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16.09.2025 à 10:27

Pour Marine Le Pen, la gauche veut "refaire des Juifs des parias"

FRANCE24
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"Il veut ce que veut toute la gauche française et européenne, c'est-à-dire refaire des Juifs des parias", a affirmé la présidente des députés d'extrême droite sur Europe 1-Cnews, jugeant que ces "propos", ces "actions", "puisent leur source dans un antisémitisme d'une violence inouïe". Elle a reproché au premier secrétaire socialiste de souhaiter "peut-être un jour les faire partir". Selon elle, les Juifs "commencent à avoir tellement peur en Europe et en France que, pour certains, ils se disent qu'ils n'ont pas d'avenir dans notre pays", a-t-elle insisté, estimant que "c'est dramatique parce que notre pays est le leur". "On s'attaque à des étudiants parce qu'ils sont juifs, on s'attaque à des chanteurs qu'on veut interdire d'Eurovision parce qu'ils sont juifs, on s'attaque à des gamins parce qu'ils sont dans un avion et qu'on leur demande de descendre", a-t-elle énuméré, convaincue que "tous ces actes-là devraient susciter une indignation majeure, massive". La France doit reconnaître le 22 septembre à l'ONU l'État palestinien, une volonté d'Emmanuel Macron qui y a œuvré diplomatiquement depuis plusieurs mois. Pour Marine Le Pen, cette reconnaissance par la France intervient à un "moment catastrophique". "C'est donner en réalité quitus au Hamas", a-t-elle estimé, voyant des visées électoralistes dans la décision d'Emmanuel Macron. "Il cherche à caresser dans le sens du poil un électorat dont il pense que demain, aux municipales, dans des législatives, il aura besoin", a-t-elle déclaré. Le Rassemblement national a rompu ces dernières années avec l'antisémitisme associé aux propos négationnistes de son fondateur, Jean-Marie Le Pen, qui lui avaient valu d'être condamné par la justice. Fin mars, le président du parti d'extrême droite, Jordan Bardella, avait été le premier dirigeant du RN officiellement invité par le gouvernement israélien.

16.09.2025 à 10:17

Nouvelle épidémie d'Ebola en RD Congo : la vaccination a commencé

FRANCE 24
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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé dimanche le lancement de la campagne de vaccination contre Ebola en RD Congo. Selon un bilan des autorités sanitaires congolaises publié dimanche, 28 décès et 81 cas ont été enregistrés depuis le signalement du premier cas, le 20 août, sur une femme enceinte de 34 ans admise dans un hôpital.
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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé dimanche le lancement de la campagne de vaccination contre Ebola en RD Congo. Selon un bilan des autorités sanitaires congolaises publié dimanche, 28 décès et 81 cas ont été enregistrés depuis le signalement du premier cas, le 20 août, sur une femme enceinte de 34 ans admise dans un hôpital.

