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09.05.2025 à 19:27

Renée et Dédée, 18 ans en 1945: résistantes, déportées et toujours amies

FRANCE24
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La dernière fois qu'elles se sont vues, c'était en avril 1945, à la libération d'un camp de travail dépendant du camp de concentration de Buchenwald, en Allemagne, où elles ont été déportées en juin 1944, pendant dix mois, pour faits de résistance contre l'occupant allemand. Elles ont échangé de vive voix pour la première fois depuis 80 ans, lors d'un appel en visioconférence organisé en avril, auquel l'AFP a assisté. "Renée, je suis toute émue de te revoir", confie Dédée, d'une voix chevrotante. "Je t'embrasse bien fort ma poulette", lui dit-elle, envoyant un baiser de sa main. "Pour toi aussi, les souvenirs reviennent?", demande Dédée à Renée, qui vit aux Etats-Unis depuis les années 1970. "Oh oui ! Et encore, je suis au loin, mais ça sort pas de ma tête, il y a trop de choses qu'on ne peut pas exprimer". "Agent de liaison" Andrée Dupont est née dans la Sarthe, en 1927. Renée Guette naît la même année, à Paris, et grandit dans le Cher, à 350 km du village d'Andrée. En 1943, âgées de 16 ans, toutes deux issues de familles de résistants, elles rejoignent les réseaux de leur village: Assé-le-Boisne pour Dédée, Beffes pour Renée. "Ca oui, tu avais de beaux cheveux blonds et longs!", s'exclame Renée, du Texas, où elle habite avec sa fille. En 1943, Renée est brune, et tout aussi jolie. Elle est employée des postes et fait passer clandestinement des tickets de rationnement et des messages aux résistants des Forces Françaises de l'Intérieur et des Francs-Tireurs et Partisans communistes. Déportation Le 26 avril 1944, Dédée est arrêtée avec le réseau de son village, 16 personnes en tout, dont son père et sa tante. "Je pliais du linge, il était 10h du soir. J'ai entendu des portières claquer. J'ai compris tout de suite", se remémore-t-elle. Quatre jours plus tard, Renée était arrêtée par un agent français de la Gestapo, lors de la rafle du maquis de Beffes. "Il m'a dit: +alors, jeune fille de bonne famille qui a mal tourné+", se remémore-t-elle. "Et moi, j'ai répondu, pour lui faire comprendre, qu'il avait pas mieux tourné, et il m'a giflée!". Les deux jeunes filles se rencontrent à la prison de Romainville, près de Paris, où elles apprennent le débarquement. "On a cru qu'on était sauvées ! Mais les Allemands avaient besoin de nous pour travailler dans les usines de guerre", explique Renée. Le 25 juin 1944, Renée Guette, matricule 43.133, arrive dans le camp de travail dit "kommando HASAG-Leipzig", dans le même bloc que Dédée - matricule 41.129 - où près de 5.000 femmes ont été déportées pour fabriquer des armes. Elles se souviennent du travail de nuit, du papier journal caché contre leur peau pour se protéger du froid, des cheveux infestés de poux, puis tondus, des passages à tabac par les Allemands, des corps nus entassés, puis envoyés aux fours crématoires, de celles qui n'ont pas survécu. "Ils nous en ont fait, des vacheries", lâche Renée. De leur déportation, elles ont conservé des objets fabriqués en cachette: une broche en fil de fer, des barrettes à cheveux. Hôtel Lutetia Mi-avril 1945, les nazis évacuent le camp de Leipzig. Les déportées partent alors sur les routes et entament les "marches de la mort". Renée raconte avoir marché des jours et des nuits durant, les pieds en sang, chaussés de galoches, se nourrissant de colza et de pommes de terre. Elle se souvient de l'Elbe, dans lequel elle s'est lavée pour la première fois depuis des mois, ainsi que d'une balle de pistolet, tirée près de son oreille gauche lors d'affrontements entre "Boches" et Américains. Arrivée à l'hôtel Lutetia, devenu un centre d'accueil à Paris pour les exilés de guerre, Dédée retrouve sa mère. Son père, déporté lui aussi, est revenu des camps. Sa tante, elle, est morte gazée. Quant à Renée, elle a pris le train pour rentrer à Beffes. "Il y avait des soldats français, j'avais peur. On était très marquées", dit-elle. "Tu sais Dédée, quand je suis arrivée, j'étais pas sûre que j'étais chez moi. Toi aussi ?". "Moi, j'ai su que j'étais revenue quand j'ai vu le clocher de mon village", répond-elle. Renée ne se rend plus en France. Mais elle aimerait revoir Dédée, quitte à arriver "à quatre pattes". "Je t'embrasse Dédée, on se retrouvera peut-être là-haut", dit-elle avant de raccrocher.

