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03.12.2025 à 13:07

CAN 2025, quand le cœur des binationaux balance

Stéphanie TROUILLARD
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Nés à Paris, Madrid ou Bruxelles, ils ont grandi avec deux cultures et deux drapeaux. À l’heure de la CAN 2025, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d’origine de leurs parents.
Nés à Paris, Madrid ou Bruxelles, ils ont grandi avec deux cultures et deux drapeaux. À l’heure de la CAN 2025, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d’origine de leurs parents.

03.12.2025 à 12:59

Guerre en Ukraine: de nouvelles négociations prévues après la rencontre Poutine-Witkoff

FRANCE24
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Ces dernières semaines, Washington cherche à faire adopter un plan de paix par les deux camps après presque quatre ans de combats déclenchés par l'offensive du Kremlin contre l'Ukraine en 2022. Mais la recherche d'un compromis est très difficile, alors que sur le front l'armée russe continue de progresser. Côté ukrainien, le négociateur de Kiev, Roustem Oumerov, doit rencontrer les Européens mercredi à Bruxelles puis commencera avec le chef d'état-major des forces armées, Andriï Gnatov, "les préparatifs d'une réunion avec les émissaires du président Trump aux Etats-Unis", a annoncé le dirigeant Volodymyr Zelensky, sans plus de détails. M. Oumerov, accompagné d'une délégation ukrainienne, avait déjà mené dimanche des pourparlers en Floride sur ce plan de paix. Pour sa part, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a affirmé mercredi que Moscou était prêt à rencontrer "autant que nécessaire" des responsables américains pour trouver une issue au conflit. Cette intense activité diplomatique n'a pas permis pour l'heure d'atteindre un accord, en particulier sur la question clé des territoires: Moscou veut notamment que Kiev lui cède entièrement la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, qui est toujours l'épicentre des combats. L'émissaire américain Steve Witkoff, accompagné du gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner, s'est entretenu mardi pendant près de cinq heures au Kremlin avec Vladimir Poutine à propos de ce plan présenté par Washington il y a deux semaines et depuis retravaillé lors de consultations avec les Ukrainiens. Sur la question des territoires contrôlés par la Russie en Ukraine, qui représentent environ 19% du pays, "aucune solution de compromis n'a encore été choisie", même si "certaines propositions américaines peuvent être discutées", a ensuite déclaré le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov. "Nous avons pu nous mettre d'accord sur certains points (...), d'autres ont suscité des critiques, mais l'essentiel est qu'une discussion constructive ait eu lieu", a-t-il ajouté. Menaces de Poutine Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine a menacé les Européens, les accusant de chercher à "empêcher" les efforts de Washington pour arrêter le conflit. "Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant", a-t-il lancé aux journalistes, en marge d'un forum économique. Des propos qui tranchent avec ceux du chef de l'Otan, Mark Rutte, qui s'est dit peu avant convaincu que les efforts américains en Ukraine "finiront par rétablir la paix en Europe". Donald Trump a répété mardi que le règlement du conflit en Ukraine était une question complexe. "Ce n'est pas une situation facile, croyez-moi. Quel gâchis", a-t-il dit. Les Européens craignent que l'administration Trump, soupçonnée de complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifie la souveraineté de l'Ukraine, considérée comme un rempart face à la Russie. Sur le front, les forces russes, plus nombreuses, poursuivent une avancée continue, bien que lente, dans certains secteurs. Elles ont réalisé en novembre leur plus grosse progression depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP, émanation de l'American Enterprise Institute), deux centres de réflexion américains spécialisés dans l'étude des conflits. Mercredi, elles ont revendiqué la prise du village Tchervoné situé dans la région de Zaporijjia (sud) à seulement quelques kilomètres de Gouliaïpole, une ville ayant notamment une valeur historique et symbolique pour Kiev. Ces dernières semaines, la Russie a mené des avancées dans cette zone, tout en continuant à progresser dans d'autres régions. Lundi, elle a revendiqué la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un carrefour clé pour Kiev, ainsi que celle de Vovtchansk, dans le nord-est. Mais l'Ukraine a affirmé mardi que les combats à Pokrovsk se poursuivaient.
Texte intégral (679 mots)
Ces dernières semaines, Washington cherche à faire adopter un plan de paix par les deux camps après presque quatre ans de combats déclenchés par l'offensive du Kremlin contre l'Ukraine en 2022. Mais la recherche d'un compromis est très difficile, alors que sur le front l'armée russe continue de progresser. Côté ukrainien, le négociateur de Kiev, Roustem Oumerov, doit rencontrer les Européens mercredi à Bruxelles puis commencera avec le chef d'état-major des forces armées, Andriï Gnatov, "les préparatifs d'une réunion avec les émissaires du président Trump aux Etats-Unis", a annoncé le dirigeant Volodymyr Zelensky, sans plus de détails. M. Oumerov, accompagné d'une délégation ukrainienne, avait déjà mené dimanche des pourparlers en Floride sur ce plan de paix. Pour sa part, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a affirmé mercredi que Moscou était prêt à rencontrer "autant que nécessaire" des responsables américains pour trouver une issue au conflit. Cette intense activité diplomatique n'a pas permis pour l'heure d'atteindre un accord, en particulier sur la question clé des territoires: Moscou veut notamment que Kiev lui cède entièrement la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, qui est toujours l'épicentre des combats. L'émissaire américain Steve Witkoff, accompagné du gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner, s'est entretenu mardi pendant près de cinq heures au Kremlin avec Vladimir Poutine à propos de ce plan présenté par Washington il y a deux semaines et depuis retravaillé lors de consultations avec les Ukrainiens. Sur la question des territoires contrôlés par la Russie en Ukraine, qui représentent environ 19% du pays, "aucune solution de compromis n'a encore été choisie", même si "certaines propositions américaines peuvent être discutées", a ensuite déclaré le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov. "Nous avons pu nous mettre d'accord sur certains points (...), d'autres ont suscité des critiques, mais l'essentiel est qu'une discussion constructive ait eu lieu", a-t-il ajouté. Menaces de Poutine Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine a menacé les Européens, les accusant de chercher à "empêcher" les efforts de Washington pour arrêter le conflit. "Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant", a-t-il lancé aux journalistes, en marge d'un forum économique. Des propos qui tranchent avec ceux du chef de l'Otan, Mark Rutte, qui s'est dit peu avant convaincu que les efforts américains en Ukraine "finiront par rétablir la paix en Europe". Donald Trump a répété mardi que le règlement du conflit en Ukraine était une question complexe. "Ce n'est pas une situation facile, croyez-moi. Quel gâchis", a-t-il dit. Les Européens craignent que l'administration Trump, soupçonnée de complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifie la souveraineté de l'Ukraine, considérée comme un rempart face à la Russie. Sur le front, les forces russes, plus nombreuses, poursuivent une avancée continue, bien que lente, dans certains secteurs. Elles ont réalisé en novembre leur plus grosse progression depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP, émanation de l'American Enterprise Institute), deux centres de réflexion américains spécialisés dans l'étude des conflits. Mercredi, elles ont revendiqué la prise du village Tchervoné situé dans la région de Zaporijjia (sud) à seulement quelques kilomètres de Gouliaïpole, une ville ayant notamment une valeur historique et symbolique pour Kiev. Ces dernières semaines, la Russie a mené des avancées dans cette zone, tout en continuant à progresser dans d'autres régions. Lundi, elle a revendiqué la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un carrefour clé pour Kiev, ainsi que celle de Vovtchansk, dans le nord-est. Mais l'Ukraine a affirmé mardi que les combats à Pokrovsk se poursuivaient.