16.09.2025 à 10:11

La Bourse de Paris prudente avant la Fed

FRANCE24
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L'indice vedette CAC 40 reculait de 22,04 points (-0,28%) à 7.874.89 points vers 09H40. Lundi, il a gagné 71,69 points (+0,92%), à 7.896,93 points. Les investisseurs s'attendent à ce que la banque centrale américaine procède à une baisse de 25 points de base (-0,25%) de ses taux d'intérêt, qui sont dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50% depuis décembre 2024. L'issue de la réunion sera connue mercredi soir et le discours du président de l'institution monétaire américaine "sera scruté mot à mot pour savoir si le cycle de baisse est ponctuel ou s'il ouvre la voie à une série de coupes", résume John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank, dans une note. Les investisseurs seront aussi très attentifs à l'actualisation des anticipations de court et moyen termes des membres de la Fed en matière d'évolution des taux. Le mandat du président de la Fed, Jerome Powell, est clair: fixer les taux d'intérêt de façon à ce que l'inflation reste stable (autour de 2%) et que le plein-emploi soit assuré aux Etats-Unis. Or, le marché de l'emploi se fragilise mais l'inflation demeure au-dessus de l'objectif de 2%, rendant l'équilibre entre les deux éléments difficile à trouver. Pour autant, "le marché du travail américain s'avère bien plus faible que ce que les marchés anticipaient" et "cette détérioration est la principale raison pour laquelle la Fed devrait à nouveau réduire ses taux", marquant "un changement de priorité pour ce double mandat de la Fed", estime Carlos de Sousa, gérant de portefeuille de Vontobel. C'est aussi sans compter sur la très forte pression politique que reçoit la banque centrale américaine de la part du président Donald Trump qui réclame à cor et à cri des baisses de taux depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier. Jerome Powell est "pris en étau entre la pression politique de la Maison-Blanche, les attentes des investisseurs et le scepticisme" des présidents des antennes régionales de la banque centrale américaine, en désaccord sur l'ampleur des baisses des taux auxquelles l'institution monétaire devrait procéder, explique M.Plassard. Le taux d'emprunt français au-dessus de l'italien Sur le marché obligataire, le taux de l'emprunt français à dix ans évoluait à 3,47% vers 09h40, après avoir clôturé la veille à 3,48%, "au-dessus de son équivalent italien pour la première fois depuis 1999" qui, lui, a terminé à 3,47%, soulignent les économistes de Deutsche Bank. Ce dernier évoluait à 3,47% vers 09H40.
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L'indice vedette CAC 40 reculait de 22,04 points (-0,28%) à 7.874.89 points vers 09H40. Lundi, il a gagné 71,69 points (+0,92%), à 7.896,93 points. Les investisseurs s'attendent à ce que la banque centrale américaine procède à une baisse de 25 points de base (-0,25%) de ses taux d'intérêt, qui sont dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50% depuis décembre 2024. L'issue de la réunion sera connue mercredi soir et le discours du président de l'institution monétaire américaine "sera scruté mot à mot pour savoir si le cycle de baisse est ponctuel ou s'il ouvre la voie à une série de coupes", résume John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement chez Cité Gestion Private Bank, dans une note. Les investisseurs seront aussi très attentifs à l'actualisation des anticipations de court et moyen termes des membres de la Fed en matière d'évolution des taux. Le mandat du président de la Fed, Jerome Powell, est clair: fixer les taux d'intérêt de façon à ce que l'inflation reste stable (autour de 2%) et que le plein-emploi soit assuré aux Etats-Unis. Or, le marché de l'emploi se fragilise mais l'inflation demeure au-dessus de l'objectif de 2%, rendant l'équilibre entre les deux éléments difficile à trouver. Pour autant, "le marché du travail américain s'avère bien plus faible que ce que les marchés anticipaient" et "cette détérioration est la principale raison pour laquelle la Fed devrait à nouveau réduire ses taux", marquant "un changement de priorité pour ce double mandat de la Fed", estime Carlos de Sousa, gérant de portefeuille de Vontobel. C'est aussi sans compter sur la très forte pression politique que reçoit la banque centrale américaine de la part du président Donald Trump qui réclame à cor et à cri des baisses de taux depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier. Jerome Powell est "pris en étau entre la pression politique de la Maison-Blanche, les attentes des investisseurs et le scepticisme" des présidents des antennes régionales de la banque centrale américaine, en désaccord sur l'ampleur des baisses des taux auxquelles l'institution monétaire devrait procéder, explique M.Plassard. Le taux d'emprunt français au-dessus de l'italien Sur le marché obligataire, le taux de l'emprunt français à dix ans évoluait à 3,47% vers 09h40, après avoir clôturé la veille à 3,48%, "au-dessus de son équivalent italien pour la première fois depuis 1999" qui, lui, a terminé à 3,47%, soulignent les économistes de Deutsche Bank. Ce dernier évoluait à 3,47% vers 09H40.