09.05.2025 à 19:15

Nucléaire iranien : Washington et Téhéran reprennent leurs pourparlers dimanche à Oman

FRANCE 24
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Les États-Unis et l'Iran s'apprêtent à reprendre leurs pourparlers sur le programme nucléaire iranien dimanche à Oman, dans un contexte diplomatique tendu à l'approche de la visite de Donald Trump au Moyen-Orient la semaine prochaine.
Texte intégral (802 mots)
Les États-Unis et l'Iran s'apprêtent à reprendre leurs pourparlers sur le programme nucléaire iranien dimanche à Oman, dans un contexte diplomatique tendu à l'approche de la visite de Donald Trump au Moyen-Orient la semaine prochaine.

09.05.2025 à 19:11

Chikungunya: la sécurité du vaccin continue à poser question

FRANCE24
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"Comment la dangerosité du vaccin n'a-t-elle pas été mieux évaluée ?", s'est insurgée mercredi la sénatrice de La Réunion, Evelyne Corbière Naminzo (groupe Communiste Républicain Citoyen et Écologiste – Kanaky), lors des questions au gouvernement. "Toutes les études de sécurité ont été faites. Je ne peux vous laisser dire que nous utilisons le peuple de La Réunion comme cobaye", lui a rétorqué Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé. Ce vif échange témoigne des doutes autour du vaccin Ixchiq, développé par le laboratoire franco-autrichien Valneva et qui a été suspendu chez les plus de 65 ans après le décès fin avril d'un octogénaire. Or, toujours mercredi, un deuxième décès était évoqué par Valneva et par l'Agence européenne du médicament (EMA), parmi les personnes âgées ayant présenté des effets indésirables après avoir reçu ce vaccin. Le premier cas concernait un homme de 84 ans qui a développé une encéphalite. Le second concernait un homme de 77 ans atteint de la maladie de Parkinson dont les difficultés de déglutition se sont aggravées et pourraient avoir provoqué une pneumonie par aspiration. "Evaluation approfondie" "L’imputabilité du premier décès signalé en lien avec la vaccination Ixchiq pour une personne de 84 ans a été évaluée comme très vraisemblable", a précisé vendredi à l'AFP le centre de crises sanitaires du ministère de la Santé. En revanche, la relation entre le vaccin et le second décès mentionné par l'EMA est considérée comme "douteuse" par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et le centre régional de pharmacovigilance, sur une échelle d'imputabilité comprenant cinq niveaux (très vraisemblable - vraisemblable - plausible - douteuse - incompatible), selon cette source. Ce décès "n’est donc pas comptabilisé" dans le bilan actuel de Santé publique France (SpF), qui fait état de douze morts "liés au chikungunya" depuis début 2025 sur cette île de l'Océan indien, où elle observe une légère baisse de l'épidémie. Les investigations sur ces cas et les autres signalements de pharmacovigilance se poursuivent, selon le centre de crises sanitaires. Le temps de mener "une évaluation approfondie" de la balance bénéfice/risque, l'EMA a décidé de contre-indiquer l'utilisation du vaccin pour les plus de 65 ans. Cette restriction d'utilisation était déjà en vigueur depuis le 26 avril en France, après trois événements indésirables graves chez des personnes de plus de 80 ans présentant des comorbidités, dont le premier décès à La Réunion. 40.000 doses dans le monde Les autorités avaient initialement donné la priorité à la vaccination des adultes âgés de 65 ans et plus, en particulier ceux présentant des comorbidités. Le vaccin est-il réellement en cause ? L'EMA souligne que le motif des 17 cas d'effets indésirables graves signalés jusqu'à présent chez des personnes âgées de 62 à 89 ans ayant reçu le vaccin, et leur lien avec ce dernier "n'ont pas encore été déterminés". De son côté, Valneva continue d’estimer que le rapport bénéfice/risque de son vaccin est "positif pour la grande majorité des personnes potentiellement exposées à la maladie". "La société continuera à surveiller tous les effets indésirables graves signalés", assure-t-elle. Le sérum Ixchiq est un vaccin vivant atténué (il utilise une version affaiblie du virus) contre le chikungunya, une maladie infectieuse due à un virus transmis par le moustique tigre qui provoque une forte fièvre et des douleurs articulaires. Principalement destiné aux personnes vivant ou voyageant dans des zones à risque, il est approuvé aux Etats-Unis depuis 2023 et dans l'Union européenne depuis 2024. Cette année, il a obtenu une autorisation de mise sur le marché au Brésil et au Royaume-Uni. À ce jour, plus de 40.000 doses du vaccin ont été utilisées dans le monde, souligne Valneva.
