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17.11.2025 à 10:24

Sommet Choose France : 30 milliards d’euros d'investissements annoncés

Christophe DANSETTE
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Le gouvernement organise ce lundi la première édition de Choose France – Édition France, un sommet dédié cette fois… aux entreprises françaises avec, à la clé, 30 milliards d’euros d’investissements sur 151 projets dans l’Hexagone. Objectif : rassurer un patronat inquiet des hausses d’impôts, alors que la réindustrialisation marque le pas.
Le gouvernement organise ce lundi la première édition de Choose France – Édition France, un sommet dédié cette fois… aux entreprises françaises avec, à la clé, 30 milliards d’euros d’investissements sur 151 projets dans l’Hexagone. Objectif : rassurer un patronat inquiet des hausses d’impôts, alors que la réindustrialisation marque le pas.

17.11.2025 à 10:04

Le rêve de la RD Congo, la domination de Sinner et la balade des Bleus : les infos sport du week-end

Romain HOUEIX
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Au bout de la séance des tirs au but, la RD Congo a battu le Nigeria pour se rapprocher un peu plus du Mondial 2026. Les Bleus, déjà qualifiés, ont envoyé leurs remplaçants faire le boulot en Azerbaïdjan tandis que Sinner a remporter les finales ATP pour la deuxième année consécutive.
Au bout de la séance des tirs au but, la RD Congo a battu le Nigeria pour se rapprocher un peu plus du Mondial 2026. Les Bleus, déjà qualifiés, ont envoyé leurs remplaçants faire le boulot en Azerbaïdjan tandis que Sinner a remporter les finales ATP pour la deuxième année consécutive.

17.11.2025 à 10:01

Barnier (LR) défend l'idée d'un "conclave" pour désigner un candidat pour 2027

FRANCE24
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"Je pense que nous n'aurons pas beaucoup de temps et sans doute pas le temps ni les conditions pour réunir une primaire", a estimé le tout frais député sur franceinfo. Il lui préfère un "conclave qui réunit tous les parlementaires" de ce qu'il avait lui-même baptisé le "socle commun", comprenant les formations du centre et de la droite, de Renaissance jusqu'aux Républicains. "Il y a très peu de temps entre les élections municipales, sénatoriales et l'élection présidentielle et, pour préparer un candidat, pour le décider, pour le désigner et pour qu'il puisse faire campagne, il faut du temps", a argumenté Michel Barnier. Réunis début novembre en conseil stratégique, l'état-major de LR a décidé pour l'instant de créer un "groupe de travail" afin d'étudier la question de la désignation d'un candidat pour 2027. Sans dissimuler ses propres ambitions, le chef des Républicains, Bruno Retailleau, a néanmoins émis le souhait, dans un entretien-fleuve au média conservateur JDNews le 5 novembre, que ce candidat soit issu de LR au terme d'un processus interne au seul parti, sans élargissement au centre.
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"Je pense que nous n'aurons pas beaucoup de temps et sans doute pas le temps ni les conditions pour réunir une primaire", a estimé le tout frais député sur franceinfo. Il lui préfère un "conclave qui réunit tous les parlementaires" de ce qu'il avait lui-même baptisé le "socle commun", comprenant les formations du centre et de la droite, de Renaissance jusqu'aux Républicains. "Il y a très peu de temps entre les élections municipales, sénatoriales et l'élection présidentielle et, pour préparer un candidat, pour le décider, pour le désigner et pour qu'il puisse faire campagne, il faut du temps", a argumenté Michel Barnier. Réunis début novembre en conseil stratégique, l'état-major de LR a décidé pour l'instant de créer un "groupe de travail" afin d'étudier la question de la désignation d'un candidat pour 2027. Sans dissimuler ses propres ambitions, le chef des Républicains, Bruno Retailleau, a néanmoins émis le souhait, dans un entretien-fleuve au média conservateur JDNews le 5 novembre, que ce candidat soit issu de LR au terme d'un processus interne au seul parti, sans élargissement au centre.