16.09.2025 à 10:05

L'influenceuse Miel Abitbol exhorte Macron à ne pas mettre la santé mentale "sous le tapis"

FRANCE24
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La jeune femme de 18 ans, qui compte plus de deux millions d'abonnés sur TikTok et qui a lancé il y a un an Lyynk, une application dédiée à la santé mentale des jeunes, avait déjà interpellé en début d'année le chef de l'Etat à ce sujet. Ce dernier lui avait répondu par réseau social interposé en assurant "essayer d'apporter des réponses avec tous nos soignants pour donner plus de moyens", avant de la recevoir début juillet à l'Elysée. Quelques jours avant, en juin, le gouvernement avait dévoilé un plan santé mentale mais sans convaincre nombre de soignants qui ont regretté des mesures insuffisantes et un flou sur les moyens financiers. "La santé mentale" a été décrétée par le gouvernement "grande cause nationale 2025, on est au mois de septembre et il n'y a pas grand chose qui a été fait", déplore Miel Abitbol. "Il faut qu'il y ait des choses qui soient faites aujourd'hui pour la santé mentale des jeunes, même si c'est un peu le bordel niveau gouvernement", ajoute-t-elle en référence à la période d'incertitude politique ouverte par la démission du gouvernement Bayrou. "On ne peut pas remettre la poussière sous le tapis parce qu'on parle de vies, on parle de jeunes qui vont mal, qui se suicident pour beaucoup", insiste l'influenceuse dont l'application a été téléchargée 300.000 fois et compte 50.000 utilisateurs "quasi quotidiens". La jeune femme, passée par une période de dépression après avoir été victime de harcèlement et de +revenge porn+ alors qu'elle avait 13-14 ans, plaide en faveur de mesures liées notamment à l'école, "gros facteur de stress pour beaucoup". Elle estime en revanche que l'interdiction des réseaux sociaux souhaitée par le gouvernement pour les jeunes de moins de 15 ans n'est "pas la bonne chose à faire", que "modérer les réseaux sociaux et éduquer c'est mieux". Epinglés dans un récent rapport parlementaire, les réseaux sociaux "peuvent déteriorer la santé mentale", admet-elle, et il faut s'attaquer aux "algorithmes toxiques". Mais "pour beaucoup c'est un endroit où (les jeunes) trouvent du lien avec leurs proches avec des amis où ils apprennent des choses, où ils découvrent de nouvelles passions", ajoute-t-elle. Se dire qu'en interdisant les réseaux sociaux, "on a fait ce qu'il fallait pour la santé mentale des jeunes" c'est une erreur, estime-t-elle.
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La jeune femme de 18 ans, qui compte plus de deux millions d'abonnés sur TikTok et qui a lancé il y a un an Lyynk, une application dédiée à la santé mentale des jeunes, avait déjà interpellé en début d'année le chef de l'Etat à ce sujet. Ce dernier lui avait répondu par réseau social interposé en assurant "essayer d'apporter des réponses avec tous nos soignants pour donner plus de moyens", avant de la recevoir début juillet à l'Elysée. Quelques jours avant, en juin, le gouvernement avait dévoilé un plan santé mentale mais sans convaincre nombre de soignants qui ont regretté des mesures insuffisantes et un flou sur les moyens financiers. "La santé mentale" a été décrétée par le gouvernement "grande cause nationale 2025, on est au mois de septembre et il n'y a pas grand chose qui a été fait", déplore Miel Abitbol. "Il faut qu'il y ait des choses qui soient faites aujourd'hui pour la santé mentale des jeunes, même si c'est un peu le bordel niveau gouvernement", ajoute-t-elle en référence à la période d'incertitude politique ouverte par la démission du gouvernement Bayrou. "On ne peut pas remettre la poussière sous le tapis parce qu'on parle de vies, on parle de jeunes qui vont mal, qui se suicident pour beaucoup", insiste l'influenceuse dont l'application a été téléchargée 300.000 fois et compte 50.000 utilisateurs "quasi quotidiens". La jeune femme, passée par une période de dépression après avoir été victime de harcèlement et de +revenge porn+ alors qu'elle avait 13-14 ans, plaide en faveur de mesures liées notamment à l'école, "gros facteur de stress pour beaucoup". Elle estime en revanche que l'interdiction des réseaux sociaux souhaitée par le gouvernement pour les jeunes de moins de 15 ans n'est "pas la bonne chose à faire", que "modérer les réseaux sociaux et éduquer c'est mieux". Epinglés dans un récent rapport parlementaire, les réseaux sociaux "peuvent déteriorer la santé mentale", admet-elle, et il faut s'attaquer aux "algorithmes toxiques". Mais "pour beaucoup c'est un endroit où (les jeunes) trouvent du lien avec leurs proches avec des amis où ils apprennent des choses, où ils découvrent de nouvelles passions", ajoute-t-elle. Se dire qu'en interdisant les réseaux sociaux, "on a fait ce qu'il fallait pour la santé mentale des jeunes" c'est une erreur, estime-t-elle.