03.12.2025 à 12:29

Premières discussions directes entre le Liban et Israël pour réduire la tension

FRANCE24
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Cette réunion intervient alors qu'Israël menace d'une escalade au Liban, où il continue de viser le Hezbollah malgré le cessez-le-feu en cours depuis un an, accusant la formation pro-iranienne de se réarmer. Israël a annoncé mercredi l'envoi d'un émissaire pour une rencontre avec des responsables au Liban, présentant cela comme une "première tentative pour établir une base de relations et de coopération économique" entre les deux pays ennemis depuis des décennies. La présidence libanaise a pour sa part annoncé mercredi avoir nommé un ancien diplomate à la tête de la délégation libanaise aux réunions du mécanisme et indiqué qu'Israël avait fait de même. Le comité de surveillance du cessez-le-feu est réuni mercredi au siège des forces de l'ONU à Naqoura, localité libanaise frontalière d'Israël, a indiqué à l'AFP une source proche des participants. Elle a précisé que les délégations du Liban et d'Israël y sont dirigées par des civils, et que l'émissaire américaine pour le Proche-Orient Morgan Ortagus participe à la réunion. Désarmement "crucial" Des militaires représentaient jusqu'à présent le Liban et Israël aux réunions de cet organisme dirigé par les Etats-Unis et qui comprend également la France et l'ONU. La délégation libanaise évitait tout contact direct avec la partie israélienne, selon une source diplomatique qui a requis l'anonymat. La rencontre intervient au lendemain de réunions de Mme Ortagus avec des responsables israéliens, dont le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui a affirmé sur X que "le désarmement du Hezbollah est crucial pour l'avenir du Liban et la sécurité d'Israël". L'émissaire américaine est par la suite attendue au Liban. En novembre, l'émissaire américain Tom Barrack avait estimé que des négociations directes entre le Liban et Israël pourraient être la clé pour réduire la tension. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "a chargé le directeur par intérim du Conseil de sécurité nationale d'envoyer un représentant de sa part à une réunion avec des responsables gouvernementaux et économiques au Liban", a indiqué un communiqué de son bureau sans plus de précisions. Peu auparavant, la porte-parole de la présidence libanaise, Najat Charafeddine, a avait annoncé dans un communiqué à la télévision que "le président Joseph Aoun a décidé de charger l'ancien ambassadeur Simon Karam de présider la délégation libanaise aux réunions du mécanisme". Elle a précisé que cette décision avait été prise "suite à la demande des Etats-Unis (...) et après avoir été informés qu'Israël acceptait de joindre un membre non militaire à sa délégation". Le président libanais s'était déclaré prêt à des négociations avec Israël, brisant un tabou entre les deux pays toujours en état de guerre. En 1983, après l’invasion israélienne du Liban, les deux pays avaient mené des contacts directs qui avaient abouti à la signature d’un accord prévoyant l’établissement de relations entre eux, mais il n'a jamais été ratifié. "Pas de calme" Depuis plusieurs semaines, la presse israélienne multiplie les articles sur la possible imminence d'une nouvelle campagne militaire israélienne contre le Hezbollah au Liban. Selon la radio-télévision publique israélienne, "Israël se prépare à une escalade majeure au Liban à la lumière du renforcement militaire en cours du Hezbollah", a affirmé la radio-télévision publique israélienne mercredi. "Washington tente d'apaiser les tensions, mais des responsables israéliens affirment qu'une escalade semble inévitable", a-t-elle ajouté. Il n'y aura "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, avait déclaré le ministre de la Défense israélien Israël Katz le 26 novembre. "Nous ne permettrons aucune menace contre les habitants du nord (d'Israël), et une pression maximale continuera à être exercée et même s'intensifiera", avait-il dit devant le Parlement israélien, avançant pour preuve "l'élimination" le 23 novembre à Beyrouth du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai. Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a déclaré le 28 novembre que son mouvement se réservait "le droit de répondre" en temps voulu à cet assassinat.