Texte intégral (672 mots)
"Comment la dangerosité du vaccin n'a-t-elle pas été mieux évaluée ?", s'est insurgée mercredi la sénatrice de La Réunion, Evelyne Corbière Naminzo (groupe Communiste Républicain Citoyen et Écologiste – Kanaky), lors des questions au gouvernement. "Toutes les études de sécurité ont été faites. Je ne peux vous laisser dire que nous utilisons le peuple de La Réunion comme cobaye", lui a rétorqué Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé. Ce vif échange témoigne des doutes autour du vaccin Ixchiq, développé par le laboratoire franco-autrichien Valneva et qui a été suspendu chez les plus de 65 ans après le décès fin avril d'un octogénaire. Or, toujours mercredi, un deuxième décès était évoqué par Valneva et par l'Agence européenne du médicament (EMA), parmi les personnes âgées ayant présenté des effets indésirables après avoir reçu ce vaccin. Le premier cas concernait un homme de 84 ans qui a développé une encéphalite. Le second concernait un homme de 77 ans atteint de la maladie de Parkinson dont les difficultés de déglutition se sont aggravées et pourraient avoir provoqué une pneumonie par aspiration. "Evaluation approfondie" "L’imputabilité du premier décès signalé en lien avec la vaccination Ixchiq pour une personne de 84 ans a été évaluée comme très vraisemblable", a précisé vendredi à l'AFP le centre de crises sanitaires du ministère de la Santé. En revanche, la relation entre le vaccin et le second décès mentionné par l'EMA est considérée comme "douteuse" par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et le centre régional de pharmacovigilance, sur une échelle d'imputabilité comprenant cinq niveaux (très vraisemblable - vraisemblable - plausible - douteuse - incompatible), selon cette source. Ce décès "n’est donc pas comptabilisé" dans le bilan actuel de Santé publique France (SpF), qui fait état de douze morts "liés au chikungunya" depuis début 2025 sur cette île de l'Océan indien, où elle observe une légère baisse de l'épidémie. Les investigations sur ces cas et les autres signalements de pharmacovigilance se poursuivent, selon le centre de crises sanitaires. Le temps de mener "une évaluation approfondie" de la balance bénéfice/risque, l'EMA a décidé de contre-indiquer l'utilisation du vaccin pour les plus de 65 ans. Cette restriction d'utilisation était déjà en vigueur depuis le 26 avril en France, après trois événements indésirables graves chez des personnes de plus de 80 ans présentant des comorbidités, dont le premier décès à La Réunion. 40.000 doses dans le monde Les autorités avaient initialement donné la priorité à la vaccination des adultes âgés de 65 ans et plus, en particulier ceux présentant des comorbidités. Le vaccin est-il réellement en cause ? L'EMA souligne que le motif des 17 cas d'effets indésirables graves signalés jusqu'à présent chez des personnes âgées de 62 à 89 ans ayant reçu le vaccin, et leur lien avec ce dernier "n'ont pas encore été déterminés". De son côté, Valneva continue d’estimer que le rapport bénéfice/risque de son vaccin est "positif pour la grande majorité des personnes potentiellement exposées à la maladie". "La société continuera à surveiller tous les effets indésirables graves signalés", assure-t-elle. Le sérum Ixchiq est un vaccin vivant atténué (il utilise une version affaiblie du virus) contre le chikungunya, une maladie infectieuse due à un virus transmis par le moustique tigre qui provoque une forte fièvre et des douleurs articulaires. Principalement destiné aux personnes vivant ou voyageant dans des zones à risque, il est approuvé aux Etats-Unis depuis 2023 et dans l'Union européenne depuis 2024. Cette année, il a obtenu une autorisation de mise sur le marché au Brésil et au Royaume-Uni. À ce jour, plus de 40.000 doses du vaccin ont été utilisées dans le monde, souligne Valneva.