17.11.2025 à 09:31

Tom Cruise reçoit un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière

FRANCE24
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Au son de la célèbre bande originale de "Mission Impossible", saga emblématique de la carrière de l'acteur âgé de 63 ans, le comédien est monté sur la scène du Dolby Theatre de Hollywood sous les applaudissements chaleureux de ses pairs, dont Colin Farrell et Emilio Estévez avec qui il a partagé l'écran, ainsi que du légendaire Steven Spielberg, qui l'a dirigé dans "Minority Report" et "La Guerre des mondes". Malgré quatre nominations aux Oscars - en tant qu'acteur pour "Né un 4 juillet", "Jerry Maguire" et "Magnolia", et en tant que producteur pour "Top Gun: Maverick" -, il n'avait jusqu'ici jamais été récompensé. Visiblement ému, l'acteur a pris le micro pour exprimer sa gratitude. "Mon amour pour le cinéma a commencé très jeune", a déclaré la star, décrivant le grand écran comme le lieu qui lui a "donné faim d'aventure, de connaissance, de compréhension de l'humanité, de création de personnages, de narration, de découverte du monde". "Cela m'a ouvert les yeux" a-t-il ajouté. Le comédien est largement vu comme une des dernières grandes stars de cinéma, capable de remplir les salles sur son seul nom. Après la pandémie, ce fana de cascades a même été vu comme le sauveur d'Hollywood, grâce au succès de "Top Gun: Maverick", pour lequel il a renfilé son costume de pilote de chasse. Les Oscars d'honneur, décernés chaque année par l'Académie des arts et sciences cinématographiques, saluent les légendes du cinéma pour leur carrière et leurs contributions à l’industrie cinématographique. Au cours de la soirée, l'Académie a également remis des Oscars d'honneur à l'actrice Debbie Allen ("Fame"), au chef décorateur Wynn Thomas, et à la chanteuse country Dolly Parton, honorée pour son engagement humanitaire. La légende de la musique country, 79 ans, absente pour raisons de santé, a remercié l'Académie via une vidéo. "Nous n'avions pas grand chose à partager, mais mes parents m'ont appris que plus on donne, plus on reçoit de bénédictions", a dit la star qui soutient l’éducation et d’autres causes sociales via sa fondation baptisée "Dollywood". La chanteuse américaine a récemment annulé six concerts qu'elle devait donner en décembre à Las Vegas pour raisons de santé, en les reportant à septembre 2026.
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Au son de la célèbre bande originale de "Mission Impossible", saga emblématique de la carrière de l'acteur âgé de 63 ans, le comédien est monté sur la scène du Dolby Theatre de Hollywood sous les applaudissements chaleureux de ses pairs, dont Colin Farrell et Emilio Estévez avec qui il a partagé l'écran, ainsi que du légendaire Steven Spielberg, qui l'a dirigé dans "Minority Report" et "La Guerre des mondes". Malgré quatre nominations aux Oscars - en tant qu'acteur pour "Né un 4 juillet", "Jerry Maguire" et "Magnolia", et en tant que producteur pour "Top Gun: Maverick" -, il n'avait jusqu'ici jamais été récompensé. Visiblement ému, l'acteur a pris le micro pour exprimer sa gratitude. "Mon amour pour le cinéma a commencé très jeune", a déclaré la star, décrivant le grand écran comme le lieu qui lui a "donné faim d'aventure, de connaissance, de compréhension de l'humanité, de création de personnages, de narration, de découverte du monde". "Cela m'a ouvert les yeux" a-t-il ajouté. Le comédien est largement vu comme une des dernières grandes stars de cinéma, capable de remplir les salles sur son seul nom. Après la pandémie, ce fana de cascades a même été vu comme le sauveur d'Hollywood, grâce au succès de "Top Gun: Maverick", pour lequel il a renfilé son costume de pilote de chasse. Les Oscars d'honneur, décernés chaque année par l'Académie des arts et sciences cinématographiques, saluent les légendes du cinéma pour leur carrière et leurs contributions à l’industrie cinématographique. Au cours de la soirée, l'Académie a également remis des Oscars d'honneur à l'actrice Debbie Allen ("Fame"), au chef décorateur Wynn Thomas, et à la chanteuse country Dolly Parton, honorée pour son engagement humanitaire. La légende de la musique country, 79 ans, absente pour raisons de santé, a remercié l'Académie via une vidéo. "Nous n'avions pas grand chose à partager, mais mes parents m'ont appris que plus on donne, plus on reçoit de bénédictions", a dit la star qui soutient l’éducation et d’autres causes sociales via sa fondation baptisée "Dollywood". La chanteuse américaine a récemment annulé six concerts qu'elle devait donner en décembre à Las Vegas pour raisons de santé, en les reportant à septembre 2026.