Texte intégral (725 mots)
Cette réunion intervient alors qu'Israël menace d'une escalade au Liban, où il continue de viser le Hezbollah malgré le cessez-le-feu en cours depuis un an, accusant la formation pro-iranienne de se réarmer. Israël a annoncé mercredi l'envoi d'un émissaire pour une rencontre avec des responsables au Liban, présentant cela comme une "première tentative pour établir une base de relations et de coopération économique" entre les deux pays ennemis depuis des décennies. La présidence libanaise a pour sa part annoncé mercredi avoir nommé un ancien diplomate à la tête de la délégation libanaise aux réunions du mécanisme et indiqué qu'Israël avait fait de même. Le comité de surveillance du cessez-le-feu est réuni mercredi au siège des forces de l'ONU à Naqoura, localité libanaise frontalière d'Israël, a indiqué à l'AFP une source proche des participants. Elle a précisé que les délégations du Liban et d'Israël y sont dirigées par des civils, et que l'émissaire américaine pour le Proche-Orient Morgan Ortagus participe à la réunion. Désarmement "crucial" Des militaires représentaient jusqu'à présent le Liban et Israël aux réunions de cet organisme dirigé par les Etats-Unis et qui comprend également la France et l'ONU. La délégation libanaise évitait tout contact direct avec la partie israélienne, selon une source diplomatique qui a requis l'anonymat. La rencontre intervient au lendemain de réunions de Mme Ortagus avec des responsables israéliens, dont le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui a affirmé sur X que "le désarmement du Hezbollah est crucial pour l'avenir du Liban et la sécurité d'Israël". L'émissaire américaine est par la suite attendue au Liban. En novembre, l'émissaire américain Tom Barrack avait estimé que des négociations directes entre le Liban et Israël pourraient être la clé pour réduire la tension. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "a chargé le directeur par intérim du Conseil de sécurité nationale d'envoyer un représentant de sa part à une réunion avec des responsables gouvernementaux et économiques au Liban", a indiqué un communiqué de son bureau sans plus de précisions. Peu auparavant, la porte-parole de la présidence libanaise, Najat Charafeddine, a avait annoncé dans un communiqué à la télévision que "le président Joseph Aoun a décidé de charger l'ancien ambassadeur Simon Karam de présider la délégation libanaise aux réunions du mécanisme". Elle a précisé que cette décision avait été prise "suite à la demande des Etats-Unis (...) et après avoir été informés qu'Israël acceptait de joindre un membre non militaire à sa délégation". Le président libanais s'était déclaré prêt à des négociations avec Israël, brisant un tabou entre les deux pays toujours en état de guerre. En 1983, après l’invasion israélienne du Liban, les deux pays avaient mené des contacts directs qui avaient abouti à la signature d’un accord prévoyant l’établissement de relations entre eux, mais il n'a jamais été ratifié. "Pas de calme" Depuis plusieurs semaines, la presse israélienne multiplie les articles sur la possible imminence d'une nouvelle campagne militaire israélienne contre le Hezbollah au Liban. Selon la radio-télévision publique israélienne, "Israël se prépare à une escalade majeure au Liban à la lumière du renforcement militaire en cours du Hezbollah", a affirmé la radio-télévision publique israélienne mercredi. "Washington tente d'apaiser les tensions, mais des responsables israéliens affirment qu'une escalade semble inévitable", a-t-elle ajouté. Il n'y aura "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, avait déclaré le ministre de la Défense israélien Israël Katz le 26 novembre. "Nous ne permettrons aucune menace contre les habitants du nord (d'Israël), et une pression maximale continuera à être exercée et même s'intensifiera", avait-il dit devant le Parlement israélien, avançant pour preuve "l'élimination" le 23 novembre à Beyrouth du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai. Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a déclaré le 28 novembre que son mouvement se réservait "le droit de répondre" en temps voulu à cet assassinat.