09.05.2025 à 19:09

La Bourse de Paris finit en hausse, optimiste en vue de négociations commerciales

FRANCE24
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L'indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a terminé en hausse de 0,64%, gagnant 49,31 points pour s'établir à 7.743,75 points. La veille, il avait avancé de 0,89%, à 7.694,44 points. La place parisienne a suivi la tendance des marchés européens, portés dans un premier temps par l'annonce jeudi d'un cadre d'accord commercial entre Londres et Washington. Jugé "historique" par Donald Trump, cet accord permettra de soulager certains secteurs comme l'industrie automobile ou la sidérurgie britanniques, même si les droits de douane de 10% imposés en avril par le président américain sont maintenus. Il s'agit d'une première inflexion dans la politique douanière offensive du président américain, qui a redonné aux marchés de l'appétit pour le risque. A Paris comme ailleurs en Europe, les investisseurs ont également choisi de "voir le verre à moitié plein" après une déclaration, vendredi, de Donald Trump laissant entrevoir une piste d'adoucissement sur les droits de douane appliqués à la Chine, note Florian Ielpo, responsable de la recherche macroéconomique pour Lombard Odier IM. Dans un message publié sur son réseau Truth Social, le président américain a suggéré d'abaisser à 80% les droits de douane punitifs qu'il a lui même imposés sur les produits chinois et qui atteignent actuellement jusqu'à 145%, à la veille de négociations très attendues en Suisse entre les deux puissances rivales. Même si les négociations peuvent être longues, cela suscite "beaucoup d'espoir chez les investisseurs", affirme Nathalie Benatia, macroéconomiste chez BNP Paribas AM. "Les marchés accueillent cette nouvelle, pas avec des confettis et champagne, mais ils se disent +c'est déjà ça+". Moins bonne note pour Stellantis Stellantis, maison mère des marques Peugeot, Fiat et Jeep, a fini en hausse de 0,53% bien que l'agence de notation Moody's a abaissé vendredi sa note, estimant que les tensions commerciales et le ralentissement économique pourraient compliquer le rebond de l'entreprise. La note de la dette à long terme du constructeur est passée de Baa1 à Baa2, a indiqué Moody's dans un communiqué, mettant en avant un "environnement de marché difficile".
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L'indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a terminé en hausse de 0,64%, gagnant 49,31 points pour s'établir à 7.743,75 points. La veille, il avait avancé de 0,89%, à 7.694,44 points. La place parisienne a suivi la tendance des marchés européens, portés dans un premier temps par l'annonce jeudi d'un cadre d'accord commercial entre Londres et Washington. Jugé "historique" par Donald Trump, cet accord permettra de soulager certains secteurs comme l'industrie automobile ou la sidérurgie britanniques, même si les droits de douane de 10% imposés en avril par le président américain sont maintenus. Il s'agit d'une première inflexion dans la politique douanière offensive du président américain, qui a redonné aux marchés de l'appétit pour le risque. A Paris comme ailleurs en Europe, les investisseurs ont également choisi de "voir le verre à moitié plein" après une déclaration, vendredi, de Donald Trump laissant entrevoir une piste d'adoucissement sur les droits de douane appliqués à la Chine, note Florian Ielpo, responsable de la recherche macroéconomique pour Lombard Odier IM. Dans un message publié sur son réseau Truth Social, le président américain a suggéré d'abaisser à 80% les droits de douane punitifs qu'il a lui même imposés sur les produits chinois et qui atteignent actuellement jusqu'à 145%, à la veille de négociations très attendues en Suisse entre les deux puissances rivales. Même si les négociations peuvent être longues, cela suscite "beaucoup d'espoir chez les investisseurs", affirme Nathalie Benatia, macroéconomiste chez BNP Paribas AM. "Les marchés accueillent cette nouvelle, pas avec des confettis et champagne, mais ils se disent +c'est déjà ça+". Moins bonne note pour Stellantis Stellantis, maison mère des marques Peugeot, Fiat et Jeep, a fini en hausse de 0,53% bien que l'agence de notation Moody's a abaissé vendredi sa note, estimant que les tensions commerciales et le ralentissement économique pourraient compliquer le rebond de l'entreprise. La note de la dette à long terme du constructeur est passée de Baa1 à Baa2, a indiqué Moody's dans un communiqué, mettant en avant un "environnement de marché difficile".

