une compensation d'1 million de dollars, selon une lettre consultée par l'AFP, accusant le musicien d'"intolérance" et de "stratégies d'intimidation". Pour The Cookers, un groupe de jazz qui a décidé d'annuler son concert du 31 décembre, "le jazz est né de la lutte et d'une obstination sans relâche pour la liberté: liberté de pensée, d'expression", écrivent-ils dans un communiqué. "Nous ne tournons pas le dos à notre public, et nous voulons nous assurer que lorsque nous reviendrons sur scène, la salle pourra célébrer la présence totale de la musique et de tous ceux qui la composent". Doug Varone and Dancers, une compagnie de danse dont la performance à Washington était prévue en avril 2026, a justifié son choix lundi sur Instagram: "Suite à la dernière décision de Donald Trump de renommer la salle en son honneur, nous ne pouvons plus nous permettre, ni demander à notre public de mettre les pieds dans cette institution autrefois prestigieuse". Kristy Lee, une chanteuse de folk, a confié sur les réseaux sociaux qu'annuler son concert prévu en janvier 2026 "fait mal. C'est comme ça que je paye mes factures. Mais perdre mon intégrité me coûterait plus cher que n'importe quel salaire". Le changement de nom du Kennedy Center, opéré mi-décembre, est l'ultime symbole de sa prise de contrôle par le président américain. Il a été dénoncé par la famille du président Kennedy et l'opposition démocrate. La nouvelle direction y a par ailleurs supprimé les drag shows et les événements célébrant la communauté LGBT+. Elle a organisé des conférences de la droite religieuse et invité des artistes chrétiens. Selon la presse américaine, les ventes de billets ont baissé depuis l'arrivée du nouveau conseil d'administration.

30.12.2025 à 17:53

Les Bourses européennes terminent en hausse

FRANCE24
img
La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,69% et Londres de 0,75%.
Lire plus (400 mots)
La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,69% et Londres de 0,75%.
15 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