03.12.2025 à 12:09

Coupe du monde de rugby 2027 : la composition des poules

David GORMEZANO
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La 11e édition de la Coupe du monde masculine de rugby aura lieu en Australie, du 1ᵉʳ octobre au 3 novembre 2027. Pour la première fois, la compétition verra s'affronter 24 équipes réparties en six groupes avec l'introduction de huitièmes de finale. Le XV de France a hérité d'un groupe favorable, tandis que Nouvelle-Zélande et le pays hôte, l'Australie, s'affronteront dès les poules. France 24 fait le point sur le tirage au sort.
Texte intégral (725 mots)
La 11e édition de la Coupe du monde masculine de rugby aura lieu en Australie, du 1ᵉʳ octobre au 3 novembre 2027. Pour la première fois, la compétition verra s'affronter 24 équipes réparties en six groupes avec l'introduction de huitièmes de finale. Le XV de France a hérité d'un groupe favorable, tandis que Nouvelle-Zélande et le pays hôte, l'Australie, s'affronteront dès les poules. France 24 fait le point sur le tirage au sort.

03.12.2025 à 11:56

Plan de paix pour l'Ukraine : "aucun compromis" sur les territoires occupés par la Russie

FRANCE24
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"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. Les précisions de Gulliver Cragg, correspondant France 24 à Kiev.
Texte intégral (725 mots)
"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. Les précisions de Gulliver Cragg, correspondant France 24 à Kiev.