16.09.2025 à 09:57

Israël lance son offensive terrestre majeure à Gaza-ville

FRANCE24
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A Genève, une commission d'enquête internationale indépendante de l'ONU a accusé Israël de commettre un génocide à Gaza avec l'intention de "détruire" les Palestiniens, mettant en cause le Premier ministre Benjamin Netanyahu et d'autres responsables israéliens. Israël a rejeté un "rapport biaisé et mensonger". L'annonce de l'assaut à Gaza-ville a été faite juste après le départ d'Israël du secrétaire d'Etat Marco Rubio qui a qualifié de "groupe de sauvages" le Hamas, dont l'attaque sans précédent en Israël le 7 octobre 2023 a provoqué la guerre dans la bande de Gaza. Les troupes israéliennes avancent "vers le centre" de Gaza-ville et ont "étendu les activités terrestres dans ce principal bastion du Hamas", a dit un responsable militaire. "La phase principale de l'offensive a commencé pendant la nuit (...)", a-t-il dit en estimant à "2.000 à 3.000" le nombre de combattants du Hamas opérant dans l'agglomération dont l'armée veut prendre le contrôle. "On peut entendre leurs cris", a déclaré un habitant, Ahmed Ghazal, en allusion "aux nombreuses personnes emprisonnées sous les décombres de maisons rasées par les bombardements massifs et incessants sur Gaza-ville". "Nous avons retiré des enfants déchiquetés", a dit un autre, Abou Abd Zaqout, alors que des Palestiniens fouillent les décombres à la recherche d'éventuels survivants. "Gaza brûle" "Gaza brûle. L'armée frappe d'une main de fer les infrastructures terroristes, et les soldats de l'armée se battent vaillamment pour créer les conditions nécessaires à la libération des otages et à la défaite du Hamas", a déclaré le ministre de la Défense Israël Katz. Depuis des semaines, les habitants de Gaza-ville et ses environs, estimés à un million par l'ONU, fuient en grand nombre en direction du sud. Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties. Il s'exprimait avant son départ d'Israël, où il a promis lundi le "soutien indéfectible" de son pays à Israël pour éliminer le Hamas. M. Rubio a déclaré que les Etats-Unis préfèreraient une solution diplomatique au conflit qui verrait une démilitarisation du Hamas, avant d'ajouter: "parfois, lorsqu'on traite avec un groupe de sauvages comme le Hamas, ce n'est pas possible, mais nous espérons que cela puisse arriver". Les familles d'otages "terrifiées" Le Forum des familles des otages a déclaré dans un communiqué que celles-ci étaient "terrifiées" pour leurs proches après l'intensification des frappes à Gaza. M. Netanyahu "fait tout pour qu'il n'y ait pas d'accord et pour ne pas les ramener", a-t-il dit après une rencontre de familles d'otages avec M. Rubio la veille. L'offensive à Gaza-ville provoquera "plus de destructions, plus de morts", a déploré l'Union européenne. Le déplacement de M. Rubio dans la région est intervenu après une attaque israélienne inédite le 9 septembre à Doha contre des chefs du Hamas qui ont survécu selon le mouvement. Avant son départ de Doha, il a exprimé à l'émir Tamim ben Hamad Al-Thani le soutien américain et l'a exhorté à poursuivre son rôle de médiateur entre Israël et le Hamas. L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont encore retenues à Gaza, dont 25 décédées selon l'armée israélienne. Les représailles israéliennes ont fait au moins 64.905 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du territoire palestinien. L'ONU y a déclaré la famine, ce qu'Israël dément.