09.05.2025 à 19:01

La cote de popularité de Bayrou continue de baisser, selon un sondage

FRANCE24
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Selon ce sondage réalisé du 7 au 9 mai 2025, le Premier ministre, qui est notamment englué dans l'affaire de violences au sein de l'établissement de Bétharram, a perdu 12 points en trois mois, avec seulement 27% des Français approuvant son action. La cote d'Emmanuel Macron est restée stable à un niveau bas, avec 28% des Français qui lui font confiance. "C'est la première fois dans l'histoire de notre baromètre, fondé en 2003, qu'un Premier ministre est moins populaire que le président de la République", affirme le directeur général Opinion de l'Ifop Frédéric Dabi à Ouest France. Le point fort de François Bayrou est son "ouverture au dialogue", saluée par 40% des Français. Mais seuls 23% d'entre eux considèrent le chef du gouvernement comme proche des préoccupations quotidiennes. 46% des personnes sondées font confiance à Emmanuel Macron pour défendre les intérêts de la France à l'étranger, une hausse de quatre points par rapport au mois dernier. 81% des Français considèrent le Président de la République comme éloigné des préoccupations quotidiennes. Enquête en ligne réalisée auprès d'un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus. La marge d'erreur est comprise entre 1,1 pt et 2,5 pts.
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Selon ce sondage réalisé du 7 au 9 mai 2025, le Premier ministre, qui est notamment englué dans l'affaire de violences au sein de l'établissement de Bétharram, a perdu 12 points en trois mois, avec seulement 27% des Français approuvant son action. La cote d'Emmanuel Macron est restée stable à un niveau bas, avec 28% des Français qui lui font confiance. "C'est la première fois dans l'histoire de notre baromètre, fondé en 2003, qu'un Premier ministre est moins populaire que le président de la République", affirme le directeur général Opinion de l'Ifop Frédéric Dabi à Ouest France. Le point fort de François Bayrou est son "ouverture au dialogue", saluée par 40% des Français. Mais seuls 23% d'entre eux considèrent le chef du gouvernement comme proche des préoccupations quotidiennes. 46% des personnes sondées font confiance à Emmanuel Macron pour défendre les intérêts de la France à l'étranger, une hausse de quatre points par rapport au mois dernier. 81% des Français considèrent le Président de la République comme éloigné des préoccupations quotidiennes. Enquête en ligne réalisée auprès d'un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus. La marge d'erreur est comprise entre 1,1 pt et 2,5 pts.
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