03.12.2025 à 11:33

Airbags Takata : la CLCV lance une action de groupe contre Stellantis

FRANCE24
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La CLCV a décidé de saisir le tribunal judiciaire de Paris afin de "faire valoir le préjudice" des propriétaires de véhicules concernés par la campagne de rappel jugée "tardive, partielle et désorganisée" par l'association. Actuellement, quelque 1,7 million de véhicules font l'objet en France d'un rappel "Stop drive", qui implique de ne plus rouler avant le remplacement (gratuit) des airbags du véhicule. Les airbags Takata ont provoqué selon le ministère des Transports 18 morts et 25 blessés en France - dont 16 décès dans les Outre-Mer - et au moins trois des automobilistes tués ces dernières années conduisaient une Citroën C3. Les morts ou les graves blessures liées à ces airbags sont causées par un gaz, le nitrate d'ammonium, qui se dégrade avec le temps, particulièrement dans les climats chauds et humides: les coussins de sécurité des véhicules se déclenchent alors même en cas de collision mineure, provoquant une explosion identique à celle d'une grenade et projetant dans l'habitacle des pièces de métal et de plastique. La CLCV dénonce plusieurs préjudices engendrés par la mesure de rappel auprès des propriétaires de véhicules concernés dont des préjudices "matériels" et de "jouissance" liés à l'immobilisation des véhicules ainsi que des préjudices moraux comme le "préjudice d'anxiété". Stellantis n'a pas souhaité commenter la procédure en cours mais a tenu à rappeler à l'AFP que le groupe "mobilise l'ensemble de son réseau et met en oeuvre les moyens les plus importants pour garantir la sécurité de ses clients". Le constructeur a également précisé que 70% des véhicules de sa flotte française des marques Citroën, DS et Opel "ont été traités" dont 90% des véhicules C3 et DS3. UFC-Que Choisir, autre grande association de consommateurs, avait lancé en juillet pour la première fois en France une action de groupe contre Stellantis. Aux Etats-Unis, pays le plus touché avec 28 morts, Ford, Toyota, Honda, BMW, Nissan et Mazda ont versé un total de 1,5 milliard de dollars d'indemnisations aux victimes.
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La CLCV a décidé de saisir le tribunal judiciaire de Paris afin de "faire valoir le préjudice" des propriétaires de véhicules concernés par la campagne de rappel jugée "tardive, partielle et désorganisée" par l'association. Actuellement, quelque 1,7 million de véhicules font l'objet en France d'un rappel "Stop drive", qui implique de ne plus rouler avant le remplacement (gratuit) des airbags du véhicule. Les airbags Takata ont provoqué selon le ministère des Transports 18 morts et 25 blessés en France - dont 16 décès dans les Outre-Mer - et au moins trois des automobilistes tués ces dernières années conduisaient une Citroën C3. Les morts ou les graves blessures liées à ces airbags sont causées par un gaz, le nitrate d'ammonium, qui se dégrade avec le temps, particulièrement dans les climats chauds et humides: les coussins de sécurité des véhicules se déclenchent alors même en cas de collision mineure, provoquant une explosion identique à celle d'une grenade et projetant dans l'habitacle des pièces de métal et de plastique. La CLCV dénonce plusieurs préjudices engendrés par la mesure de rappel auprès des propriétaires de véhicules concernés dont des préjudices "matériels" et de "jouissance" liés à l'immobilisation des véhicules ainsi que des préjudices moraux comme le "préjudice d'anxiété". Stellantis n'a pas souhaité commenter la procédure en cours mais a tenu à rappeler à l'AFP que le groupe "mobilise l'ensemble de son réseau et met en oeuvre les moyens les plus importants pour garantir la sécurité de ses clients". Le constructeur a également précisé que 70% des véhicules de sa flotte française des marques Citroën, DS et Opel "ont été traités" dont 90% des véhicules C3 et DS3. UFC-Que Choisir, autre grande association de consommateurs, avait lancé en juillet pour la première fois en France une action de groupe contre Stellantis. Aux Etats-Unis, pays le plus touché avec 28 morts, Ford, Toyota, Honda, BMW, Nissan et Mazda ont versé un total de 1,5 milliard de dollars d'indemnisations aux victimes.

03.12.2025 à 11:25

Inondation au Sri Lanka: dans les quartiers noyés de Colombo, le nettoyage a commencé