Texte intégral (652 mots)
A Genève, une commission d'enquête internationale indépendante de l'ONU a accusé Israël de commettre un génocide à Gaza avec l'intention de "détruire" les Palestiniens, mettant en cause le Premier ministre Benjamin Netanyahu et d'autres responsables israéliens. Israël a rejeté un "rapport biaisé et mensonger". L'annonce de l'assaut à Gaza-ville a été faite juste après le départ d'Israël du secrétaire d'Etat Marco Rubio qui a qualifié de "groupe de sauvages" le Hamas, dont l'attaque sans précédent en Israël le 7 octobre 2023 a provoqué la guerre dans la bande de Gaza. Les troupes israéliennes avancent "vers le centre" de Gaza-ville et ont "étendu les activités terrestres dans ce principal bastion du Hamas", a dit un responsable militaire. "La phase principale de l'offensive a commencé pendant la nuit (...)", a-t-il dit en estimant à "2.000 à 3.000" le nombre de combattants du Hamas opérant dans l'agglomération dont l'armée veut prendre le contrôle. "On peut entendre leurs cris", a déclaré un habitant, Ahmed Ghazal, en allusion "aux nombreuses personnes emprisonnées sous les décombres de maisons rasées par les bombardements massifs et incessants sur Gaza-ville". "Nous avons retiré des enfants déchiquetés", a dit un autre, Abou Abd Zaqout, alors que des Palestiniens fouillent les décombres à la recherche d'éventuels survivants. "Gaza brûle" "Gaza brûle. L'armée frappe d'une main de fer les infrastructures terroristes, et les soldats de l'armée se battent vaillamment pour créer les conditions nécessaires à la libération des otages et à la défaite du Hamas", a déclaré le ministre de la Défense Israël Katz. Depuis des semaines, les habitants de Gaza-ville et ses environs, estimés à un million par l'ONU, fuient en grand nombre en direction du sud. Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties. Il s'exprimait avant son départ d'Israël, où il a promis lundi le "soutien indéfectible" de son pays à Israël pour éliminer le Hamas. M. Rubio a déclaré que les Etats-Unis préfèreraient une solution diplomatique au conflit qui verrait une démilitarisation du Hamas, avant d'ajouter: "parfois, lorsqu'on traite avec un groupe de sauvages comme le Hamas, ce n'est pas possible, mais nous espérons que cela puisse arriver". Les familles d'otages "terrifiées" Le Forum des familles des otages a déclaré dans un communiqué que celles-ci étaient "terrifiées" pour leurs proches après l'intensification des frappes à Gaza. M. Netanyahu "fait tout pour qu'il n'y ait pas d'accord et pour ne pas les ramener", a-t-il dit après une rencontre de familles d'otages avec M. Rubio la veille. L'offensive à Gaza-ville provoquera "plus de destructions, plus de morts", a déploré l'Union européenne. Le déplacement de M. Rubio dans la région est intervenu après une attaque israélienne inédite le 9 septembre à Doha contre des chefs du Hamas qui ont survécu selon le mouvement. Avant son départ de Doha, il a exprimé à l'émir Tamim ben Hamad Al-Thani le soutien américain et l'a exhorté à poursuivre son rôle de médiateur entre Israël et le Hamas. L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont encore retenues à Gaza, dont 25 décédées selon l'armée israélienne. Les représailles israéliennes ont fait au moins 64.905 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du territoire palestinien. L'ONU y a déclaré la famine, ce qu'Israël dément.
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