17.11.2025 à 09:23

Santé: la ministre promet une simplification "massive" de l'administration

FRANCE24
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"Dès cette semaine, j'engage un mouvement de simplification massif de notre administration en santé", a déclaré Stéphanie Rist sur RTL. Ce projet "répond à ce qu'a dit le Premier ministre" Sébastien Lecornu, a-t-elle précisé. M. Lecornu a jugé vendredi nécessaire de mener une "réforme profonde" des agences régionales de santé (ARS). Ces organismes, qui dépendent du ministère de la Santé, sont chargés de mettre en oeuvre la politique nationale de santé au niveau local. Mme Rist avait, dans la foulée, adressé un courrier aux directeurs des ARS, assurant qu'il n'était pas question de les "démanteler" mais d'en faire les "bras armés" du ministère. La ministre a toutefois suggéré lundi qu'il était souhaitable de retirer certaines prérogatives aux ARS, évoquant un cas où l'une de ces agences s'était opposée à la décision d'élus locaux d'installer un dispositif d'imagerie médicale sur leur territoire. "Quand les départements, quand les élus du territoires considèrent qu'il faut le faire (et) qu'ils ont les financements à côté, ce n'est pas à l'administration centrale de dire +c'est autorisé ou pas+", a déclaré Mme Rist. "Nous avons besoin d'une administration de la santé forte mais recentrée sur son coeur de métier", a-t-elle conclu, sans donner de détail concret sur les mesures envisagées.
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"Dès cette semaine, j'engage un mouvement de simplification massif de notre administration en santé", a déclaré Stéphanie Rist sur RTL. Ce projet "répond à ce qu'a dit le Premier ministre" Sébastien Lecornu, a-t-elle précisé. M. Lecornu a jugé vendredi nécessaire de mener une "réforme profonde" des agences régionales de santé (ARS). Ces organismes, qui dépendent du ministère de la Santé, sont chargés de mettre en oeuvre la politique nationale de santé au niveau local. Mme Rist avait, dans la foulée, adressé un courrier aux directeurs des ARS, assurant qu'il n'était pas question de les "démanteler" mais d'en faire les "bras armés" du ministère. La ministre a toutefois suggéré lundi qu'il était souhaitable de retirer certaines prérogatives aux ARS, évoquant un cas où l'une de ces agences s'était opposée à la décision d'élus locaux d'installer un dispositif d'imagerie médicale sur leur territoire. "Quand les départements, quand les élus du territoires considèrent qu'il faut le faire (et) qu'ils ont les financements à côté, ce n'est pas à l'administration centrale de dire +c'est autorisé ou pas+", a déclaré Mme Rist. "Nous avons besoin d'une administration de la santé forte mais recentrée sur son coeur de métier", a-t-elle conclu, sans donner de détail concret sur les mesures envisagées.

17.11.2025 à 09:21

Japon: l'économie se contracte au 3e trimestre, le gouvernement prépare son plan de relance