FRANCE24
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Quand elle est revenue dans son quartier d'Angoda, cette femme de 69 ans a été prise de panique. Sa maison et ses environs continuent à baigner dans plus de 30 centimètres d'eau chargée de boue. De la batterie de chauffe-plats et de marmites qu'elle louait pour vivre, il ne reste plus une trace. "Au moins trois buffets ont disparu", constate-t-elle, laconique. "Tous mes ustensiles en acier inoxydable ont vraisemblablement rejoint l'océan Indien à l'heure qu'il est. Et mes chaises en plastique aussi..." "Je suis restée jusqu'au lever du jour parce que je sais nager", confie la commerçante, "mais quand la crue a atteint les 2,5 m, il a fallu que je parte". Inondations et glissements de terrain ont causé la mort d'au moins 474 personnes, selon le dernier bilan publié mercredi par l'agence de gestion des catastrophes (DMC), et presque 400 autres étaient encore portées disparues. Le nombre de sinistrés a passé la barre des 1,5 million dans l'ensemble du pays, faisant de Ditwah la catastrophe la plus grave ayant frappé la grande île d'Asie du Sud depuis le tsunami meurtrier de 2004. Gadoue Dans un pays qui émerge à peine de la pire crise économique de son histoire, en 2022, le coût de la reconstruction s'annonce très lourd. Pas moins de 6 à 7 milliards de dollars, selon le gouvernement. Comme beaucoup d'autres habitants d'Angoda, Sanjaya Tissara, 31 ans, a perdu beaucoup. Sa maison de deux étages est envahie par une épaisse gadoue visqueuse. "J'avais tout un stock de composants électroniques pour le magasin d'informatique que je tiens lorsque je n'enseigne pas", décrit le professeur. "J'ai eu le temps d'en sauver une partie en le déplaçant au premier étage mais le reste a été perdu dans les inondations". "Nous avons subi une forte crue en 2016, les eaux étaient montées jusqu'à un bon mètre", se souvient Sanjaya Tissara, "cette fois, elles ont atteint près de 2 m". En 2016, le débordement du Kelani avait fait 71 morts. A la faveur de la décrue, l'enseignant a retroussé ses manches et commencé le nettoyage de son domicile. A côté de chez lui, son voisin R.M.V. Latih, 51 ans, employé dans une compagnie pétrolière, s'active aussi. "J'ai demandé à quelques proches de venir me donner un petit coup de main parce qu'il est impossible de faire tout ça tout seul", lance-t-il. Autour de lui, des volontaires et l'armée distribuent de la nourriture. Et le gouvernement a promis une aide de 25.000 roupies srilankaises (environ 75 euros) à chaque famille dont le domicile a été envahi par les eaux. Mais R.M.V. Lathi sait que le travail sera long, très long même. "Nous avons réussi à sauver quelques meubles en les déménageant à l'étage", souffle-t-il, "mais la cuisine est un sacré foutoir..."
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Quand elle est revenue dans son quartier d'Angoda, cette femme de 69 ans a été prise de panique. Sa maison et ses environs continuent à baigner dans plus de 30 centimètres d'eau chargée de boue. De la batterie de chauffe-plats et de marmites qu'elle louait pour vivre, il ne reste plus une trace. "Au moins trois buffets ont disparu", constate-t-elle, laconique. "Tous mes ustensiles en acier inoxydable ont vraisemblablement rejoint l'océan Indien à l'heure qu'il est. Et mes chaises en plastique aussi..." "Je suis restée jusqu'au lever du jour parce que je sais nager", confie la commerçante, "mais quand la crue a atteint les 2,5 m, il a fallu que je parte". Inondations et glissements de terrain ont causé la mort d'au moins 474 personnes, selon le dernier bilan publié mercredi par l'agence de gestion des catastrophes (DMC), et presque 400 autres étaient encore portées disparues. Le nombre de sinistrés a passé la barre des 1,5 million dans l'ensemble du pays, faisant de Ditwah la catastrophe la plus grave ayant frappé la grande île d'Asie du Sud depuis le tsunami meurtrier de 2004. Gadoue Dans un pays qui émerge à peine de la pire crise économique de son histoire, en 2022, le coût de la reconstruction s'annonce très lourd. Pas moins de 6 à 7 milliards de dollars, selon le gouvernement. Comme beaucoup d'autres habitants d'Angoda, Sanjaya Tissara, 31 ans, a perdu beaucoup. Sa maison de deux étages est envahie par une épaisse gadoue visqueuse. "J'avais tout un stock de composants électroniques pour le magasin d'informatique que je tiens lorsque je n'enseigne pas", décrit le professeur. "J'ai eu le temps d'en sauver une partie en le déplaçant au premier étage mais le reste a été perdu dans les inondations". "Nous avons subi une forte crue en 2016, les eaux étaient montées jusqu'à un bon mètre", se souvient Sanjaya Tissara, "cette fois, elles ont atteint près de 2 m". En 2016, le débordement du Kelani avait fait 71 morts. A la faveur de la décrue, l'enseignant a retroussé ses manches et commencé le nettoyage de son domicile. A côté de chez lui, son voisin R.M.V. Latih, 51 ans, employé dans une compagnie pétrolière, s'active aussi. "J'ai demandé à quelques proches de venir me donner un petit coup de main parce qu'il est impossible de faire tout ça tout seul", lance-t-il. Autour de lui, des volontaires et l'armée distribuent de la nourriture. Et le gouvernement a promis une aide de 25.000 roupies srilankaises (environ 75 euros) à chaque famille dont le domicile a été envahi par les eaux. Mais R.M.V. Lathi sait que le travail sera long, très long même. "Nous avons réussi à sauver quelques meubles en les déménageant à l'étage", souffle-t-il, "mais la cuisine est un sacré foutoir..."

03.12.2025 à 11:23

Christophe Gleizes : un procès à "haut risque"

Natalia ODISHARIA
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À la Une de la presse, mercredi : le jugement en appel du journaliste Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie en juin 2024, notamment pour "apologie du terrorisme" ; pas d’avancées majeures dans les négociations à Moscou sur la fin du conflit en Ukraine ; et un médicament miracle pour les chats en surpoids, la "prochaine grande innovation", selon les vétérinaires.
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À la Une de la presse, mercredi : le jugement en appel du journaliste Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie en juin 2024, notamment pour "apologie du terrorisme" ; pas d’avancées majeures dans les négociations à Moscou sur la fin du conflit en Ukraine ; et un médicament miracle pour les chats en surpoids, la "prochaine grande innovation", selon les vétérinaires.

03.12.2025 à 11:22

Israël annonce l'ouverture du poste-frontière de Rafah pour sortir de Gaza, l'Égypte dément

FRANCE 24
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Le point de passage de Rafah ouvrira dans les prochains jours afin de permettre aux habitants de la bande de Gaza de se rendre en Égypte, a déclaré mercredi le Cogat, l'organisme militaire israélien chargé de l'administration civile des territoires palestiniens. Une information démentie peu après par l'Égypte. 
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Le point de passage de Rafah ouvrira dans les prochains jours afin de permettre aux habitants de la bande de Gaza de se rendre en Égypte, a déclaré mercredi le Cogat, l'organisme militaire israélien chargé de l'administration civile des territoires palestiniens. Une information démentie peu après par l'Égypte. 

03.12.2025 à 11:12

Plan de paix pour l'Ukraine : que retenir de la rencontre entre Poutine et Witkoff ?

FRANCE24
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"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine.
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"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine.

03.12.2025 à 11:09

Terres rares : le plan européen pour réduire la dépendance à la Chine

Christophe DANSETTE
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La Commission européenne présente ce mercredi un nouveau dispositif destiné à sécuriser l’accès de l’UE aux matières premières critiques. Une accélération rendue indispensable après une crise en octobre qui a failli bloquer plusieurs chaînes de production automobile en Europe.
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La Commission européenne présente ce mercredi un nouveau dispositif destiné à sécuriser l’accès de l’UE aux matières premières critiques. Une accélération rendue indispensable après une crise en octobre qui a failli bloquer plusieurs chaînes de production automobile en Europe.

03.12.2025 à 10:59

Objets en plastique interdits: Amazon, Temu et Metro mis en demeure par deux associations

FRANCE24
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En ligne ou directement en magasin, l'association France Nature Environnement (FNE) et l'ONG européenne Surfrider ont retrouvé plusieurs produits interdits à la vente depuis la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire de 2020. Des gobelets jetables ont ainsi été retrouvés chez le grossiste allemand Metro et sur la plateforme en ligne asiatique Temu, alors que des couverts et couvercles à boissons en plastique ont été débusqués chez le géant américain Amazon. Metro a indiqué aux associations avoir retiré de son site les produits signalés. Contactée par l'AFP, l'entreprise confirme et précise que les produits étaient vendus en ligne et non dans ses 99 halles en France. Le grossiste indique "renforcer ses contrôles" pour "éviter que cette situation ne se reproduise". Retirer les objets ciblés est "une réaction positive mais insuffisante si elle n'est pas généralisée à l'ensemble des produits interdits. Sans davantage de contrôles de la part de ces enseignes d'ici trois mois, FNE et Surfrider Foundation Europe agiront en justice", assurent les associations. Sollicité par l'AFP, Amazon a déclaré que les produits ont fait l'objet d'investigations et ont été retirés. Amazon dit exiger que tous les produits qu'il propose respectent les lois et mettre en place des contrôles proactifs ainsi que des sanctions pour les vendeurs tiers contrevenants. "Temu n'autorise pas les vendeurs tiers à proposer des produits qui ne respectent pas les lois et réglementations en vigueur, et retire de la plateforme tout article non conforme dès qu'il est identifié", indique de son côté le site asiatique, qui dit avoir également instauré "un système de détection proactive". Amazon comme Temu expliquent utiliser des contrôles à la fois automatisés et humains pour éviter toute vente de produits illicites. De son côté, la Foir'Fouille a "immédiatement procédé aux vérifications nécessaires" après la mise en demeure, explique la chaîne de magasins discount. "Après contrôle, il s'avère que ces articles sont réutilisables et non des produits en plastique à usage unique interdits", continue la Foir'Fouille. "Le fournisseur a réalisé des tests attestant de leur résistance à minimum 20 cycles de lavage au lave-vaisselle, conformément à la norme". La Boutique du jetable, contactée par l'AFP, n'a pas répondu. Fin 2024, la Répression des fraudes (DGCCRF) avait indiqué qu'une entreprise sur cinq était en infraction avec l'interdiction de vente ou de mise à disposition de certains produits jetables en plastique, qui peuvent être néfastes pour la santé et l'environnement.
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En ligne ou directement en magasin, l'association France Nature Environnement (FNE) et l'ONG européenne Surfrider ont retrouvé plusieurs produits interdits à la vente depuis la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire de 2020. Des gobelets jetables ont ainsi été retrouvés chez le grossiste allemand Metro et sur la plateforme en ligne asiatique Temu, alors que des couverts et couvercles à boissons en plastique ont été débusqués chez le géant américain Amazon. Metro a indiqué aux associations avoir retiré de son site les produits signalés. Contactée par l'AFP, l'entreprise confirme et précise que les produits étaient vendus en ligne et non dans ses 99 halles en France. Le grossiste indique "renforcer ses contrôles" pour "éviter que cette situation ne se reproduise". Retirer les objets ciblés est "une réaction positive mais insuffisante si elle n'est pas généralisée à l'ensemble des produits interdits. Sans davantage de contrôles de la part de ces enseignes d'ici trois mois, FNE et Surfrider Foundation Europe agiront en justice", assurent les associations. Sollicité par l'AFP, Amazon a déclaré que les produits ont fait l'objet d'investigations et ont été retirés. Amazon dit exiger que tous les produits qu'il propose respectent les lois et mettre en place des contrôles proactifs ainsi que des sanctions pour les vendeurs tiers contrevenants. "Temu n'autorise pas les vendeurs tiers à proposer des produits qui ne respectent pas les lois et réglementations en vigueur, et retire de la plateforme tout article non conforme dès qu'il est identifié", indique de son côté le site asiatique, qui dit avoir également instauré "un système de détection proactive". Amazon comme Temu expliquent utiliser des contrôles à la fois automatisés et humains pour éviter toute vente de produits illicites. De son côté, la Foir'Fouille a "immédiatement procédé aux vérifications nécessaires" après la mise en demeure, explique la chaîne de magasins discount. "Après contrôle, il s'avère que ces articles sont réutilisables et non des produits en plastique à usage unique interdits", continue la Foir'Fouille. "Le fournisseur a réalisé des tests attestant de leur résistance à minimum 20 cycles de lavage au lave-vaisselle, conformément à la norme". La Boutique du jetable, contactée par l'AFP, n'a pas répondu. Fin 2024, la Répression des fraudes (DGCCRF) avait indiqué qu'une entreprise sur cinq était en infraction avec l'interdiction de vente ou de mise à disposition de certains produits jetables en plastique, qui peuvent être néfastes pour la santé et l'environnement.