FRANCE24
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D'après une première estimation officielle publiée lundi par le gouvernement, le produit intérieur brut (PIB) de la quatrième économie mondiale a reculé de 0,4% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent. C'est sa première contraction depuis un an et demi. Les analystes sondés par l'agence Bloomberg anticipaient un repli plus marqué encore (-0,6%). Cette morosité ne fait que renforcer la probabilité d'un colossal plan de soutien à l'activité, évoqué dès son arrivée au pouvoir le mois dernier par Sanae Takaichi,première femme à occuper le poste de Premier ministre au Japon. La ministre des Finances, Satsuki Katayama, a déclaré dimanche que le montant du plan serait "nettement supérieur" à 17.000 milliards de yens (95 milliards d'euros), selon les médias locaux. Le gouvernement devrait approuver le plan vendredi, d'après ces mêmes sources. Le PIB japonais avait gonflé de 0,6% au deuxième trimestre (croissance révisée en hausse ce lundi), après un premier trimestre plus ou moins atone (+0,2%), à la suite d'une quasi-stagnation sur l'année 2024. Selon les chiffres gouvernementaux, l'économie nippone a notamment été minée ces derniers mois par un affaiblissement des investissements privés dans l'immobilier. "C'est l'un des principaux facteurs de cette contraction: la chute de 9,4% des investissements résidentiels par rapport au trimestre précédent, reflétant l'impact des modifications du code du bâtiment introduites en avril, qui ont divisé par deux les mises en chantier", commente Marcel Thieliant, analyste de Capital Economics. Par ailleurs, l'économie japonaise, très dépendante des exportations, reste plombée par l'offensive douanière engagée par Washington, et ce en dépit de l'accord commercial conclu durant l'été entre les deux puissances — qui fixait à 15% les droits américains sur les produits japonais, en deçà des 25% dont ils étaient menacés. Au total, tous pays confondus, les exportations du Japon ont ainsi reculé de 0,1% en août sur un an, leur quatrième mois de recul consécutif. Elles se sont redressées en septembre, grâce aux semi-conducteurs, mais les exportations nippones vers les Etats-Unis ont continué de plonger (-13,3% sur un an). Tensions avec la Chine Certes, pour Ryutaro Kono, économiste de BNP Paribas, il n'y a pas lieu de considérer cette contraction économique du troisième trimestre comme "particulièrement préoccupante". "Les exportations ont rebondi en septembre par rapport au mois précédent, et nos enquêtes (...) indiquent que la conjoncture générale du secteur exportateur ne s'est pas détériorée malgré les hausses des droits de douane américains, et la volonté des entreprises d'investir reste solide", explique-t-il. Pour autant, les tensions actuelles avec la Chine, suite aux propos de Mme Takaichi sur Taïwan, risquent de dégénérer en un conflit commercial ouvert, avertit Marcel Thieliant. "Plusieurs scénarios sont possibles, mais le principal risque réside dans une restriction des exportations de terres rares par la Chine ou dans l'imposition de restrictions sur les exportations japonaises", a-t-il averti, avant la publication du PIB. "Les constructeurs automobiles semblent particulièrement vulnérables, car ils subissent déjà une pression énorme du fait de la montée en puissance des constructeurs chinois de véhicules électriques", sur fond de guerre de prix dans le secteur en Chine continentale, ajoute-t-il. D'ores et déjà, les actions des groupes japonais liés au tourisme et à la distribution plongeaient lundi à la Bourse de Tokyo, après que Pékin a déconseillé à ses ressortissants de voyager au Japon. Inflation tenace Enfin, même si elle résiste, la consommation privée demeure quasi-stagnante sur fond de pressions inflationnistes tenaces. L'inflation au Japon a encore accéléré en septembre (+2,9% sur un an) après s'être modérée les mois précédents, tirée par les prix du riz et de l'énergie. "Le repli du PIB réduit encore les chances d'une hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) en décembre, mais nous pensons néanmoins que l'institution reprendra son cycle de resserrement monétaire lors de sa réunion de janvier", estime M. Thieliant. Pour contrer le retour de l'inflation, la BoJ avait entamé en mars 2024 un resserrement de ses taux, après dix ans de politique monétaire ultra-accommodante, mais elle a suspendu cette dynamique après janvier dernier face à l'assombrissement de l'horizon économique.