03.12.2025 à 10:53

Cookies publicitaires: la filiale française d'American Express écope de 1,5 million d'euros d'amende

FRANCE24
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La société a été sanctionnée "pour le non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies)" sur son site web français, a indiqué la Cnil dans un communiqué. L'autorité reproche à la filiale française du troisième émetteur de cartes de paiement au monde plusieurs manquements à la législation sur les cookies, ces traceurs qui suivent l'activité des internautes. Selon la Cnil, les cookies étaient ainsi déposés "dès l'arrivée de l’utilisateur sur le site web" français de l'opérateur, "et avant même qu’il n’interagisse avec la fenêtre lui permettant d’exprimer un choix". L'organisme a également constaté "que des traceurs à finalité publicitaire étaient déposés sur le terminal de l’utilisateur malgré son refus exprimé". Il souligne que "le montant de cette amende tient compte du fait que la société a méconnu plusieurs obligations protectrices du consentement des internautes" mais aussi "du fait que la société s’est mise en conformité au cours de la procédure". "Nous prenons très au sérieux les constats de la CNIL et nous sommes pleinement engagés à respecter les normes et les pratiques en matière de protection des données", a réagi auprès de l'AFP un porte-parole de American Express Carte France.
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La société a été sanctionnée "pour le non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies)" sur son site web français, a indiqué la Cnil dans un communiqué. L'autorité reproche à la filiale française du troisième émetteur de cartes de paiement au monde plusieurs manquements à la législation sur les cookies, ces traceurs qui suivent l'activité des internautes. Selon la Cnil, les cookies étaient ainsi déposés "dès l'arrivée de l’utilisateur sur le site web" français de l'opérateur, "et avant même qu’il n’interagisse avec la fenêtre lui permettant d’exprimer un choix". L'organisme a également constaté "que des traceurs à finalité publicitaire étaient déposés sur le terminal de l’utilisateur malgré son refus exprimé". Il souligne que "le montant de cette amende tient compte du fait que la société a méconnu plusieurs obligations protectrices du consentement des internautes" mais aussi "du fait que la société s’est mise en conformité au cours de la procédure". "Nous prenons très au sérieux les constats de la CNIL et nous sommes pleinement engagés à respecter les normes et les pratiques en matière de protection des données", a réagi auprès de l'AFP un porte-parole de American Express Carte France.

03.12.2025 à 10:29

Federica Mogherini, ex-cheffe de la diplomatie européenne, inculpée pour "fraude"

FRANCE 24
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L'ancienne chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini et deux autres personnes ont été formellement accusées de fraude dans une vaste enquête pour corruption, a annoncé mercredi le Parquet européen.
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L'ancienne chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini et deux autres personnes ont été formellement accusées de fraude dans une vaste enquête pour corruption, a annoncé mercredi le Parquet européen.

03.12.2025 à 10:22

Un "pays pourri" : la litanie d'injures de Donald Trump contre la Somalie

FRANCE 24
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Après avoir annoncé son intention de "suspendre définitivement l’immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde", le président américain a tenu mardi des propos incendiaires et déshumanisants contre la Somalie et ses ressortissants, qualifiés de "déchets".
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Après avoir annoncé son intention de "suspendre définitivement l’immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde", le président américain a tenu mardi des propos incendiaires et déshumanisants contre la Somalie et ses ressortissants, qualifiés de "déchets".
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