Texte intégral (742 mots)
D'après une première estimation officielle publiée lundi par le gouvernement, le produit intérieur brut (PIB) de la quatrième économie mondiale a reculé de 0,4% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent. C'est sa première contraction depuis un an et demi. Les analystes sondés par l'agence Bloomberg anticipaient un repli plus marqué encore (-0,6%). Cette morosité ne fait que renforcer la probabilité d'un colossal plan de soutien à l'activité, évoqué dès son arrivée au pouvoir le mois dernier par Sanae Takaichi,première femme à occuper le poste de Premier ministre au Japon. La ministre des Finances, Satsuki Katayama, a déclaré dimanche que le montant du plan serait "nettement supérieur" à 17.000 milliards de yens (95 milliards d'euros), selon les médias locaux. Le gouvernement devrait approuver le plan vendredi, d'après ces mêmes sources. Le PIB japonais avait gonflé de 0,6% au deuxième trimestre (croissance révisée en hausse ce lundi), après un premier trimestre plus ou moins atone (+0,2%), à la suite d'une quasi-stagnation sur l'année 2024. Selon les chiffres gouvernementaux, l'économie nippone a notamment été minée ces derniers mois par un affaiblissement des investissements privés dans l'immobilier. "C'est l'un des principaux facteurs de cette contraction: la chute de 9,4% des investissements résidentiels par rapport au trimestre précédent, reflétant l'impact des modifications du code du bâtiment introduites en avril, qui ont divisé par deux les mises en chantier", commente Marcel Thieliant, analyste de Capital Economics. Par ailleurs, l'économie japonaise, très dépendante des exportations, reste plombée par l'offensive douanière engagée par Washington, et ce en dépit de l'accord commercial conclu durant l'été entre les deux puissances — qui fixait à 15% les droits américains sur les produits japonais, en deçà des 25% dont ils étaient menacés. Au total, tous pays confondus, les exportations du Japon ont ainsi reculé de 0,1% en août sur un an, leur quatrième mois de recul consécutif. Elles se sont redressées en septembre, grâce aux semi-conducteurs, mais les exportations nippones vers les Etats-Unis ont continué de plonger (-13,3% sur un an). Tensions avec la Chine Certes, pour Ryutaro Kono, économiste de BNP Paribas, il n'y a pas lieu de considérer cette contraction économique du troisième trimestre comme "particulièrement préoccupante". "Les exportations ont rebondi en septembre par rapport au mois précédent, et nos enquêtes (...) indiquent que la conjoncture générale du secteur exportateur ne s'est pas détériorée malgré les hausses des droits de douane américains, et la volonté des entreprises d'investir reste solide", explique-t-il. Pour autant, les tensions actuelles avec la Chine, suite aux propos de Mme Takaichi sur Taïwan, risquent de dégénérer en un conflit commercial ouvert, avertit Marcel Thieliant. "Plusieurs scénarios sont possibles, mais le principal risque réside dans une restriction des exportations de terres rares par la Chine ou dans l'imposition de restrictions sur les exportations japonaises", a-t-il averti, avant la publication du PIB. "Les constructeurs automobiles semblent particulièrement vulnérables, car ils subissent déjà une pression énorme du fait de la montée en puissance des constructeurs chinois de véhicules électriques", sur fond de guerre de prix dans le secteur en Chine continentale, ajoute-t-il. D'ores et déjà, les actions des groupes japonais liés au tourisme et à la distribution plongeaient lundi à la Bourse de Tokyo, après que Pékin a déconseillé à ses ressortissants de voyager au Japon. Inflation tenace Enfin, même si elle résiste, la consommation privée demeure quasi-stagnante sur fond de pressions inflationnistes tenaces. L'inflation au Japon a encore accéléré en septembre (+2,9% sur un an) après s'être modérée les mois précédents, tirée par les prix du riz et de l'énergie. "Le repli du PIB réduit encore les chances d'une hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) en décembre, mais nous pensons néanmoins que l'institution reprendra son cycle de resserrement monétaire lors de sa réunion de janvier", estime M. Thieliant. Pour contrer le retour de l'inflation, la BoJ avait entamé en mars 2024 un resserrement de ses taux, après dix ans de politique monétaire ultra-accommodante, mais elle a suspendu cette dynamique après janvier dernier face à l'assombrissement de l'horizon économique.

17.11.2025 à 09:17

Les Bourses européennes ouvrent sans élan

FRANCE24
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Dans les premiers échanges, Paris grappillait 0,04% et Londres 0,02% après avoir ouvert dans le rouge, et Francfort prenait 0,13%.
Texte intégral (742 mots)
Dans les premiers échanges, Paris grappillait 0,04% et Londres 0,02% après avoir ouvert dans le rouge, et Francfort prenait 0,13%.

17.11.2025 à 08:53

Le gouvernement britannique défend sa réforme contre l'immigration irrégulière

FRANCE24
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Deux mesures phares de ce plan, dont la présentation détaillée doit se tenir lundi au Parlement, ont été dévoilées samedi soir par le ministère de l'Intérieur. Parmi elles, la réduction de la protection accordée aux réfugiés, qui seront "forcés de rentrer dans leur pays d'origine dès qu'il sera jugé sûr" et la suppression de l'accès automatique aux aides sociales pour les demandeurs d'asile. Interrogée dimanche sur la BBC et Sky news, la ministre de l'Intérieur Shabana Mahmood a défendu en bloc ces premières mesures. Née dans une famille originaire du Pakistan, elle a déclaré à la BBC que si "l'immigration fait absolument partie" de son expérience de vie, elle ressent "un devoir moral" de lutter contre l'immigration irrégulière qui "déchire notre pays". Cette immigration "divise les communautés, les gens constatent une énorme pression dans leurs communautés et ils voient également un système qui est défaillant (...)", a-t-elle assuré. L'association britannique Refugee Council a quant à elle qualifié ces mesures de "dures" et "inutiles". Arrivé au pouvoir en juillet 2024, le gouvernement de Keir Starmer est sous pression quasi-quotidienne pour freiner les arrivées de migrants. Plus de 39.000 arrivées Depuis plusieurs mois, il est largement devancé dans les sondages par le parti Reform de Nigel Farage. Cet été, de nombreuses manifestations ont eu lieu devant des hôtels hébergeant des demandeurs d'asile et une manifestation organisée par l'extrême droite à Londres mi-septembre a réuni jusqu'à 150.000 personnes. Dans ce contexte, le gouvernement a promis de faire baisser le nombre de migrants qui traversent la Manche à bord d'embarcations de fortune. Un accord a été conclu cet été avec Paris qui consiste à renvoyer en France des migrants arrivés au Royaume-Uni à bord de ces embarcations. Reste que depuis le 1er janvier, 39.292 personnes ont débarqué sur les côtes anglaises, un chiffre qui dépasse celui de l'année 2024 (36.816). Réagissant aux annonces britanniques, le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot a estimé dimanche sur les médias France Inter, franceinfo TV et Le Monde que celles-ci répondent "aux attentes" de ses voisins européens. "Superficielles" Au Royaume-Uni, la restriction de la protection des réfugiés était une mesure jusqu'ici défendue par Nigel Farage, qui avait annoncé qu'en cas d'arrivée au pouvoir, il obligerait les migrants - y compris ceux déjà régularisés - à demander un visa tous les cinq ans. Le nouveau système, largement inspiré du modèle restrictif danois, réduira la durée de leur séjour de cinq ans à 30 mois, et multipliera par quatre, de cinq à 20 ans, le délai nécessaire pour demander à devenir résident permanent. Les réfugiés qui souhaitent devenir résidents permanents plus vite "devront travailler ou étudier", selon le ministère. Quant aux aides sociales, le gouvernement veut les supprimer "pour ceux qui ont le droit de travailler et qui peuvent subvenir à leurs besoins". Le gouvernement entend également accélérer les expulsions avec le passage d'une loi qui encadrerait les recours à la Convention européenne des droits de l'homme, a indiqué le ministère dimanche. In fine, ces réformes permettront de "bloquer les recours interminables, empêcher les demandes de dernière minute et augmenter les expulsions de ceux qui n’ont aucun droit d’être ici", a réagi Keir Starmer, cité dans le communiqué. L'opposition conservatrice a elle dénoncé des mesures "superficielles" qui "ne feront pas une grande différence". Sur la BBC, la ministre s'est dit consciente qu'elle allait devoir convaincre "les gens dans tout le pays, pas seulement au Parlement (...) que ces réformes peuvent fonctionner". La première étape sera sans doute de convaincre l'aile gauche de son parti. Fin juin, le gouvernement avait été contraint de reculer sur son projet de loi visant à couper dans les allocations aux personnes handicapées à la suite de la mobilisation d'une centaine de députés de son camp.
Texte intégral (682 mots)
Deux mesures phares de ce plan, dont la présentation détaillée doit se tenir lundi au Parlement, ont été dévoilées samedi soir par le ministère de l'Intérieur. Parmi elles, la réduction de la protection accordée aux réfugiés, qui seront "forcés de rentrer dans leur pays d'origine dès qu'il sera jugé sûr" et la suppression de l'accès automatique aux aides sociales pour les demandeurs d'asile. Interrogée dimanche sur la BBC et Sky news, la ministre de l'Intérieur Shabana Mahmood a défendu en bloc ces premières mesures. Née dans une famille originaire du Pakistan, elle a déclaré à la BBC que si "l'immigration fait absolument partie" de son expérience de vie, elle ressent "un devoir moral" de lutter contre l'immigration irrégulière qui "déchire notre pays". Cette immigration "divise les communautés, les gens constatent une énorme pression dans leurs communautés et ils voient également un système qui est défaillant (...)", a-t-elle assuré. L'association britannique Refugee Council a quant à elle qualifié ces mesures de "dures" et "inutiles". Arrivé au pouvoir en juillet 2024, le gouvernement de Keir Starmer est sous pression quasi-quotidienne pour freiner les arrivées de migrants. Plus de 39.000 arrivées Depuis plusieurs mois, il est largement devancé dans les sondages par le parti Reform de Nigel Farage. Cet été, de nombreuses manifestations ont eu lieu devant des hôtels hébergeant des demandeurs d'asile et une manifestation organisée par l'extrême droite à Londres mi-septembre a réuni jusqu'à 150.000 personnes. Dans ce contexte, le gouvernement a promis de faire baisser le nombre de migrants qui traversent la Manche à bord d'embarcations de fortune. Un accord a été conclu cet été avec Paris qui consiste à renvoyer en France des migrants arrivés au Royaume-Uni à bord de ces embarcations. Reste que depuis le 1er janvier, 39.292 personnes ont débarqué sur les côtes anglaises, un chiffre qui dépasse celui de l'année 2024 (36.816). Réagissant aux annonces britanniques, le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot a estimé dimanche sur les médias France Inter, franceinfo TV et Le Monde que celles-ci répondent "aux attentes" de ses voisins européens. "Superficielles" Au Royaume-Uni, la restriction de la protection des réfugiés était une mesure jusqu'ici défendue par Nigel Farage, qui avait annoncé qu'en cas d'arrivée au pouvoir, il obligerait les migrants - y compris ceux déjà régularisés - à demander un visa tous les cinq ans. Le nouveau système, largement inspiré du modèle restrictif danois, réduira la durée de leur séjour de cinq ans à 30 mois, et multipliera par quatre, de cinq à 20 ans, le délai nécessaire pour demander à devenir résident permanent. Les réfugiés qui souhaitent devenir résidents permanents plus vite "devront travailler ou étudier", selon le ministère. Quant aux aides sociales, le gouvernement veut les supprimer "pour ceux qui ont le droit de travailler et qui peuvent subvenir à leurs besoins". Le gouvernement entend également accélérer les expulsions avec le passage d'une loi qui encadrerait les recours à la Convention européenne des droits de l'homme, a indiqué le ministère dimanche. In fine, ces réformes permettront de "bloquer les recours interminables, empêcher les demandes de dernière minute et augmenter les expulsions de ceux qui n’ont aucun droit d’être ici", a réagi Keir Starmer, cité dans le communiqué. L'opposition conservatrice a elle dénoncé des mesures "superficielles" qui "ne feront pas une grande différence". Sur la BBC, la ministre s'est dit consciente qu'elle allait devoir convaincre "les gens dans tout le pays, pas seulement au Parlement (...) que ces réformes peuvent fonctionner". La première étape sera sans doute de convaincre l'aile gauche de son parti. Fin juin, le gouvernement avait été contraint de reculer sur son projet de loi visant à couper dans les allocations aux personnes handicapées à la suite de la mobilisation d'une centaine de députés de son camp.

17.11.2025 à 08:47

Patinage: la championne du monde Alysa Liu remporte le Skate America

FRANCE24
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Liu, deuxième après le programme court derrière la Japonaise Rinka Watanabe, a obtenu 140,54 points pour remporter le programme libre de dimanche grâce à une performance envoûtante à l'Arène Olympique. La Californienne de 20 ans a remporté le concours avec 214,27 points, devant Watanabe, deuxième pour la deuxième année consécutive (210,96 pts) et la Géorgienne Anastasiia Gubanova (204,69 pts). La Française Léa Serna, 26 ans et triple championne de France, a pris la septième place du concours (175,05 pts). Malgré la victoire, sa première en Grand Prix, Alysa Liu s'est dite déçue de ses sauts et surprise que les juges l'aient placée en tête du libre. "Je n'ai pas aimé ma performance et, quand je l'ai réalisé, au niveau des sauts, cela ne m'a pas semblé très bien", a-t-elle déclaré. Liu avait battu un record de précocité en devenant championne des Etats-Unis à seulement 13 ans, en 2019. Mais elle avait décidé de prendre sa retraite en 2022, avant de revenir à la compétition pour la saison 2024-2025. Elle a remporté le titre mondial en mars 2025 à Boston et est l'une des favorites pour l'or aux Jeux olympiques d'hiver 2026 à Milan-Cortina (Italie). Les Américains Madison Chock et Avan Bates, qui avaient remporté la danse rythmique samedi, se sont aussi imposés en danse libre dimanche pour égaler le record de cinq victoires dans le Skate America. Le couple a terminé la compétition avec 212,58 points, devant les Canadiens Majorie Lajoie et Zachary Lagha (197,16 pts) et le duo français composé d'Evgeniia Lopareva et Geoffrey Brissaud (192,61 pts). Les autres paires françaises engagées, Loïcia Demougeot-Théo Le Mercier et Célina Fradji-Jean-Hans Fourneaux, ont terminé quatrième et dixième du concours. La prochaine étape du Grand Prix ISU est programmé de vendredi à dimanche à Helsinki. Classement final femmes: 1. Alysa Liu (USA) 214,27 pts (73,73+140,54) 2. Rinka Watanabe (JPN) 210,96 (74,35+136,61) 3. Anastasiia Gubanova (GEO) 204,69 (68,07+136,62) 4. Lara Naki Gutmann (ITA) 204,29 (69,69+134,60) 5. Starr Andrews (USA) 195,28 (64,38+130,90) ... 7. Léa Serna (FRA) 175,05 (59,25+115,80) Classement final danse sur glace: 1. Madison Chock-Evan Bates (USA) 212,58 pts (84,77+127,81) 2. Marjorie LaJoie-Zachary Lagha (CAN) 197,16 (77,42+119,74) 3. Evgeniia Lopareva-Geoffrey Brissaud (FRA) 192,61 (76,72+115,89) 4. Loïcia Demougeot-Théo Le Mercier (FRA) 186,69 (73,47+113,22) 5. Christina Carreira-Anthony Ponomarenko (USA) 186,03 (72,74+113,29) ... 10. Célina Fradji-Jean-Hans Fourneaux (FRA) 144,54 (56,21+88,33)
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Liu, deuxième après le programme court derrière la Japonaise Rinka Watanabe, a obtenu 140,54 points pour remporter le programme libre de dimanche grâce à une performance envoûtante à l'Arène Olympique. La Californienne de 20 ans a remporté le concours avec 214,27 points, devant Watanabe, deuxième pour la deuxième année consécutive (210,96 pts) et la Géorgienne Anastasiia Gubanova (204,69 pts). La Française Léa Serna, 26 ans et triple championne de France, a pris la septième place du concours (175,05 pts). Malgré la victoire, sa première en Grand Prix, Alysa Liu s'est dite déçue de ses sauts et surprise que les juges l'aient placée en tête du libre. "Je n'ai pas aimé ma performance et, quand je l'ai réalisé, au niveau des sauts, cela ne m'a pas semblé très bien", a-t-elle déclaré. Liu avait battu un record de précocité en devenant championne des Etats-Unis à seulement 13 ans, en 2019. Mais elle avait décidé de prendre sa retraite en 2022, avant de revenir à la compétition pour la saison 2024-2025. Elle a remporté le titre mondial en mars 2025 à Boston et est l'une des favorites pour l'or aux Jeux olympiques d'hiver 2026 à Milan-Cortina (Italie). Les Américains Madison Chock et Avan Bates, qui avaient remporté la danse rythmique samedi, se sont aussi imposés en danse libre dimanche pour égaler le record de cinq victoires dans le Skate America. Le couple a terminé la compétition avec 212,58 points, devant les Canadiens Majorie Lajoie et Zachary Lagha (197,16 pts) et le duo français composé d'Evgeniia Lopareva et Geoffrey Brissaud (192,61 pts). Les autres paires françaises engagées, Loïcia Demougeot-Théo Le Mercier et Célina Fradji-Jean-Hans Fourneaux, ont terminé quatrième et dixième du concours. La prochaine étape du Grand Prix ISU est programmé de vendredi à dimanche à Helsinki. Classement final femmes: 1. Alysa Liu (USA) 214,27 pts (73,73+140,54) 2. Rinka Watanabe (JPN) 210,96 (74,35+136,61) 3. Anastasiia Gubanova (GEO) 204,69 (68,07+136,62) 4. Lara Naki Gutmann (ITA) 204,29 (69,69+134,60) 5. Starr Andrews (USA) 195,28 (64,38+130,90) ... 7. Léa Serna (FRA) 175,05 (59,25+115,80) Classement final danse sur glace: 1. Madison Chock-Evan Bates (USA) 212,58 pts (84,77+127,81) 2. Marjorie LaJoie-Zachary Lagha (CAN) 197,16 (77,42+119,74) 3. Evgeniia Lopareva-Geoffrey Brissaud (FRA) 192,61 (76,72+115,89) 4. Loïcia Demougeot-Théo Le Mercier (FRA) 186,69 (73,47+113,22) 5. Christina Carreira-Anthony Ponomarenko (USA) 186,03 (72,74+113,29) ... 10. Célina Fradji-Jean-Hans Fourneaux (FRA) 144,54 (56,21+88,33)
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